Ce sujet est dédié aux réactions concernant cette actu : Je suis une fille, j’ai une bande de potes mecs, et non, je n’ai pas les couilles qui poussent
Je suis une fille, j’ai une bande de potes mecs, et non, je n’ai pas les couilles qui poussent
- Initiateur de la discussion Alison
- Date de début
Wow, cet article arrive justement le jour où je viens de realiser que j ai très très peu d amis mecs. Déjà quand je commence a bien m entendre avec un mec hetero ça deraille vite en relation ambigue, et après ça casse parce que je voulais «juste qu on reste amis». Pourtant je suis pas une bombe, plutôt mal a l aise en société et je fais rien pour les draguer. Ça doit être un truc dans mon attitude, héritée de l époque où je flirtais un peu a tout va....
Mais c est chiant parce que ces mecs ont des amis filles avec lesquels ils sont normaux et tout.... c est quoi ce karma?
Mais c est chiant parce que ces mecs ont des amis filles avec lesquels ils sont normaux et tout.... c est quoi ce karma?
"Une vraie fille avec des attributs féminins" --> 
Dommage que cette article tourne pour 50% autour des organes génitaux des personnes concernées... Surtout cette phrase là, sérieusement qu'est ce qu'elle était même censée vouloir dire ?
Dommage que cette article tourne pour 50% autour des organes génitaux des personnes concernées... Surtout cette phrase là, sérieusement qu'est ce qu'elle était même censée vouloir dire ?
Ouais bon sinon le fille = vagin et homme = pénis.. Bref grâce à vous je sais désormais que je ne suis pas un mec vu que des couilles ne me sont pas poussées. Transphobie ordinaire, merci ! 
Pour ma part j'ai aussi que des potes masculins et je compte plus le nombre de fois où ils m'appellent " hé mec " sans faire exprès 
Ils aiment bien dire aussi que j'ai une plus grosse paire qu'eux 
Ils aiment bien dire aussi que j'ai une plus grosse paire qu'eux 
Les deux Madz qui me précèdent l'ont relevé déjà, mais je plussoie, pourquoi toutes ces références aux organes génitaux... ? Ça n'a même pas grand rapport avec le sujet, et certaines phrases sont aberrantes.
Comment on peut écrire " je suis une fille (une vraie fille, avec des attributs féminins)" (entre autres) et ne pas s'interroger une seconde sur ce qu'on est en train de dire...?
Je doute pas que le sujet intéresse plein de Madz, et c'est cool d'en parler, mais...là c'est abordé sous un angle qui ne fait pas honneur au mag je trouve.
Comment on peut écrire " je suis une fille (une vraie fille, avec des attributs féminins)" (entre autres) et ne pas s'interroger une seconde sur ce qu'on est en train de dire...?
Je doute pas que le sujet intéresse plein de Madz, et c'est cool d'en parler, mais...là c'est abordé sous un angle qui ne fait pas honneur au mag je trouve.
"Une vraie fille, avec des attributs féminins"
Rohlala. Et c'est reparti ! Sérieusement, paie ta transphobie assumée là... à dans 12 pages pour un mea culpa tardif et de mauvaise volonté de la part de la rédac...
D'accord avec les commentaires ci-dessus, j'ai été plusieurs fois gênée par les références incessantes aux attributs physiques/génitaux et la transphobie ordinaire de pas mal de phrases. 
Dommage parce que ça peut être pas inintéressant comme article, voire marrant si c'est bien fait.
Pareil je traine principalement avec des amis plutôt qu'avec des amies, mais je pense que c'est plus lié à un parcours personnel. Mais c'est intéressant : l'amitié désexualise totalement les relations pour une majorité de gens, mais comme on est dans une société hétéronormée ça crée comme une espèce de bug de cerveau pour pas mal de mecs cis. Du coup, inconsciemment, pour accepter qu'ils n'ont aucune attirance physique pour une amie, qu'ils ne la considèrent pas comme un objet sexuel, ils l'intègrent dans la catégorie "masculin" : d'où les potes qui t'appellent "mec" au détour d'une phrase sans même s'en rendre compte, ça m'est déjà arrivé aussi.
Dommage parce que ça peut être pas inintéressant comme article, voire marrant si c'est bien fait.
Pareil je traine principalement avec des amis plutôt qu'avec des amies, mais je pense que c'est plus lié à un parcours personnel. Mais c'est intéressant : l'amitié désexualise totalement les relations pour une majorité de gens, mais comme on est dans une société hétéronormée ça crée comme une espèce de bug de cerveau pour pas mal de mecs cis. Du coup, inconsciemment, pour accepter qu'ils n'ont aucune attirance physique pour une amie, qu'ils ne la considèrent pas comme un objet sexuel, ils l'intègrent dans la catégorie "masculin" : d'où les potes qui t'appellent "mec" au détour d'une phrase sans même s'en rendre compte, ça m'est déjà arrivé aussi.
Je suis moyennement convaincue par ce témoignage, je n'aime pas du tout le ton, et effectivement les références aux organes génitaux me hérissent les poils. Autre remarque aussi, au bout d'un moment ça me saoule qu'on utilise "fille" pour des femmes majeures, c'est infantilisant, "nana" "meuf" ou femme ça ramène quand même moins à une infantilisation de la personne, ça me semble assez sexiste d'utiliser "fille" après la puberté.
Pour ma part, en tant que "meuf qui traine avec des mecs" (depuis toute petite) :
Pour ma part, en tant que "meuf qui traine avec des mecs" (depuis toute petite) :
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La même
Copine!
Sinon d accord avec le ton de l article un peu bizarre voire douteux.... c est dommage il demarrait bien
En plus de la transphobie c'est aussi lesphobe de sous-entendre qu'une lesbienne "devient un mec". Bref, je comprends la maladresse et le manque d'éducation de l'autrice mais c'est pas la première fois que vous êtes repris.e.s à ce sujet. Cet article a été relu et validé je suppose, et encore une fois personne n'a tiqué. Vous allez finir par avoir un public composé uniquement de cis hétéros et il faudra pas se demander pourquoi
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