Non, le chat, ça ne se fout pas de sa famille :
1) J'étais vraiment pas bien, je m'assieds à côté de mon chat en pleurant. Il ne comprend pas trop ce qu'il se passe, miaule (le genre de miaulement interrogateur), me regarde, mets ses pattes sur mon épaule, me prend le poignet avec sa gueule, essaie de me faire lever, remiaule, me reprend le poignet, et ceci continua jusqu'à ce que je me lève, et réussisse à me calmer.
2) Il aime la présence humaine, tout en gardant son indépendance. Il prend plaisir à tenir compagnie discrètement, sans rien réclamer.
3) c'est une horloge hors-pair. Il a ses habitudes à heures fixes et les rappelle volontiers.
4) il communique vraiment. Un maitre attentif saura reconnaitre les miaulements de son chat : interrogation ("ça va ?"), inquiétude ("t'es sur que ca va ?"), appel ("maman, où est-tu, réponds moi") (le mien s'arrête d'appeler quand je lui réponds uniquement), énervement ("tu m'embêtes"), bien être ('je suis bien avec toi"), faim ("c'est l'heure de manger, alleeezz !!"), le roucoulement ("mrou"), et j'en passe...
5) un chat, c'est tout doux et ça sent super bon entre les oreilles. (il le sait très bien et me laisse le renifler de longues minutes durant. Il fait pareil avec moi
)
6) et SURTOUT, un chat, c'est un être vivant doué de sensibilité, qui ressent la douleur, la tristesse, qui sait être content quand il y a des raisons de l'être et ça apporte un bien tellement fort, sans rien demander en échange. Je considère le mien comme un membre de la famille. Il a cet effet thérapeutique également qu'aucun psy ou autre ne pourra égaler.
Mon chat, je l'aime.