Moi ce qui me choque c'est l'imposition des typologies et du vocabulaire en la matière.
C'est l'une des choses les plus évidentes lorsque l'on étudie les usages sociaux : la façon de classer permet de percevoir le monde. Le classement est par essence déterminé historiquement, géographiquement et socialement. Toute catégorie est relative.
La façon militante héritée des gender studies américaine n'est pas plus légitime, ni "vraie" que les typologies traditionnelles que l'on trouve en Europe, ou que l'on trouve chez les Inuit (pour faire court, le genre des personne est corrélé à celui de l'ancêtre dont ils sont une sorte de réincarnation). Elles sont juste issues de sociétés différentes dans lesquelles se sont développées des paradigmes différents, des théories et croyances locales que les gens ont incorporées.
Imposer un vocabulaire unique réduit la possibilité de réfléchir sur les concepts autour de la notion de sexe et de genre, qui est pourtant bien plus vaste et complexe.
C'est l'une des choses les plus évidentes lorsque l'on étudie les usages sociaux : la façon de classer permet de percevoir le monde. Le classement est par essence déterminé historiquement, géographiquement et socialement. Toute catégorie est relative.
La façon militante héritée des gender studies américaine n'est pas plus légitime, ni "vraie" que les typologies traditionnelles que l'on trouve en Europe, ou que l'on trouve chez les Inuit (pour faire court, le genre des personne est corrélé à celui de l'ancêtre dont ils sont une sorte de réincarnation). Elles sont juste issues de sociétés différentes dans lesquelles se sont développées des paradigmes différents, des théories et croyances locales que les gens ont incorporées.
Imposer un vocabulaire unique réduit la possibilité de réfléchir sur les concepts autour de la notion de sexe et de genre, qui est pourtant bien plus vaste et complexe.