@Seiryu Il faut s'inscrire sur Livraddict, indiquer tes lectures (quand tu es sur la fiche d'un livre, tu cliques sur "J'ai lu ce livre") et ça se fait automatiquement sur ton profil.
En parlant de littérature du monde, quand je recherchais des bouquins sur les petites îles du Pacifique, j'étais tombée sur un ou deux blogs littéraires (en anglais) dont les auteurs faisait un challenge lecture super sympa. Ils devaient lire un roman de chaque pays du monde pendant un an et du coup, ça donnait plein d'idées! Voilà un des blogs qui m'avait attiré grâce à ses bouquins Tonga/Samoa :Sur Livraddict, on peut voir une carte des auteurs qu'on a lus par nationalité et j'ai un peu honte de la mienne, il faut vraiment que je varie plus mes lectures !
http://ayearofreadingtheworld.com/
C'est super intéressant parce qu'il ya des pays pour lesquelles il y a pléthore de choix et qui sont super faciles à trouver et d'autres beaucoup plus difficile. Elle met aussi d'autres titres de livres que ceux qu'elle a lu si jamais on cherche plusieurs romans du même pays.
Oh merci @MorganeGirly, ça a l'air super intéressant ! 
Sinon, je vous conseille le "reading diversely tag" sur Youtube, c'est là que je suis en train de piocher mes idées.
Sinon, je vous conseille le "reading diversely tag" sur Youtube, c'est là que je suis en train de piocher mes idées.
@Kleiner Apfel Merci pour les proposition ! Je vais regarder 
@Gustave Pour le nouvel Obs je sais pas trop ce qui me dérange, c'est très personnel,mais j'ai l'impression que c’est distant, froid ?
Justement je trouve le blog de Gaël et Emma bien plus vivant, et déjà j'aime beaucoup plus
merci !
@Gustave Pour le nouvel Obs je sais pas trop ce qui me dérange, c'est très personnel,mais j'ai l'impression que c’est distant, froid ?
Justement je trouve le blog de Gaël et Emma bien plus vivant, et déjà j'aime beaucoup plus
merci !
Aujourd'hui, passage à Cash Express et Easy Cash, résultat : 11 livres pour 32€ ! J'adore ces magasins 
Du coup je vais pouvoir découvrir des bouquins que je n'aurais pas forcément acheté au prix fort, je suis toute excitée 
Du coup je vais pouvoir découvrir des bouquins que je n'aurais pas forcément acheté au prix fort, je suis toute excitée 
Je suis en train de lire Vernon Subutex de Virginie Despentes et je suis un peu perturbée par cette lecture. Pendant toute la première partie, j'avais un peu l'impression de lire du Houellebecq 
Au niveau du style, et même encore maintenant mais un peu moins (j'en suis à plus de la moitié) j'ai l'impression que si les personnages étaient informaticiens au lieu d'être dans la musique/le ciné/le journalisme on serait pile chez Houellebecq
Au final c'est pas tant au niveau de l'histoire, on reconnait bien la pate de Despentes et ça reste quand même éloigné des thèmes de Houellebecq, mais au niveau du style d'écriture et aussi des pensées des personnages etc, ça m'a vraiment fait penser à ça.
En soi c'est pas un mal, j'aime bien ce que j'ai lu de Houellebecq (aka Extension du domaine de la lutte et Les particules élémentaires), mais ça me perturbe grandement.
J'avais pas eu la même impression en lisant Apocalypse bébé, je sais pas si c'est lié au fait que les narrateurs étaient des femmes alors qu'ici ce sont majoritairement des hommes
Et ça me fait réfléchir sur l'écriture, la narration, les idées qu'on fait passer, à quel point on peut dissocier un auteur de son oeuvre et de "ce qu'il pense en vrai", ces intentions, etc.
Bref je suis confuse et ça me fait pas mal réfléchir
Au niveau du style, et même encore maintenant mais un peu moins (j'en suis à plus de la moitié) j'ai l'impression que si les personnages étaient informaticiens au lieu d'être dans la musique/le ciné/le journalisme on serait pile chez Houellebecq
Au final c'est pas tant au niveau de l'histoire, on reconnait bien la pate de Despentes et ça reste quand même éloigné des thèmes de Houellebecq, mais au niveau du style d'écriture et aussi des pensées des personnages etc, ça m'a vraiment fait penser à ça.
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J'avais pas eu la même impression en lisant Apocalypse bébé, je sais pas si c'est lié au fait que les narrateurs étaient des femmes alors qu'ici ce sont majoritairement des hommes
Et ça me fait réfléchir sur l'écriture, la narration, les idées qu'on fait passer, à quel point on peut dissocier un auteur de son oeuvre et de "ce qu'il pense en vrai", ces intentions, etc.
Bref je suis confuse et ça me fait pas mal réfléchir
Dernière édition :
Bonjours lecteurices !
J'ai un ami qui a besoin de vous ! Je vous mets son message :
Merci à toutes et à tous ! 
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Je suis en train de lire La vie sexuelle de Catherine M., par Catherine Millet.
Et... ca me gonfle ! Je ne sais pas si c'est parce que je suis en plein décalage horaire mais je trouve ça très ennuyeux.
Du coup je me pose des questions sur ma sexualité, si des récits de partouzes ne me semblent pas transgressives il va falloir que j'écrive mes mémoires
Sinon j'ai lu Sans télé on ressent davantage le froid de Titiou Lecoq, j'adore cette journaliste/blogueuse. C'est une bonne réécriture de son blog, j'ai beaucoup aimé !
Et... ca me gonfle ! Je ne sais pas si c'est parce que je suis en plein décalage horaire mais je trouve ça très ennuyeux.
Du coup je me pose des questions sur ma sexualité, si des récits de partouzes ne me semblent pas transgressives il va falloir que j'écrive mes mémoires
Sinon j'ai lu Sans télé on ressent davantage le froid de Titiou Lecoq, j'adore cette journaliste/blogueuse. C'est une bonne réécriture de son blog, j'ai beaucoup aimé !
@Ju- J'avais parcouru La Vie sexuelle de Catherine M quand j'étais au lycée et ça m'avait paru extrêmement glaucque, j'interprétais même certaines scènes comme des viols dont "l'héroïne" (ou l'auteur?) n'avait pas conscience.
C'était ma période trangressive où j'en avais marre des gentils héros et de la bien-pensance, où je voulais des trucs trash et des anti-héros immoraux. Du coup, quand j'avais lu un billet d'une psychologue dans un magazine féminin où elle nous expliquait que Catherine M "s'auto-détruisait" en couchant beaucoup, en parlant de nihilisme et autre, en disant qu'elle refusait sa féminité et son romantisme inné, ça m'avait donné l'impression que le roman était pile ce que j'aimerais parce qu'il montrerait une nana libre sexuellement et qui adore ça.
Ben ça ne m'avait pas paru transgressif du tout, ça m'avait juste donné une impression de vie miteuse et d'héroïne en loque qui essaye de faire passer le fait que des mecs la traitent comme un objet de peu de prix comme le summum de la liberté sexuelle. Je n'avais à aucun moment eu l'impression qu'elle prenait réellement du plaisir dans les histoires qu'elle racontait, juste qu'elle essayait de s'auto-convaincre que se faire baiser par des inconnus dégueulasses qui font la queue devant une chambre d'hôtel pourri pour ça, c'est le pied total (j'ai le souvenir d'une scène qui décrit exactement ça, non?).
Après, j'avais 17 ans, c'était peut-être pas du tout l'âge pour comprendre et apprécier ce roman mais je ne me souviens pas avoir été choquée dans le sens "mon dieu du sexe", surtout que je m'étais fait arnaquer parce que ça n'avait rien du tout de féministe ou d'attirant niveau mode de vie.
Mais bon, peut-être que j'étais trop jeune pour ça, que j'ai mal compris et tout déformé dans mes souvenirs?
C'était ma période trangressive où j'en avais marre des gentils héros et de la bien-pensance, où je voulais des trucs trash et des anti-héros immoraux. Du coup, quand j'avais lu un billet d'une psychologue dans un magazine féminin où elle nous expliquait que Catherine M "s'auto-détruisait" en couchant beaucoup, en parlant de nihilisme et autre, en disant qu'elle refusait sa féminité et son romantisme inné, ça m'avait donné l'impression que le roman était pile ce que j'aimerais parce qu'il montrerait une nana libre sexuellement et qui adore ça.
Ben ça ne m'avait pas paru transgressif du tout, ça m'avait juste donné une impression de vie miteuse et d'héroïne en loque qui essaye de faire passer le fait que des mecs la traitent comme un objet de peu de prix comme le summum de la liberté sexuelle. Je n'avais à aucun moment eu l'impression qu'elle prenait réellement du plaisir dans les histoires qu'elle racontait, juste qu'elle essayait de s'auto-convaincre que se faire baiser par des inconnus dégueulasses qui font la queue devant une chambre d'hôtel pourri pour ça, c'est le pied total (j'ai le souvenir d'une scène qui décrit exactement ça, non?).
Après, j'avais 17 ans, c'était peut-être pas du tout l'âge pour comprendre et apprécier ce roman mais je ne me souviens pas avoir été choquée dans le sens "mon dieu du sexe", surtout que je m'étais fait arnaquer parce que ça n'avait rien du tout de féministe ou d'attirant niveau mode de vie.
Mais bon, peut-être que j'étais trop jeune pour ça, que j'ai mal compris et tout déformé dans mes souvenirs?
J'ai emprunté un Sarah Waters 
(Cet enthousiasme est sponsorisé par 1) mon refus de m'acheter des livres neufs 2) ma bibliothèque municipale auprès de laquelle je suis interdite d'emprunt pendant au moins 1 mois et 3) la très faible offre en romans de ma bu
)
(Cet enthousiasme est sponsorisé par 1) mon refus de m'acheter des livres neufs 2) ma bibliothèque municipale auprès de laquelle je suis interdite d'emprunt pendant au moins 1 mois et 3) la très faible offre en romans de ma bu
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