nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
@Claire-de-plume @Deilephila elpenor
L'autoédition englobe autant d'écrivain.e.s de talent (mais qui ne rentrent pas dans les lignes éditoriales classiques des maisons d'édition ou proposent un premier roman trop gros -trop de prise de risque pour la maison d'édition: peu de lecteurs/trices osent se lancer dans la lecture de 500 pages d'un illustre inconnu) que d'écrivain.e.s du dimanche qui pensent être bons et ne le sont pas (manque de cohérence et de cohésion de texte, style plat, fautes, manque d'originalité) et surtout le font "en loisir", avec leurs potes qui vont relire vite fait et leur dire que c'est génial parce que c'est leur pote. Mes premières tentatives ont plutôt mis ça en avant et ça m'a refroidie.
Plus tard, j'ai des gentes qui m'ont contactée pour de la relecture pro (mon métier) de leurs textes en vue de s'auto-éditer. Certains textes devaient vraiment être relus/réécrits en profondeur pour devenir acceptables. D'autres étaient vraiment bons! Ca m'a remotivée à en lire (d'autant que j'aime aussi le principe de court-circuiter le système classique, quand je vois ce que certaines maisons d'édition acceptent de publier et ce que certaines librairies mettent en avant dans leurs rayons). En romans auto-édités que j'ai aimés (sans lien professionnel avec l'auteur/autrice, je précise), je conseille Notre-Dame-des-Lettres de Fémi Peters (quelques coquilles mais très bon niveau d'écriture) et Le Treizième Empereur d'Alexandre Allamanche (roman historique très bien documenté et écrit). Reste à voir si c'est votre style de lecture
Mais effectivement, j'ai l'impression que les pépites surnagent au milieu de pas mal de livres sans intérêt ou qui auraient besoin d'un sérieux travail d'édition en amont.
L'autoédition englobe autant d'écrivain.e.s de talent (mais qui ne rentrent pas dans les lignes éditoriales classiques des maisons d'édition ou proposent un premier roman trop gros -trop de prise de risque pour la maison d'édition: peu de lecteurs/trices osent se lancer dans la lecture de 500 pages d'un illustre inconnu) que d'écrivain.e.s du dimanche qui pensent être bons et ne le sont pas (manque de cohérence et de cohésion de texte, style plat, fautes, manque d'originalité) et surtout le font "en loisir", avec leurs potes qui vont relire vite fait et leur dire que c'est génial parce que c'est leur pote. Mes premières tentatives ont plutôt mis ça en avant et ça m'a refroidie.
Plus tard, j'ai des gentes qui m'ont contactée pour de la relecture pro (mon métier) de leurs textes en vue de s'auto-éditer. Certains textes devaient vraiment être relus/réécrits en profondeur pour devenir acceptables. D'autres étaient vraiment bons! Ca m'a remotivée à en lire (d'autant que j'aime aussi le principe de court-circuiter le système classique, quand je vois ce que certaines maisons d'édition acceptent de publier et ce que certaines librairies mettent en avant dans leurs rayons). En romans auto-édités que j'ai aimés (sans lien professionnel avec l'auteur/autrice, je précise), je conseille Notre-Dame-des-Lettres de Fémi Peters (quelques coquilles mais très bon niveau d'écriture) et Le Treizième Empereur d'Alexandre Allamanche (roman historique très bien documenté et écrit). Reste à voir si c'est votre style de lecture
