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AnonymousUser
Guest
Eurêka, j'ai enfin terminé ma méthodologie ! Je pense avoir compris le principe, ça me soulage, je n'ai plus peur de me casser les dents dessus le jour J.
Louis;2052155 a dit :Mais avant je veux rédiger mon texte pour notre oral, et là-dessus je galère car ça fait six ans que je n'ai pas rédigé en anglais. Vous savez où est-ce que je pourrai trouver de l'aide ?
Ah oui effectivement. Nous c'est totalement différent : une personne va axer son mémoire sur le punk, une autre sur le photojournalisme, un sur les films d'horreurs, un sur le kitsch, bref que des sujets traités, mais on doit vraiment en faire un truc critique. Bon on nous dit que c'est pas vraiment un mémoire (on n'a pas de directeur de mémoire par exemple), mais un essai. Et là on est largués dans la nature.Louis;2052796 a dit :Merci pour ta réponse !
C'est très étrange. Nous devons justifier le choix de nos sujets de mémoire mais dans un tout autre sens... Pourquoi ce sujet équivaut à Pourquoi choisissez-vous ça ? Personne n'en parle dans la littérature déjà existante ? Quelle est votre valeur ajoutée ? Allez-vous prendre le sujet via un angle inédit ? Avez-vous bien vérifié que vous ne faîtes pas de la redite ? C'est une quasi interdiction (implicite) de choisir un sujet parce qu'il nous tient à cœur, sous-entendu qu'on aurait pas assez de recul et d'objectivité. Il faut donc cacher nos affinités (sinon c'est très mal vu), et expliquer rationnellement le choix de notre sujet (contexte actuel, angle nouveau, critique de ce qui existe déjà, visée pratique dans le cadre d'une recherche action ? Etc.).