Ça me perturbe...

[Faol]

Ca me perturbe d'être la seule en maillot deux-pièces quand je vais faire des longueurs à la piscine à côté de chez moi... Rassurez-moi, ce n'est pas bizarre, je ne suis pas la seule à aller nager en bikini ? (autrement que pour les journées piscine/plages l'été) Je n'ai pas de maillot une-pièce, pas envie d'en acheter un, et en plus maintenant j'ai un joli tatouage sur le flanc droit donc j'ai encore plus de raisons de rester en deux-pièces

 

[Gressinni]

@Faol je fais partie de ces gens qui n'envisagent pas de faire des longueurs sans porter de une pièce les fois où j'ai pas eu le choix, y'a les seins qui menaçaient de se barrer du haut, en plongeant le bas se barre... En gros c'est bien plus stressant pour moi qu'avec le une pièce croisé.
Pour le côté esthétique, je porte un bonnet-préservatif, des lunettes et des bouchons alors c'est très très loin l'ensemble me fait tellement une tête de cul que je préfère encore qu'on voit pas mon tatouage et qu'on m'identifie

 

[shigurette]

@Faol Perso j'ai un deux pièces plutôt sport pour la piscine (ça tient mieux qu'un bikini de la plage) mais j'ai vu pas mal de femmes en bikini à la piscine même si pour le coup je me demande si c'est pratique pour faire des longueurs

 

[Faol]

@Gressinni @shigurette après moi je fais mes 1 km en brasse à mon rythme, je ne plonge pas, je ne fais pas 50m en crawl en 30 secondes, donc je suppose que c'est plus facile dans ce sens-là Je comprends très bien la question pratique ! Du coup vu vos réponses je dois être la seule à aller nager en dilettante en fait, ça va pas m'aider à être plus à l'aise

 

[Rocksteady]

@Faol

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[Faol]

@Rocksteady merci !! Enfin un témoignage qui va dans mon sens

 

[skippy01]

Je viens de lire un article sur la mémoire (celui-ci), et on peux y apprendre que les souvenirs que nous avons de notre enfance...sont faux. La fixation de ce type de souvenir n'apparaît qu'à l'adolescence, et si on croit se souvenir d'un truc de son enfance, c'est soit parce que des proches nous les ont racontés à ce moment là, soit parce qu'on s'est créé de faux souvenirs.

Pourtant, il me semble que j'ai des éléments de mon enfance d'événements que je n'ai jamais racontés à mes proches, dont ils ne m'ont pas reparlé à mon adolescence ou qui vont bien au-delà d'un événement raconté et dont j'ai pu vérifier par la suite qu'il n'était pas fabriqués (par exemple, le son exact que j'entendais dans un jeu vidéo de mon enfance). Du coup, c'est hautement perturbant d'apprendre qu'ils ne sot pas «réels».

 

[BouletteRose]

@skippy01 Il me semble pourtant que c'est à partir de 3 ans (ou 5 je ne sais plus exactement) que l'on est capable d'avoir des souvenirs. L'adolescence ça me parait très tardif quand même

 

[BouletteRose]

Si je me souviens bien, c'était un documentaire sur la mémoire qui disait que le cerveau était incapable de garder des souvenirs sur le long terme avant au moins 3 ans (ou 5 ans du coup je ne me souviens ironiquement plus).
Mais effectivement les souvenirs peuvent devenir plus ou moins flou avec le temps et les "trous" dans nos souvenir finissent par être comblés instinctivement par le cerveau en partie avec nos biais cognitifs.
Y'avait eu une étude là dessus où pleins de sujets test devaient regarder une vidéo d'acteurs dans une scène de braquage de caisse d'un magasin et ensuite répondre à des questions sur la scène comme pour un interrogatoire/témoignage. énormément de témoignages étaient faux et/ou incomplets au final (description du braqueur incorrect, déclarations d'avoir entendu plusieurs coups de feu alors qu'il n'y en avait qu'un seul etc).

C'est fascinant de se dire qu'on ne peut même pas faire entièrement confiance à notre propre mémoire au final

 

[Rocksteady]

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[Rocksteady]

Un couple avec deux personnes qui ont tendance à monter très vite dans les tours, j'imagine que cela doit donner ce genre d'histoires.

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[skippy01]

C'est parce que parfois, on aura tendance à rationaliser les crises de nerf au point de les considérer comme quelque chose de normal. Et effectivement, l'intériorisation de l'idée «il te fait ça parce qu'il t'aime» joue aussi un rôle. Enfin, la perspective d'une réconciliation sur l'oreiller peut aider à «relativiser» les disputes, voire en faire un «mal nécéssaire».

Juste une précision: l'adage «qui aime bien châtie bien» n'est en rien une apologie des relations toxiques, même si ça y est très souvent assimilé, mais signifie «qui aime bien purit adéquatement».