Elle : tu faisais partie de mes amis proches même si parfois j'étais mitigée sur ton comportement (et j'avais raison en fait). Tu as beaucoup profité et moi j'ai beaucoup fermé les yeux sur tes défauts (le fait que tu ne parles jamais de rien d'autre que toi même, qui ne t'intéresse à rien d'autre que toi même, que tu n'écoutes jamais les autres, que tu fasses encore beaucoup preuve d'immaturité, que tu te permettes d'une façon d'insulter ou de rabaisser mon copain, que tu amènes des personnes chez moi sans réellement me demander mon avis...) j'ai accepté, vraiment. Et tu va de personne en personne, pensant que les gens sont à ta disposition, qu'ils sont tes petits bouches trous ou que sais-je.
1) Tu n'es rien, tu ne vaux rien, et tu devrais baisser les yeux quand tu me vois. Celle qui manque d'éducation, visiblement, ce n'est pas moi. Je te méprise, je méprise les gens comme toi car ils ne sont même pas francs envers eux même, ils prétendent être des gens qu'ils ne sont pas, je les méprise et je les plainds. Puisque tu ne donne plus de nouvelles ni signes de vie, tu ne fais plus parti ni du passé, du présent, et encore moins du futur.
2) Ceci est la dernière fois que je parle de toi. Tu n'existe plus à mes yeux. Je te souhaite bonne continuation dans ta vie naze.
Lui : toi aussi tu m'as joué ce beau tour. A croire que c'est ce que j'attire comme phénomène : les gens qui ne m'adressent plus la parole du jour au lendemain. Que ça soit des connaissances passe encore, mais des amis proches, je ne le conçois pas.
Toi aussi tu as des défauts que j'ai accepté, même si des fois tu as fait des choses que tu n'aurais pas du, je ne t'en ai pas tenu rigueur, j'ai été plus que coulante. Je te connais depuis des années ... Tu as été un réel ami, a qui je me suis confié, avec qui j'ai partagé des choses ... Et aujourd'hui tu décides de ne plus rien être ? très bien, je prends en compte ta requête. Tu t'es entouré de gens qui compte le plus, mais moi je te connais depuis des années. Et quand tu voulais parler j'étais la.
Je refuse de croire que c'est moi le problème, je n'aime pas l'ingratitude. Puisque tu eux piétiner sur notre amitié, qu'il en soit ainsi, tu n'existe pas. Je ne te connais plus, et il ne sera plus jamais question de venir vers moi. Je vous crache dessus parce que vous êtes misérable à mes yeux, vous n'êtes plus rien.
Lui x2 : Hier j'ai relu les sms que j'échangeais avec mon meilleur ami pendant que je me plaignais de toi et de la douleur que j'ai eu suite à ton geste. 5 mois à morfler, ça fait beaucoup pour un lâche de ton espèce. Outre le fait qu'il a été d'une patience d'ange, relire ces sms m'a fait rire, et j'ai trouvé ça ridicule, un peu pathétique. Puisque tu ne vaux pas le coup que quiconque s'intéresse à toi, et ressente ce genre de choses pour toi.
Ne crois jamais que je te regrette ou que je pense tendrement à toi des fois, tu es tellement insignifiant que je ne ressens rien pour toi, même pas de la colère ... Je ne vais pas regretter ; ni toi ni les moments que j'ai passé avec toi. Avec les gens de ton genre, on avance pas.
Si je t'avais en face de moi, je pense que j'aurai à la rigueur un peu de peine pour toi. Mais surtout, ça me ferait ressentir à quel point j'ai de la chance de ne pas être comme toi. Partir a été un très beau cadeau de ta part cela dit. Alors merci, et bon vent!
Aux 3 : comment ai-je pu ne serait ce qu'une seule seconde tenir à des gens comme vous ? Vous ne m'inspirez que du dégout.