Bonsoir,
Je ne sais pas si je suis digne de ce topic, mais il me fait sourire..
Mon premier copain, je l'ai eu à 16 ans, l'an dernier. Sortie ensemble de... je sais pas, 6mois sachant qu'on s'est quitté en juillet 2009.
Je ne suis pas sure de l'avoir vraiment aimé, ce Z (dans ma classe). Je n'étais pas aussi fascinée en y pensant que lorsque je pensais à X, ce garçon inaccessible de mon lycée. Il me disait "je t'aime", j'equivais, puis culpabilisais. J'ai finit par le lui dire sans vraiment y croire, mais je l'aimais quand mêm en fait, juste pas "amoureuse", plutot comme un ami j'imagine. Et j'étais toujours autant obnubilée par X. Puis Z a changé, a changé de fréquentations et de 'mode de vie'. Juste avant les grandes vacances, il me dégoutait, je suis partie en pleurant de frustration en lui disant que c'était plus possible, qu'on ferait mieux de s'arreter là.
C'est après deux semaines de vacances qu'il m'appelle pour me dire que j'avais raison. Je comprends pas qui a plaqué qui car pour moi, c'était déjà fait, mais pas pour lui apparament. Mais comme j'en avais conscience, j'ai refusé les avances d'un gus adorable. M'enfin bref.
Si ça n'a pas marché, ce n'est pas qu'à cause de lui, mais aussi à cause de mon peu de liberté j'imagine.
Mes parents n'étant pas 'pour' avoir un petit copain à 16 ans, il n'était pas aisé de le voir en dehors du lycée.
Puis je suis de nature tellement timide/pudique/flippée (à l'idée qu'untel dise à mère que sa fille fricotte) que je le rembarrais souvent lorsqu'il voulait m'embrasser en public.
J'abrège.
Rentrée 2009/2010, je suis dans la classe de tout ses potes (sauf lui). Le revoir ne me fait rien de spécial, si ce n'est qu'il a radicalement changé de style (+ séducteur j'imagne) et que ses potes s'amusent à me chambrer.
Tout ce que je regrette, c'est de ne pas l'avoir quitté clairement, car depuis qu'on est plus ensemble, il fait la chasse au fille. Et moi, je passe comme pour uen victime. Quand on parle de moi, c'est pour m'attribuer le préfixe " c'est l'ex de Z ".
Et franchement, ça commence à me peser.
J'ai l'impression de ne plaire qu'aux vieux (grand pere qui veut s'allonger à coté de moi sur l'herbe, mec édenté avec 3 poils sur le caillou qui me suis et me parle un language inaudible).
Mère a cru bon de discuter avec moi de ce sujet. Apparament, je suis "autorisée" à vivre ma vie de jeune fille en fleur.
C'est sympa, merci, encore faudrait il qu'X (le gus du lycée maintenant étudiant j'imagine) revienne et me demande en mariage.
Voilà, j'ai 17 ans, je prépare le BAC, je suis loin d'être désesperée après pratiquement un an de célibat (j'ai bien tenu 16 années après tout) mais romantique dans l'âme, il me manque quelque chose " pouvoir aimer " et peut etre plus difficile : " l'etre en retour ".