@Thymine : Non, toujours pas de réponse...
@Dalhousie : Merci pour ton message et ton point de vue. Je n'ai pas vraiment suivi ton histoire avec le PEP, mais je te fais de gros câlins.
Quant au fait d'envoyer un dernier message à C., je vais voir... Pour le moment je ne préfère pas. Je me dis que ça ne sert à rien. Une part de moi est déjà en train de passer à autre chose.
Je n'ai pas envie de lui courir après... Ton hypothèse sur le fait que C., depuis l'obtention de son nouveau job, s'interroge sur sa vie et tout ce que ça implique, est tout à fait plausible – j'y ai moi-même pensé, et lui-même avait très vite-fait évoqué ça lors de l'un de nos derniers rendez-vous. Peut-être ne se sent-il tout simplement pas capable d'entretenir une relation sérieuse avec son travail très prenant ; s'il a été traumatisé par une histoire passée par exemple, comme j'avais cru le deviner... Après, à lui de se dépatouiller avec ses croyances limitantes. Et, bien sûr, ça n'excuse en rien son comportement.
Je pense qu'il n'y a rien de plus méprisant que l'ignorance.
Alors puisqu'il m'ignore, moi aussi je l'ignore. Il n'a pas saisi les perches que je lui ai tendues, et pourtant j'étais vraiment prête à discuter et à entendre ce qu'il avait à me dire. Il a choisi de se comporter comme un lâche et de fuir ; pour moi ça en dit suffisamment sur sa personnalité pour ne pas avoir envie de continuer.
On n'a pas dit qu'on se séparait ou qu'on arrêtait, mais franchement là je ne vois pas d'autre issue.
Je suis extrêmement déçue, mais je me dis que si c'est arrivé c'est qu'il y avait une bonne raison, et que la vie me réserve bien mieux au tournant.
Bon, bien sûr, ça ne veut pas dire que je ne vais pas continuer de morfler dans les prochains jours (par exemple, ce matin, j'ai chialé comme une Madeleine).
Mais au moins j'ai l'intention d'avancer et de ne pas me morfondre ou regretter une histoire pareille. Pour qu'elle se finisse de cette manière alors qu'avant tout était très chouette, c'est qu'il y avait anguille sous roche de toute façon...
@Dalhousie : Merci pour ton message et ton point de vue. Je n'ai pas vraiment suivi ton histoire avec le PEP, mais je te fais de gros câlins.

Quant au fait d'envoyer un dernier message à C., je vais voir... Pour le moment je ne préfère pas. Je me dis que ça ne sert à rien. Une part de moi est déjà en train de passer à autre chose.
Je n'ai pas envie de lui courir après... Ton hypothèse sur le fait que C., depuis l'obtention de son nouveau job, s'interroge sur sa vie et tout ce que ça implique, est tout à fait plausible – j'y ai moi-même pensé, et lui-même avait très vite-fait évoqué ça lors de l'un de nos derniers rendez-vous. Peut-être ne se sent-il tout simplement pas capable d'entretenir une relation sérieuse avec son travail très prenant ; s'il a été traumatisé par une histoire passée par exemple, comme j'avais cru le deviner... Après, à lui de se dépatouiller avec ses croyances limitantes. Et, bien sûr, ça n'excuse en rien son comportement.
Je pense qu'il n'y a rien de plus méprisant que l'ignorance.
Alors puisqu'il m'ignore, moi aussi je l'ignore. Il n'a pas saisi les perches que je lui ai tendues, et pourtant j'étais vraiment prête à discuter et à entendre ce qu'il avait à me dire. Il a choisi de se comporter comme un lâche et de fuir ; pour moi ça en dit suffisamment sur sa personnalité pour ne pas avoir envie de continuer.
On n'a pas dit qu'on se séparait ou qu'on arrêtait, mais franchement là je ne vois pas d'autre issue.
Je suis extrêmement déçue, mais je me dis que si c'est arrivé c'est qu'il y avait une bonne raison, et que la vie me réserve bien mieux au tournant.
Bon, bien sûr, ça ne veut pas dire que je ne vais pas continuer de morfler dans les prochains jours (par exemple, ce matin, j'ai chialé comme une Madeleine).
