Bon allez @Astérie, qu'attends-tu pour bloquer Satan de partout et le jarter définitivement de ta vie ?
Je sais que tu peux le faire. Je comprends que ce soit difficile, mais là, tu commences à réaliser pleinement qu'il ne changera pas et que tu n'es pas et ne pourras pas être son sauveur. À part te faire cogiter et te mettre en colère pour rien (il n'en vaut franchement pas la peine), cette pseudo-relation, cet ersatz de relation, ne t'apporte rien. Plus je te lis plus je me demande pourquoi tu t'infliges encore sa présence. Comme si tu ne voulais pas lâcher ce boulet que tu as à la cheville, pour enfin te libérer et voler de tes propres ailes... De quoi as-tu peur en rompant tout lien avec lui ? T'es-tu tellement identifiée à cette part de toi attachée à lui que, si jamais tu décides de la laisser derrière, tu crains de disparaître ?
Ne t'inquiète pas, tu ne disparaîtras pas.
Et en lâchant cette part de toi engluée à lui, collée comme une moule l'est à son rocher, en lâchant tout ça, tu auras tout l'espace nécessaire pour t'épanouir et cesser de tourner en rond.
En fait ça me désole de te voir autant ramer et décidée à garder contact avec lui, t'autoriser encore à te laisser toucher par ses mots manipulateurs et pleurnichards – et le pire c'est que tu en es consciente, comme si tu étais accro à une drogue : tu sais que ça te fait du mal mais tu continues.
Lui gardera contact avec toi parce que ça l'arrange, parce qu'il peut se défouler sur toi et s'illusionner lui-même à propos de l'emprise, du pouvoir qu'il a encore sur toi.
Une personne n'a de pouvoir que si on lui en donne.
Tu peux ne plus lui en donner.
Je sais que ça peut faire peur, mais là vraiment, depuis des mois et des mois que ça dure, j'ai mal pour toi, je meurs d'envie de t'aider à briser ces chaînes qui t'empêchent de respirer et de vivre pleinement. Des fois il est nécessaire de couper les branches pourries. Satan est une branche pourrie.
Tu en es consciente, maintenant, non ? Alors pourquoi garder Satan dans ta vie, revenir à lui, le laisser t'atteindre, alors que tu sais pertinemment qu'il ne va rien t'apporter de bon ? Tu as cette force en toi de le laisser derrière toi, c'est sûr et certain. Allez, il est temps maintenant Astérie, vraiment.
Bien sûr tu fais ce que tu veux, et si mon message t'a trop secouée ou que tu l'as trouvé trop intrusif, je ne me mêlerai plus de cette histoire. Parce qu'évidemment tu es la seule décisionnaire. Et quelque part ça me fait me sentir mal parce que je me retrouve face à ma propre impuissance face à ta situation.
Il ne tient qu'à toi de te libérer.

Désolée si mes mots peuvent paraître durs, ce n'est pas du tout mon intention.
Je sais que tu peux le faire. Je comprends que ce soit difficile, mais là, tu commences à réaliser pleinement qu'il ne changera pas et que tu n'es pas et ne pourras pas être son sauveur. À part te faire cogiter et te mettre en colère pour rien (il n'en vaut franchement pas la peine), cette pseudo-relation, cet ersatz de relation, ne t'apporte rien. Plus je te lis plus je me demande pourquoi tu t'infliges encore sa présence. Comme si tu ne voulais pas lâcher ce boulet que tu as à la cheville, pour enfin te libérer et voler de tes propres ailes... De quoi as-tu peur en rompant tout lien avec lui ? T'es-tu tellement identifiée à cette part de toi attachée à lui que, si jamais tu décides de la laisser derrière, tu crains de disparaître ?
Ne t'inquiète pas, tu ne disparaîtras pas.
Et en lâchant cette part de toi engluée à lui, collée comme une moule l'est à son rocher, en lâchant tout ça, tu auras tout l'espace nécessaire pour t'épanouir et cesser de tourner en rond.
En fait ça me désole de te voir autant ramer et décidée à garder contact avec lui, t'autoriser encore à te laisser toucher par ses mots manipulateurs et pleurnichards – et le pire c'est que tu en es consciente, comme si tu étais accro à une drogue : tu sais que ça te fait du mal mais tu continues.

Lui gardera contact avec toi parce que ça l'arrange, parce qu'il peut se défouler sur toi et s'illusionner lui-même à propos de l'emprise, du pouvoir qu'il a encore sur toi.
Une personne n'a de pouvoir que si on lui en donne.
Tu peux ne plus lui en donner.
Je sais que ça peut faire peur, mais là vraiment, depuis des mois et des mois que ça dure, j'ai mal pour toi, je meurs d'envie de t'aider à briser ces chaînes qui t'empêchent de respirer et de vivre pleinement. Des fois il est nécessaire de couper les branches pourries. Satan est une branche pourrie.
Tu en es consciente, maintenant, non ? Alors pourquoi garder Satan dans ta vie, revenir à lui, le laisser t'atteindre, alors que tu sais pertinemment qu'il ne va rien t'apporter de bon ? Tu as cette force en toi de le laisser derrière toi, c'est sûr et certain. Allez, il est temps maintenant Astérie, vraiment.
Bien sûr tu fais ce que tu veux, et si mon message t'a trop secouée ou que tu l'as trouvé trop intrusif, je ne me mêlerai plus de cette histoire. Parce qu'évidemment tu es la seule décisionnaire. Et quelque part ça me fait me sentir mal parce que je me retrouve face à ma propre impuissance face à ta situation.
Il ne tient qu'à toi de te libérer.

Désolée si mes mots peuvent paraître durs, ce n'est pas du tout mon intention.