@Cha_215 Tout plein de courage, je compatis pour cette angoisse et espère que les pires scénarios seront écartés 
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Célibattantes !
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Je sais plus quoi faire, je me sens tellement mal que "se sentir tellement mal" est une expression qui me semble bien trop gaie pour décrire mon état.
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@Cha_215 Je t'envoie tout mon soutien 
Surtout ne culpabilise pas de ton état, il y a franchement de quoi être complètement à plat avec tout ce que tu as vécu ces derniers temps...
Si ça peut t'aider un peu, voilà quelques conseils que j'essayais d'appliquer dans ce genre de période
- Comme je disais ne pas culpabiliser, ne pas se dire qu'on est nul.le, stupide, fainéant ou bon à rien
- se dire que cette période ne durera pas éternellement mais ne pas se forcer à tout prix à en sortir. Ton corps comme ton esprit ont besoin de récupérer, laisse toi un peu de temps...
Un jour tu te rendras compte que tu a souri, puis ri, que tu n'y a pas pensé pendant quelques heures... C'est bateau à dire mais il faut du temps (je détestait qu'on me le dise lors de ma rupture, mais en me laissant le temps de faire mon deuil effectivement ça va mieux)
- Tu peux essayer progressivement de faire deux petites choses qui te sortent de cette torpeur: écouter une musique que tu aimes, regarder un film doudou, manger une pâtisserie, dessiner, bricoler si tu es manuelle...
(Perso j'aimais bien colorier des mandalas "anti stress" en écoutant des musiques calmes)
- venir écrire ici, où écrire ailleurs, évacuer, pleurer... Tant que ça sort ça fait du bien
- Écoute toi et si tu ne veux voir personne, c'est ton droit ! Souvent je me forçais à sortir et je culpabilisation ensuite d'avoir été de mauvaise compagnie... Mais par contre accepte les mains tendues des tes ami.e.s, s'ils te proposent de l'aide
- Essaie de penser à chaque chose en son temps: comme toi j'étais dans une année charnière, j'avais un mémoire à écrire, beaucoup de dossiers à rendre etc, mais finalement me laisser un mois voir presque deux de "pause" où je ne faisais que le strict minimum, où je pleurais tout le temps et où je n'avais le goût à rien m'a permis par la suite de m'y consacrer entièrement quand je me sentais un peu mieux
Bref, je ne sais pas si je ne fais que répéter des lieux communs et des gros clichés ...
Je t'envoie plein de courage
Surtout ne culpabilise pas de ton état, il y a franchement de quoi être complètement à plat avec tout ce que tu as vécu ces derniers temps...
Si ça peut t'aider un peu, voilà quelques conseils que j'essayais d'appliquer dans ce genre de période
- Comme je disais ne pas culpabiliser, ne pas se dire qu'on est nul.le, stupide, fainéant ou bon à rien
- se dire que cette période ne durera pas éternellement mais ne pas se forcer à tout prix à en sortir. Ton corps comme ton esprit ont besoin de récupérer, laisse toi un peu de temps...
Un jour tu te rendras compte que tu a souri, puis ri, que tu n'y a pas pensé pendant quelques heures... C'est bateau à dire mais il faut du temps (je détestait qu'on me le dise lors de ma rupture, mais en me laissant le temps de faire mon deuil effectivement ça va mieux)
- Tu peux essayer progressivement de faire deux petites choses qui te sortent de cette torpeur: écouter une musique que tu aimes, regarder un film doudou, manger une pâtisserie, dessiner, bricoler si tu es manuelle...
(Perso j'aimais bien colorier des mandalas "anti stress" en écoutant des musiques calmes)
- venir écrire ici, où écrire ailleurs, évacuer, pleurer... Tant que ça sort ça fait du bien
- Écoute toi et si tu ne veux voir personne, c'est ton droit ! Souvent je me forçais à sortir et je culpabilisation ensuite d'avoir été de mauvaise compagnie... Mais par contre accepte les mains tendues des tes ami.e.s, s'ils te proposent de l'aide
- Essaie de penser à chaque chose en son temps: comme toi j'étais dans une année charnière, j'avais un mémoire à écrire, beaucoup de dossiers à rendre etc, mais finalement me laisser un mois voir presque deux de "pause" où je ne faisais que le strict minimum, où je pleurais tout le temps et où je n'avais le goût à rien m'a permis par la suite de m'y consacrer entièrement quand je me sentais un peu mieux
Bref, je ne sais pas si je ne fais que répéter des lieux communs et des gros clichés ...
Je t'envoie plein de courage
@Cha_215
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Tout d'abord, je t'envoie tout mon courage.
Je pense que les conseils de @Lili Liane et @MorganeGirly sont tout à fait adaptés et à garder en tête. Ne combats pas la douleur, accepte de la ressentir et laisse le temps qu'il faut pour cela passe : c'est tout à fait normal que tu te sentes comme ça après ce qui est arrivé. Essaie de rester en lien avec tes proches, même si tu as l'impression d'être de mauvaise compagnie à cause de l'état dans lequel tu te trouves actuellement. N'importe qui se sentirait de cette manière à ta place, d'autant plus que tu es passée par une série d'états émotionnels très durs dans une période de temps très réduite. Ne te prends pas trop la tête avec tes études, il n'y a pas d'"année charnière", tu pourras te concentrer à fond dessus quand le temps sera venu. Ta santé et ton bien-être passent avant tout le reste. J'ai déjà dû mettre en pause des projets pour des raisons un peu différentes des tiennes, mais qui m'ont également procuré un mal-être trop intense pour poursuivre une vie normale et je t'assure que si, sur le coup, ça me paraissait être la fin du monde et de toutes mes ambitions professionnelles, ça n'a jamais été le cas. Parce qu'une fois que ça va mieux, on trouve toujours le courage de rebondir. Donc pour le moment, n'y pense pas trop, essaie juste de faire ce qui te semble possible ! Et si ça te paraît trop difficile, tu prends du temps pour toi. Tu as le droit de te reposer : le plus important, c'est toi. Si reprendre un peu de médicaments pour un temps te fait du bien, juste histoire d'avoir une béquille pour pouvoir entreprendre quelques activités "normales" (sans t'imposer trop de challenges inatteignables non plus), tu peux peut-être en discuter avec ton médecin traitant qui t'indiquera la marche à suivre - mais surtout, fais-le avec un bon suivi médical et en gardant à l'esprit qu'il ne peut s'agir que d'un coup de pouce et non d'une solution en soi. Il faut que tu entreprennes un véritable travail de fond sur toi-même pour te consolider et réussir à te tirer de cet état. Je sais que ça peut paraître très con comme conseil, mais est-ce que tu as déjà pensé à consulter un hypnothérapeute ou des techniques de médecine alternatives comme la Trame (https://www.la-trame.com/) ? Beaucoup de gens sont assez dubitatifs face à ce genre de méthodes, mais elles sont extrêmement efficaces pour les personnes qui, comme ça a l'air d'être le cas pour toi, souffrent de problème d'anxiété et de manque d'estime envers eux-mêmes. De plus, ce sont des thérapies brèves qui, généralement, soulagent certains maux de manière assez rapide. Toutes les angoisses ne disparaissent pas, mais tu pourrais trouver certaines clés pour mieux les appréhender et leur laisser moins de place dans ton quotidien.
J'espère que ces conseils ne te paraissent pas trop déplacés.
Je te souhaite tout le courage du monde pour parvenir à te sortir de cette situation. Ça ira mieux, n'en doute pas.
@Cha_215 On sent ta détresse à travers tes posts, ça me serre le cœur pour toi. 
Prends soin de toi et ne te mets pas la pression inutilement, tu as le droit d'être mal. Je t'envoie plein de courage !
@Silure_
Sinon de mon côté, je me fatigue moi-même.
Prends soin de toi et ne te mets pas la pression inutilement, tu as le droit d'être mal. Je t'envoie plein de courage ! @Silure_
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@zoulouve
Sinon, j'ai lu que vous vous demandiez si c'était vrai les gens qui trouvaient quelqu'un "trop bien pour eux" et du coup rompaient. J'avoue que c'est un concept que j'ai du mal à comprendre car je veux mon propre bien, donc si je suis bien avec quelqu'un, je m'arrête à ça, pas au fait de suis-je assez bien pour lui.
Seulement, une de mes amies m'a expliqué qu'elle traverse parfois des phases où elle va vraiment mal, et dans ces moments-là, elle souffre beaucoup dans ses interactions avec les autres. Parfois, elle se dit qu'elle préférerait vivre seule sans plus jamais voir les gens qu'elle aime parce que c'est plus facile de gérer la solitude que la souffrance qu'on ressent en lien avec les gens qu'on aime. Alors parfois, elle serait prête à sacrifier tout amour (amitié, copain, famille) pour ne plus rien ressentir de douloureux.
Elle m'a dit aussi que ça lui arrivait de vouloir rompre avec son copain quand elle se sent mal, parce qu'elle se trouve irrationnelle et se déteste dans ces moments-là, et elle a peur qu'il finisse par ne plus l'aimer ou par lui faire du mal, et dans ces moments-là, elle a envie de le quitter pour éviter qu'il ne cesse de l'aimer ou parce que l'idée de le faire souffrir la tourmente.
Ce n'est pas tout à fait "tu es trop bien pour moi" mais plus "je t'aime trop pour rester avec toi" ou "tu mérites mieux que moi" dans son cas, mais j'imagine que "tu es trop bien pour moi" fonctionne dans le même genre.
Dans un truc similaire, un ami m'a dit aussi que quand il était plus jeune, il avait fait beaucoup de mal à son ex (tromperie, laisser planer le doute sur ses sentiments, etc.) et qu'il l'avait quittée pour une fille qu'il trouvait moins bien parce qu'il avait tellement peur de perdre son ex qu'il trouvait exceptionnelle que ça lui avait paru être une façon de garder le contrôle que d'être celui qui la quittait et la faisait souffrir.
Dans tous les cas, je pense qu'il ne faut pas être très épanoui pour raisonner comme ça!
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Sinon, j'ai lu que vous vous demandiez si c'était vrai les gens qui trouvaient quelqu'un "trop bien pour eux" et du coup rompaient. J'avoue que c'est un concept que j'ai du mal à comprendre car je veux mon propre bien, donc si je suis bien avec quelqu'un, je m'arrête à ça, pas au fait de suis-je assez bien pour lui.
Seulement, une de mes amies m'a expliqué qu'elle traverse parfois des phases où elle va vraiment mal, et dans ces moments-là, elle souffre beaucoup dans ses interactions avec les autres. Parfois, elle se dit qu'elle préférerait vivre seule sans plus jamais voir les gens qu'elle aime parce que c'est plus facile de gérer la solitude que la souffrance qu'on ressent en lien avec les gens qu'on aime. Alors parfois, elle serait prête à sacrifier tout amour (amitié, copain, famille) pour ne plus rien ressentir de douloureux.
Elle m'a dit aussi que ça lui arrivait de vouloir rompre avec son copain quand elle se sent mal, parce qu'elle se trouve irrationnelle et se déteste dans ces moments-là, et elle a peur qu'il finisse par ne plus l'aimer ou par lui faire du mal, et dans ces moments-là, elle a envie de le quitter pour éviter qu'il ne cesse de l'aimer ou parce que l'idée de le faire souffrir la tourmente.
Ce n'est pas tout à fait "tu es trop bien pour moi" mais plus "je t'aime trop pour rester avec toi" ou "tu mérites mieux que moi" dans son cas, mais j'imagine que "tu es trop bien pour moi" fonctionne dans le même genre.
Dans un truc similaire, un ami m'a dit aussi que quand il était plus jeune, il avait fait beaucoup de mal à son ex (tromperie, laisser planer le doute sur ses sentiments, etc.) et qu'il l'avait quittée pour une fille qu'il trouvait moins bien parce qu'il avait tellement peur de perdre son ex qu'il trouvait exceptionnelle que ça lui avait paru être une façon de garder le contrôle que d'être celui qui la quittait et la faisait souffrir.
Dans tous les cas, je pense qu'il ne faut pas être très épanoui pour raisonner comme ça!
Dernière édition :
@MorganeGirly
Sinon de mon côté
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Sinon de mon côté
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@MorganeGirly J'avoue que de prime abord je suis plutôt d'accord avec toi. Comme toi, il m'arrive de rencontrer des gens, de leur trouver des qualités extraordinaires. Des gens qui font mille choses que je trouve géniales, réussissent, ont l'air épanouis, restent humbles. En somme qui font des choses que je ne pense pas pouvoir faire ou pas aussi bien. Pour autant je n'irai pas penser que cette personne est trop bien pour moi mais peut-être plutôt que je suis un peu insignifiante à côté. Si la personne s'intéresse à moi je me sentirai valorisée, je ne me dirai pas "oh non, cette personne est tellement extraordinaire, je ne vais quand même pas, moi petite chose ridicule, accepter ses avances.".
Donc je pense qu'il y a un gros manque de confiance en soi à la base de ce genre de réaction, sinon je ne me l'explique pas.
Cependant comme cela a pu être dit, je peux comprendre que ce ne soit pas le moment pour la personne quand ça lui "tombe dessus", si elle ne se sent pas suffisament bien dans sa vie pour commencer une relation.
Donc je pense qu'il y a un gros manque de confiance en soi à la base de ce genre de réaction, sinon je ne me l'explique pas.
Cependant comme cela a pu être dit, je peux comprendre que ce ne soit pas le moment pour la personne quand ça lui "tombe dessus", si elle ne se sent pas suffisament bien dans sa vie pour commencer une relation.
Merci @MorganeGirly
@Cha_215 c'est vrai que tu as eu vraiment beaucoup d'evenements difficiles en peu de temps.
Sinon moi j'ai passé plus de deux heures au tel avec D hier. C'etait sympa. Il m'a quand meme dit que ce qu'il eprouvait pour moi c'est de l'amour. pas l'amour des couples hein... Et je me suis sentie mal toute la journee sans vraiment pouvoir expliquer pourquoi. J'en ai marre de moi des fois.
@Cha_215
c'est vrai que tu as eu vraiment beaucoup d'evenements difficiles en peu de temps.Sinon moi j'ai passé plus de deux heures au tel avec D hier. C'etait sympa. Il m'a quand meme dit que ce qu'il eprouvait pour moi c'est de l'amour. pas l'amour des couples hein... Et je me suis sentie mal toute la journee sans vraiment pouvoir expliquer pourquoi. J'en ai marre de moi des fois.
@zoulouve il faudrait un mot pour ça, le fait d'aimer quelqu'un au-delà de l'amitié, l'aimer, vraiment, mais pas amoureusement.
Non parce que, c'est peut-être mon côté littéraire, mais quand il n'y a pas de mot ça m'inquiète, ça laisse place à l'incertitude, au flou, et ça risque de basculer d'un côté ou de l'autre sans crier gare.
Non parce que, c'est peut-être mon côté littéraire, mais quand il n'y a pas de mot ça m'inquiète, ça laisse place à l'incertitude, au flou, et ça risque de basculer d'un côté ou de l'autre sans crier gare.
Dernière édition :
@Osha
@selfish Merci ! Ça me flatte énormément (surtout venant de toi)
@hellrosa. Tu vas me faire rougir !
Edit.
@Praeterae : Faire la meuf pour moi, c'est jouer l'indifférente et faire comme si son comportement ne t'atteignait pas, parfois de manière volontairement cramée dans le but de faire comprendre à l'autre que tu es énervée.
Mini update:
Edit
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@selfish Merci ! Ça me flatte énormément (surtout venant de toi
)@hellrosa. Tu vas me faire rougir !
Edit.
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@Praeterae : Faire la meuf pour moi, c'est jouer l'indifférente et faire comme si son comportement ne t'atteignait pas, parfois de manière volontairement cramée dans le but de faire comprendre à l'autre que tu es énervée.
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