hey,
je reviens donner des nouvelles.
Ca faisait bien six mois que je faisais du yoga quasi quotidien et ça m'a fait beaucoup de bien. Entre la météo et qq autres choses dont une blessure qui remettait des projets de course à pied à bien plus tard, j'étais passablement déprimée vers décembre 2019/janvier 2020 et le yoga était parfois LA chose bien que je faisais par jour.
J'ai fait YWA et aussi des vidéos et challenges du site canadien et anglophone Do Yoga with me (j'avais trouvé le lien dans ce forum, merci à la Madz qui l'avait posté!) Les profs, les difficultés, les styles sont très variés. Il y a un accès gratuit à certaines vidéos et un accès payant pour d'autres, sans compter qu'ils en ont mis certaines sur Youtube
(c'était la troisième fois que je le faisais cette année et je le trouve toujours aussi dur).
Je pense prendre l'accès payant à la rentrée, histoire de me motiver à continuer (et au pire, ça me permettrait de soutenir une initiative que je trouve cool).
J'ai eu quinze jours de no yoga, entre les allers-retours chez moi/chez mon ex (qui avait un tapis de sport moisi et pas vraiment d'espace pour me permettre de pratiquer), une rando hardos et un déménagement, c'était pas facile de réunir temps + lieu + matos. Mais je m'y suis remise début juillet.
En attendant, je me lance dans le calendrier de juin d'Adriene. Il m'avait l'air assez intense (c'est moi ou les séances sont plus longues que d'habitude ?) et ça se confirme. Je ne sais pas si on peut perdre de la souplesse en quinze jours (ou si le fait de pratiquer sur un tapis en mousse pas prévu pour joue) mais j'ai du mal avec le fait de passer de chien tête en bas à une fente. Alors, ça a toujours manqué de grâce mais là, ça devient un peu grotesque (ou alors j'ai oublié que je galérais, possible aussi).
Mais je vois les effets de ma pratique :
(et puis, revenez quoi!)
je reviens donner des nouvelles.
Ca faisait bien six mois que je faisais du yoga quasi quotidien et ça m'a fait beaucoup de bien. Entre la météo et qq autres choses dont une blessure qui remettait des projets de course à pied à bien plus tard, j'étais passablement déprimée vers décembre 2019/janvier 2020 et le yoga était parfois LA chose bien que je faisais par jour.
J'ai fait YWA et aussi des vidéos et challenges du site canadien et anglophone Do Yoga with me (j'avais trouvé le lien dans ce forum, merci à la Madz qui l'avait posté!) Les profs, les difficultés, les styles sont très variés. Il y a un accès gratuit à certaines vidéos et un accès payant pour d'autres, sans compter qu'ils en ont mis certaines sur Youtube
Je pense prendre l'accès payant à la rentrée, histoire de me motiver à continuer (et au pire, ça me permettrait de soutenir une initiative que je trouve cool).
J'ai eu quinze jours de no yoga, entre les allers-retours chez moi/chez mon ex (qui avait un tapis de sport moisi et pas vraiment d'espace pour me permettre de pratiquer), une rando hardos et un déménagement, c'était pas facile de réunir temps + lieu + matos. Mais je m'y suis remise début juillet.
En attendant, je me lance dans le calendrier de juin d'Adriene. Il m'avait l'air assez intense (c'est moi ou les séances sont plus longues que d'habitude ?) et ça se confirme. Je ne sais pas si on peut perdre de la souplesse en quinze jours (ou si le fait de pratiquer sur un tapis en mousse pas prévu pour joue) mais j'ai du mal avec le fait de passer de chien tête en bas à une fente. Alors, ça a toujours manqué de grâce mais là, ça devient un peu grotesque (ou alors j'ai oublié que je galérais, possible aussi).
Mais je vois les effets de ma pratique :
- certes, le miroir de ma présente chambre est très flatteur mais quand même : je commence à avoir le ventre que je veux.
- j'arrive à faire des pompes! alors que j'étais certaine d'en être incapable (résultat, je piquais un fou-rire nerveux dès qu'il était question d'en faire : impossible de décoller du sol)
- je découvre de nouveaux versants du yoga, dont le yin, qui me plaît. La méditation, c'est un peu trop pour moi à l'heure actuelle mais le yin me paraît être un chemin d'accès possible
(et puis, revenez quoi!)