Je suis dans ce cas là.
Mon lycée n'a pas été laborieux mais mouvementé : j'ai fait 3 lycées en 4 ans, ce qui ne m'a pas empêché d'avoir mon bac.
Je voulais faire un IUT journalisme après le BAC mais j'etais trop flemmarde et pas assez préparée et j'ai été recalée.
Je suis donc allée en LLCE d'anglais dans le but de passer une licence et après de me remettre vers le journalisme. Dès le début, ca ne m'a pas plus : trop scolaire, trop de grammaires. Du coup je n'y allais jamais. J'ai quand même eu mon premier semestre et suis passée AJAC.
Problème : mes parents ne me donnaient pas d'argent ou de façon très irrégulière et je n'avais pas droit à bourse. J'ai commencé à travailler à 35h dans un centre d'appel et je comptais aller en cours dans mes jours de congés. Ca n'a évidemment pas marcher et je n'ai pratiquement pas été en cours de l'année.
Rebelote l'année d'après et en plus problèmes administratifs quant à mon statut d'étudiante salariée.
Donc j'ai abandonné et j'ai cherché ce que je voulais faire.
La communication m'intéressait et j'ai attendu de cumuler assez de droits assedics (2 ans pour reprendre). Et donc depuis septembre là, je suis à 25 ans , en première année de DUT Infocom. Je viens de valider ma première année.
Reprendre les études ca ne me plait pas tous les jours, mais au moins je suis dans une formation pour un métier qui m'intéresse vraiment.
Je suis longtemps passée pour une fille qui ne faisait rien de sa vie dans ma famille vu que j'avais arrêté. Et je ne regrette pas d'avoir arrêté, je ne culpabilise pas et je me suis donnée le temps de réfléchier ( et les moyens financiers aussi).
Mon lycée n'a pas été laborieux mais mouvementé : j'ai fait 3 lycées en 4 ans, ce qui ne m'a pas empêché d'avoir mon bac.
Je voulais faire un IUT journalisme après le BAC mais j'etais trop flemmarde et pas assez préparée et j'ai été recalée.
Je suis donc allée en LLCE d'anglais dans le but de passer une licence et après de me remettre vers le journalisme. Dès le début, ca ne m'a pas plus : trop scolaire, trop de grammaires. Du coup je n'y allais jamais. J'ai quand même eu mon premier semestre et suis passée AJAC.
Problème : mes parents ne me donnaient pas d'argent ou de façon très irrégulière et je n'avais pas droit à bourse. J'ai commencé à travailler à 35h dans un centre d'appel et je comptais aller en cours dans mes jours de congés. Ca n'a évidemment pas marcher et je n'ai pratiquement pas été en cours de l'année.
Rebelote l'année d'après et en plus problèmes administratifs quant à mon statut d'étudiante salariée.
Donc j'ai abandonné et j'ai cherché ce que je voulais faire.
La communication m'intéressait et j'ai attendu de cumuler assez de droits assedics (2 ans pour reprendre). Et donc depuis septembre là, je suis à 25 ans , en première année de DUT Infocom. Je viens de valider ma première année.
Reprendre les études ca ne me plait pas tous les jours, mais au moins je suis dans une formation pour un métier qui m'intéresse vraiment.
Je suis longtemps passée pour une fille qui ne faisait rien de sa vie dans ma famille vu que j'avais arrêté. Et je ne regrette pas d'avoir arrêté, je ne culpabilise pas et je me suis donnée le temps de réfléchier ( et les moyens financiers aussi).

.
) : entretient réussi avec succès, j'allais pouvoir faire ce qui me plaisait à la rentrée prochaine. Tout s'est bien déroulé, j'avais de bonnes notes, j'aimais ce que je faisais, jusqu'à mon stage en terminale BEP : 2 mois en hôpital à faire des lits, nettoyer des chambres, changer des personnes âgées, leur donner à manger.. Grosse claque dans la gueule : je n'aimais pas ça. J'ai fais le maximum pour que mon stage se passe bien (j'ai quand même eu 16), j'accomplissais mes tâches avec le sourire et la bonne humeur mais ce n'était clairement pas fait pour moi, je ne voulais pas faire ça toute ma vie, ce n'était pas assez "technique", je me suis rendu compte qu'il n'y avait que trop peu de médical dans ce métier et ce n'était pas du tout ce que je recherchais. C'était très enrichissant sur le plan humain et j'ai appris beaucoup de choses, mais je ne pouvais pas passer plus de 40 ans à faire ça. Je ne savais pas quoi faire de ma vie, je n'aimais "rien", j'avais l'impression d'être bloquée et je n'en dormais plus la nuit.
).