D'ailleurs, pour le pouvoir d'achat, il propose de supprimer la taxe audiovisuelle et de privatiser les chaines de télé publique
A se demander s'il est au courant de ce point là ou si c'est pas Bolloré qui l'a ajouté 
Christiane Taubira est officiellement candidate, mais la gauche n’a pas le cul sorti des ronces
- Initiateur de la discussion Maëlle Le Corre
- Date de début
D'ailleurs, pour le pouvoir d'achat, il propose de supprimer la taxe audiovisuelle et de privatiser les chaines de télé publique
A se demander s'il est au courant de ce point là ou si c'est pas Bolloré qui l'a ajouté 
Est-ce qu'on pourrait arrêter de reprendre les éléments de langage de l'extrême droite sur "l'électeur de gauche bobo qui bouffe du quinoa et ne représente pas le Vrai Peuple Français"?
Non parce que si on regarde les chiffres, ils sont clairs :
source : https://www.publicsenat.fr/article/politique/presidentielle-la-sociologie-du-vote-59189
Plus on est pauvre, plus on vote Mélenchon (ou Le Pen). Pour les intentions de vote 2022, j'ai trouvé ça qui va dans le même sens :
source :
Mélenchon est encore largement en tête dans les quartiers les plus précarisés. Les choses sont claires : il est le seul candidat de gauche à pouvoir mobiliser les classes populaires (qui constituent d'ailleurs un gros réservoir de votes potentiels, du fait de l'abstention).
Donc pour les électeurs de Taubira et autres social-libéraux, j'ai une question : est-ce que vous pensez vraiment que la gauche peut gagner sans les classes populaires?
Non parce que si on regarde les chiffres, ils sont clairs :
source : https://www.publicsenat.fr/article/politique/presidentielle-la-sociologie-du-vote-59189
Plus on est pauvre, plus on vote Mélenchon (ou Le Pen). Pour les intentions de vote 2022, j'ai trouvé ça qui va dans le même sens :
source :
Mélenchon est encore largement en tête dans les quartiers les plus précarisés. Les choses sont claires : il est le seul candidat de gauche à pouvoir mobiliser les classes populaires (qui constituent d'ailleurs un gros réservoir de votes potentiels, du fait de l'abstention).
Donc pour les électeurs de Taubira et autres social-libéraux, j'ai une question : est-ce que vous pensez vraiment que la gauche peut gagner sans les classes populaires?
Et au passage supprimer les taxes sur l'héritage c'est vraiment une mesure de gauche ?
Non parce que moi l'héritage c'est pas vraiment compatible avec l'égalité des chances tout ça tout ça
Sachant que les français héritent en moyenne entre 50 et 60ans ? donc c'est pas vraiment à ce moment là qu'ils ont besoin du coup de pouce de leur parents décédés
www.francetvinfo.fr
Non parce que moi l'héritage c'est pas vraiment compatible avec l'égalité des chances tout ça tout ça
Sachant que les français héritent en moyenne entre 50 et 60ans ? donc c'est pas vraiment à ce moment là qu'ils ont besoin du coup de pouce de leur parents décédés
"Pour les grosses fortunes, la France est un paradis fiscal" : Christiane Taubira plaide pour "plus de justice fiscale"
La candidate de gauche propose notamment que "ceux qui ont travaillé toute leur vie et se sont constitué un patrimoine" ne paient pas de frais de succession.
Dernière édition :
Moi je pense que ce qui me met le plus en retrait du militantisme de gauche et de LFI outre certains propos douteux de Mélenchon c’est vraiment ce discours comme quoi tous les partis non LFI qui se disent à gauche sont en fait à droite et tu n’as pas bien compris la vraie gauche si tu dis le contraire, et tout autre choix sera forcément erroné. Ou alors tu n’as pas bien compris LFI et il fait donc t’expliquer. C’est vraiment le seul parti dont les militants font ça à gauche. Enfin je veux dire l’extrême-gauche aussi raisonne comme ça mais elle sait parfaitement qu’elle est radicale et n’a jamais prétendu rallier tous les sympathisants de gauche. Quand ils les shament d’être des suppôts du capitalisme qui contribuent au système (ce qui est vraiment le sentiment que j’ai parfois quand je dis à un militant LFI que je me sens plus proche d’un autre parti), les militants d’extrême-gauche n’ont absolument aucune attente de rassemblement et ne cherchent pas à séduire ces sympathisants.
Du coup, moi ça m’énerve vraiment cette position à mi-chemin entre « nous sommes la seule vraie gauche rassembleuse » et « tu as tort dans tes opinions, ça veut dire que tu n’es pas des nôtres ».
Perso je me sens plus proche de EELV dans la philosophie générale (mais clairement pas de Jadot qui pour le coup ne représente pas du tout l’écologie politique à mon sens) mais je suis tout à fait prête à m’intéresser à certaines positions LFI ou à imaginer que certaines positions puissent être justes car personne et certainement pas moi n’a la science infuse. Je n’ai absolument pas l’impression que ça marche dans l’autre sens.
Et de même je trouve assez relou de lire cette campagne intensive visant à discréditer et dénigrer Taubira en s’accaparant la gauche comme concept. Genre « elle est proche de Macron, c’est pas la vraie gauche » ou tout autre intervention ultra méprisante et virulente pour balayer la candidature c’est absolument pas ce qui me fait envie d’écouter.
Et je trouve personnellement que la campagne à gauche tourne en mascarade Taubira incluse. Mais franchement, j’en ai ras-le-bol de ce militantisme agressif à la Française où on veut te dire tout le temps qu’il y a une bonne façon et une façon ridicule et méprisable de penser, que c’est jamais assez bien. Je suis persuadée que ça détourne totalement de l’engagement politique des personnes très à gauche mais à la personnalité pacifique. J’aimerais une scène militante plus ouverte et bienveillante honnêtement. Et l’argument de « le monde est degueulasse donc on ne peut pas faire dans la dentelle pour le changer », je le partage pas. Soit on veut rallier du monde et on essaye d’être plus à l’écoute, patient et prêt à nuancer/évoluer sur des points qu’on partage pas forcément pour pouvoir aboutir à un résultat, soit on est un radical, on le reconnaît et on n’attend rien des autres parce qu’on estime que la fracture est trop grande. Je pense perso que la gauche radicale est indispensable pour faire évoluer les réflexions même si je suis pas forcément d’accord avec tous les propos, elle a un rôle crucial et je la respecte à 100%, même si selon moi bon courage pour renverser totalement le système sans événement bouleversant. C’est juste par essence pas une gauche qui va rallier tout le monde.
Pour l’instant, je trouve la gauche française mainstream assez désespérante à ce niveau, incapable de choisir une philosophie cohérente.
Du coup, moi ça m’énerve vraiment cette position à mi-chemin entre « nous sommes la seule vraie gauche rassembleuse » et « tu as tort dans tes opinions, ça veut dire que tu n’es pas des nôtres ».
Perso je me sens plus proche de EELV dans la philosophie générale (mais clairement pas de Jadot qui pour le coup ne représente pas du tout l’écologie politique à mon sens) mais je suis tout à fait prête à m’intéresser à certaines positions LFI ou à imaginer que certaines positions puissent être justes car personne et certainement pas moi n’a la science infuse. Je n’ai absolument pas l’impression que ça marche dans l’autre sens.
Et de même je trouve assez relou de lire cette campagne intensive visant à discréditer et dénigrer Taubira en s’accaparant la gauche comme concept. Genre « elle est proche de Macron, c’est pas la vraie gauche » ou tout autre intervention ultra méprisante et virulente pour balayer la candidature c’est absolument pas ce qui me fait envie d’écouter.
Et je trouve personnellement que la campagne à gauche tourne en mascarade Taubira incluse. Mais franchement, j’en ai ras-le-bol de ce militantisme agressif à la Française où on veut te dire tout le temps qu’il y a une bonne façon et une façon ridicule et méprisable de penser, que c’est jamais assez bien. Je suis persuadée que ça détourne totalement de l’engagement politique des personnes très à gauche mais à la personnalité pacifique. J’aimerais une scène militante plus ouverte et bienveillante honnêtement. Et l’argument de « le monde est degueulasse donc on ne peut pas faire dans la dentelle pour le changer », je le partage pas. Soit on veut rallier du monde et on essaye d’être plus à l’écoute, patient et prêt à nuancer/évoluer sur des points qu’on partage pas forcément pour pouvoir aboutir à un résultat, soit on est un radical, on le reconnaît et on n’attend rien des autres parce qu’on estime que la fracture est trop grande. Je pense perso que la gauche radicale est indispensable pour faire évoluer les réflexions même si je suis pas forcément d’accord avec tous les propos, elle a un rôle crucial et je la respecte à 100%, même si selon moi bon courage pour renverser totalement le système sans événement bouleversant. C’est juste par essence pas une gauche qui va rallier tout le monde.
Pour l’instant, je trouve la gauche française mainstream assez désespérante à ce niveau, incapable de choisir une philosophie cohérente.
Dernière édition :
Je ne comprends pas qu'on puisse la délégitimer car elle n'a pas de programme politique.
1. Si on veut d'un candidat unique, qui rassemble plusieurs parties, alors il faut que le programme politique soit écrit à "plusieurs mains".
Dire "rangez-vous derrière mon programme camarade" ça reste moins pertinent que "écrivons ensemble notre programme camarade".
Et en ça, je comprends le choix de ne pas avoir de programme.
2. Et d'ailleurs, ne ditons pas que les programmes électoraux n'engagent que ceux qui y croient ?
A quoi bon lire des programmes qui n'ont aucune valeur une fois le candidat au pouvoir ?
Je sais bien qu'il faut connaître la direction, l'avis, les idées d'un candidat pour savoir s'il est "compatible" avec nos valeurs, mais le plus simple reste de juger sur les actes plutôt que sur les promesses.
(Et si on juge les actes de Taubira, il semble qu'elle soit quand même du côté libéral de la force, ce qui n'est pas tasse de thé perso ...).
1. Si on veut d'un candidat unique, qui rassemble plusieurs parties, alors il faut que le programme politique soit écrit à "plusieurs mains".
Dire "rangez-vous derrière mon programme camarade" ça reste moins pertinent que "écrivons ensemble notre programme camarade".
Et en ça, je comprends le choix de ne pas avoir de programme.
2. Et d'ailleurs, ne ditons pas que les programmes électoraux n'engagent que ceux qui y croient ?
A quoi bon lire des programmes qui n'ont aucune valeur une fois le candidat au pouvoir ?
Je sais bien qu'il faut connaître la direction, l'avis, les idées d'un candidat pour savoir s'il est "compatible" avec nos valeurs, mais le plus simple reste de juger sur les actes plutôt que sur les promesses.
(Et si on juge les actes de Taubira, il semble qu'elle soit quand même du côté libéral de la force, ce qui n'est pas tasse de thé perso ...).
M
Membre supprimé 350151
Guest
Parce que les programmes donnent une très bonne idée des projets d'un candidat. Ce n'est pas la seule chose à prendre en compte, mais quand on sait lire et déchiffrer un programme, on peut aussi voir les intentions derrière. Je n'attends pas d'un candidat qu'il soit complètement compatible avec mes valeurs mais qu'il se penche beaucoup plus que les autres sur des points qui me semblent particulièrement importants. Parfois, un programme peut être intéressant parce que le candidat promet quelque chose de plus que les autres, et ce plus en question peut être très attendu. Je pense notamment au mariage pour tous, qui clairement de mon point de vue, a été décisif pour un certain candidat.
J'en parlais dans un autre sujet, mais à l'époque, quand j'avais lu le programme de Macron, je l'avais trouvé particulièrement déconnecté de la réalité des travailleurs. Et aujourd'hui, je me dis que j'avais quand même eu du flair quand je vois ce qu'il a produit durant son mandat. Bien sur, ce n'est pas la seule chose à prendre en compte, parce qu'une promesse n'aura pas forcément le même impact ou la même crédibilité selon qui l'aurait dis. Mais vraiment, j'insiste, un programme peut vraiment en dévoiler beaucoup sur un candidat.
C'est vrai ! Il faut avoir le nez creux, pour deviner que Macron, banquier d'affaires, est déconnecté de la vraie vie .
Je maintiens qu'un programme ne dit pas grand chose d'un candidat. C'est surtout la foire à la démagogie ! Le but n'est pas tant de présenter les actions qui seront entreprises, que de séduire différentes "catégories électorales".
D'ailleurs, est-ce vraiment si important qu'un politique ait été sur le devant de la scène ces dernières années ? Ait communiqué à gogo ? Est-ce que ça fait de lui un meilleur candidat ? Pas sûre.
De même, je trouve les débats entre politiques nuls : c'est, ni plus ni moins, un combat de coq. On en apprend plus sur la personnalité des candidats que sur leurs bilans (politique, associatif, professionnel,...).
[Je rajouterais qu'en plus d'étudier le bilan d'un candidat, il me semble indispensable de connaitre les financeurs de leur campagne électoral, car une fois élu, il devra rendre la pareille...]
Et puis, je pense qu'il y a d'un côté la théorie, de l'autre la pratique.
D'un côté la théorie, où un programme devrait, autant que possible, être réalisé.
La pratique, où chaque président/gouvernement, fait à sa sauce.
La théorie où nous devons voter pour le candidat qui nous plait le plus.
La pratique où du fait, du modèle d'élection et de nos médias de masse (et des sondages
), il est plus pertinent de voter stratégique.
La théorie où de hauts taux d'abstention, remettraient en cause la légitimité des institutions et des élus.
La pratique où l'abstention n'entraine aucune remise en question du modèle. [Bon, j'exagère un petit peu puisque ces derniers années, on voit fleurir les budgets participatifs à l'échelle communal et départemental.].
La primaire populaire partait d'une intention louable : en finir avec les gueguerres d'égo.
Un seul candidat socialiste (dans le vrai sens du terme) pour avoir une chance de gagner les élections.
La primaire est sûrement arrivée trop tard dans le calendrier de la campagne. Une fois, les budgets établis, les fonds soulevés, les salles de meetings réservées, je peux comprendre qu'on ne soit pas très partant pour se ranger derrière quelqu'un d'autre...
On pourrait me rétorquer que personne ne demande de candidat unique à droite. Oui, c'et vrai, mais ils ont bien plus de poids politique et médiatique. Aujourd'hui (et c'est malheureux à dire), la majorité de la population ne remet pas en cause le libéralisme. Pour la question sociale (bien-être animal, droit des minorités (mais pas raciales fau pas déc'), etc.), ça avance à petit pas. Pour la question économique, on est au point mort, la rente ne choque personne, le fait qu'il n'y ait aucun plafond pour les salaires non plus, le creusement des inégalités, etc.
A partir de là que fait-on ? On continue d'éparpiller les voix ? Pas sûr que ce soit pertinent...
On peut se désoler de la tournure de cette primaire, mais de là à torpiller tout le projet, je trouve ça dommage.
.Je maintiens qu'un programme ne dit pas grand chose d'un candidat. C'est surtout la foire à la démagogie ! Le but n'est pas tant de présenter les actions qui seront entreprises, que de séduire différentes "catégories électorales".
D'ailleurs, est-ce vraiment si important qu'un politique ait été sur le devant de la scène ces dernières années ? Ait communiqué à gogo ? Est-ce que ça fait de lui un meilleur candidat ? Pas sûre.
De même, je trouve les débats entre politiques nuls : c'est, ni plus ni moins, un combat de coq. On en apprend plus sur la personnalité des candidats que sur leurs bilans (politique, associatif, professionnel,...).
[Je rajouterais qu'en plus d'étudier le bilan d'un candidat, il me semble indispensable de connaitre les financeurs de leur campagne électoral, car une fois élu, il devra rendre la pareille...]
Et puis, je pense qu'il y a d'un côté la théorie, de l'autre la pratique.
D'un côté la théorie, où un programme devrait, autant que possible, être réalisé.
La pratique, où chaque président/gouvernement, fait à sa sauce.
La théorie où nous devons voter pour le candidat qui nous plait le plus.
La pratique où du fait, du modèle d'élection et de nos médias de masse (et des sondages
), il est plus pertinent de voter stratégique.La théorie où de hauts taux d'abstention, remettraient en cause la légitimité des institutions et des élus.
La pratique où l'abstention n'entraine aucune remise en question du modèle. [Bon, j'exagère un petit peu puisque ces derniers années, on voit fleurir les budgets participatifs à l'échelle communal et départemental.].
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La primaire populaire partait d'une intention louable : en finir avec les gueguerres d'égo.
Un seul candidat socialiste (dans le vrai sens du terme) pour avoir une chance de gagner les élections.
La primaire est sûrement arrivée trop tard dans le calendrier de la campagne. Une fois, les budgets établis, les fonds soulevés, les salles de meetings réservées, je peux comprendre qu'on ne soit pas très partant pour se ranger derrière quelqu'un d'autre...
On pourrait me rétorquer que personne ne demande de candidat unique à droite. Oui, c'et vrai, mais ils ont bien plus de poids politique et médiatique. Aujourd'hui (et c'est malheureux à dire), la majorité de la population ne remet pas en cause le libéralisme. Pour la question sociale (bien-être animal, droit des minorités (mais pas raciales fau pas déc'), etc.), ça avance à petit pas. Pour la question économique, on est au point mort
, la rente ne choque personne, le fait qu'il n'y ait aucun plafond pour les salaires non plus, le creusement des inégalités, etc.A partir de là que fait-on ? On continue d'éparpiller les voix ? Pas sûr que ce soit pertinent...
On peut se désoler de la tournure de cette primaire, mais de là à torpiller tout le projet, je trouve ça dommage.
Dernière édition :
En vrai c'est quand même terrible ce qui va se passer aux présidentielles. La gauche existe en France mais elle va se retrouver spectatrice d'une élection de droite, c'est désespérant. J'admire Christiane Taubira et j'aurais voté pour elle sans me poser de question si ça avait été dans d'autres circonstances. Là honnêtement je me demande même si je vais me prendre la tête à aller voter en fait. (parce qu'on ne me la fera pas deux fois, la mascarade du vote utile au second tour, hors de question de voter Macron encore une fois 
)
(parce qu'on ne me la fera pas deux fois, la mascarade du vote utile au second tour, hors de question de voter Macron encore une fois )
Pour le premier tour, j'hésite entre 1. voter pour le candidat favori à gauche (quel qu'il soit) et 2. voter pour mon petit candidat préf'.
Dans l'option 1. : je donne mon vote en espérant la victoire de "la gauche". Les gros retournements existent, 2002 en est la preuve.
Inconvénient si le candidat ressort perdant : le candidat et/ou son parti développera instantanément un melon énorme qui empêchera une possible remise en question des pratiques. "J'ai fait un très bon score aux européennes, rejoignez-moi", "je suis le parti historique, nous avons déjà été à la tête du gouvernement, rejoignez-nous", ...
Dans l'option 2 : je donne ma voix à mon candidat préf (en espérant que ses propositions puissent être entendues) et lui permet de rembourser ses frais de campagne.
Inconvénient : je participe à l'éparpillement des voix.
Pas de solution parfaite donc.
Dans l'option 1. : je donne mon vote en espérant la victoire de "la gauche". Les gros retournements existent, 2002 en est la preuve.
Inconvénient si le candidat ressort perdant : le candidat et/ou son parti développera instantanément un melon énorme qui empêchera une possible remise en question des pratiques. "J'ai fait un très bon score aux européennes, rejoignez-moi", "je suis le parti historique, nous avons déjà été à la tête du gouvernement, rejoignez-nous", ...
Dans l'option 2 : je donne ma voix à mon candidat préf (en espérant que ses propositions puissent être entendues) et lui permet de rembourser ses frais de campagne.
Inconvénient : je participe à l'éparpillement des voix.
Pas de solution parfaite donc.
M
Membre supprimé 338449
Guest
@Trouscaillon Pour rajouter ce que tu dis sur Macron, c'est qu'il sortait pas non plus de nulle part, il a été ministre de l'économie sous Hollande et il fait aussi partie des personnes qui ont validé la loi travail. Donc bon.
La réponse toute trouvée des Présidents à l'heure du bilan, c'est de dire que les circonstances ont rendu impossible la mise en place de réformes.
En substance : "Même si toutes mes promesses n'ont pas été tenues, j'ai fait de mon mieux. Bien malin celui qui aurait pu anticiper une crise économique/une pandémie/un accident industriel/... qui a bouleversé notre calendrier et revu nos priorités."
En substance : "Même si toutes mes promesses n'ont pas été tenues, j'ai fait de mon mieux. Bien malin celui qui aurait pu anticiper une crise économique/une pandémie/un accident industriel/... qui a bouleversé notre calendrier et revu nos priorités."
M
Membre supprimé 350151
Guest
@Trouscaillon On ne tombera pas d'accord et ce n'est pas grave. Je ne comprendrais jamais l'intérêt de vouloir utile, parce que je pense que si chacun privilégiait davantage un candidat/un programme qui lui correspond beaucoup plus au lieu de vouloir voter utile - notamment en fonction des prévisions que les médias donnent, les résultats pourraient être en réalité très différents.
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