Merci Lilodo
, je suis dans un jour "sans" du coup c'est pas simple ; mais nous vaincrons agapanthe7
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, je suis dans un jour "sans" du coup c'est pas simple ; mais nous vaincrons agapanthe7
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, je suis dans un jour "sans" du coup c'est pas simple ; mais nous vaincrons agapanthe7
!Ben disons que si la personne voit qu'elle peut faire du mal une fois, puis plusieurs fois, et que la victime de ses actes le "tolère" (selon "sa vision", en vérité n'arrive pas/peut pas le dénoncer, l'empêcher de continuer, le livrer à la police etc...), donc pourquoi s'arrêterai il?
-Si on se mets deux secondes à sa place evidemment-
Il a pu "s'amuser" avec sa propre fille et il a du en ressentir du plaisir, pas seulement physique mais aussi l'ivresse du pouvoir de Dominer un autre être humain, de le détruire.
C'est très fort comme sentiment.
Donc, désolée de juger, en sachant cela ta mère aura du savoir que il ne "changerai pas". Perpétrer des actes pareil sur son propre enfant, alors pourquoi ne pas le faire sur un "autre" enfant après tout?
Donc si demain tu te fais violer par un inconnu tu fera en sorte que tes amies et tes futurs enfants deviennent les meilleurs amis de ton agresseur?
Tu te rend compte que tu es pitoyable?

En ce qui concerne le manque d'empathie envers les autres, j'ai lu un article (de Slate, je pense, mais ça fait quelques années) qui mentionnait le fait que les victimes de trauma ont souvent du mal à avoir de l'empathie vis-à-vis de personnes qui vivent une situation similaire et n'arrivent pas à s'en sortir aussi vite ou de la même manière. Ca m'est arrivé avec une amie, qui n'a pas réussi à supporter ma dépression alors qu'elle avait vécu le même genre de choses que moi - j'ai du mal à cacher mes émotions et j'ai besoin de parler beaucoup, elle a tendance à encaisser et ne rien dire. Du coup, c'est pas anormal et ça arrive à plein de gens. Pour moi, le mieux c'est de se rappeler que les personnes vivent les mêmes émotions avec plus ou moins d'intensité, et que quelque chose qui nous paraît dérisoire peut être vraiment important aux yeux de quelqu'un d'autre.
. Parce que c'est souvent les gens qui se plaignent éternellement du même problème, que je méprise. J'avais découvert ça dans un film où une victime n'arrêtait pas de se prétendre victime et ça m'énervait ! Que les gens souffrent, aient du mal à aller de l'avant, je comprends, mais qu'ils se complaisent dans le rôle de la victime, je ne supporte pas et je méprise. Donc, oui, ça doit avoir un rapport avec le fait que je me suis battue pour ne pas être considérée comme victime, mais comme personne à part entière
.C'est bizarre, parce que moi, je suis dans le cas inverse. Ça me rend malade de voir d'autres personnes subissant ce qui s'apparente de près où de loin aux traumatismes que j'ai vécus. Donc ça peut également arriver que ça nous rende plus empathique.En ce qui concerne le manque d'empathie envers les autres, j'ai lu un article (de Slate, je pense, mais ça fait quelques années) qui mentionnait le fait que les victimes de trauma ont souvent du mal à avoir de l'empathie vis-à-vis de personnes qui vivent une situation similaire et n'arrivent pas à s'en sortir aussi vite ou de la même manière.