Commentaires sur J’étais childfree, je suis devenue mère, et la pression à la maternité m’a fait douter de mes choix

doudouillitsa

Mes élégances, c'est moralement que je les ai.
23 Janvier 2014
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Paris
@Kettricken Je comprends. Quand je disais que je n'avais pas d'avis définitif, c'est parce que ce n'est pas une question à laquelle j'ai réfléchi des heures et des heures durant, et que je n'ai pas consulté beaucoup de sources. Quand je disais questionner le remboursement intégral, je voulais parler de questionner les raisons du remboursement intégral (pour tel truc et pas un autre ?). De toute façon, si ça ne tenait qu'à moi, on rembourserait toute procédure un tant soit peu médicale :cretin:
 
16 Septembre 2012
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@Mnemosyn Moi J'ai toujours ete d'avis de supprimer la PMA purement et simplement, pour tout le monde. Je pense que ce "droit a l'enfant" n'est qu'une stupidite de plus de cette Société nataliste, a la "travail, famille, patrie". Mais en meme temps, je suis anti nataliste. Donc je ne comprendrai jamais "un besoin visceral". Encourager a faire toujours des enfants alors qu'on est tellement deja a etre nes naturellement est un plus supplementare a nous envoyer dans le mur.
 
4 Juillet 2018
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@guerredesmiroirs Mais la PMA, ce n'est pas encourager à faire des enfants, c'est le permettre à ceux qui le veulent mais ne le peuvent pas autrement. Enfin ce n'est pas de la propagande pro-nataliste quoi. On peut très bien être contre une politique ultra nataliste, encore plus tendance extrême-droite comme tu y fais allusion, et être pour le remboursement de la PMA et l'aide aux familles défavorisées non pas par natalisme mais par solidarité quoi...
 
M

Membre supprimé 364123

Guest
Mais en fait l'adoption ce n'est pas trouver un enfant à des parents stériles... c'est trouver des parents à un enfant déjà existant... il y a quand même une nuance.
Comment pourrait faire l'état pour faciliter l'adoption, concrètement ? C'est vrai que l'adoption est un parcours du combattant... mais en même temps vu le nombre de personnes ayant des problèmes de fertilité... heureusement qu'il n'y a pas tant d'enfants abandonnés, en fait. Je rejoins néanmoins ce qui a été dit concernant les services sociaux (du moins en France) : ils ont tendance à privilégier le lien biologique au détriment du bien-être de l'enfant. Il y a une tendance à éviter la déchéance de l'autorité parentale totale, même dans les cas de maltraitance graves.
Mais cela ne veut pas dire que les enfants placés s'adapteraient tous à une adoption, en fait. Ils ont leur propre passé, des problématiques parfois lourdes, tout le monde n'est pas apte à gérer ça. Ce ne sont pas des nourrissons qui arrivent au monde quoi.

Donc bon... heureusement qu'il existe la PMA pour palier certaines infertilités et non ce n'est pas une histoire de vouloir de manière égoïste transmettre ses gênes... Surtout que si tu fais un don d'ovocytes ou de sperme ben tu as déjà fait en partie le deuil de l'enfant biologique en fait...
 
Dernière modification par un modérateur :
19 Février 2014
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Nouméa
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J'ai bien aimé cet article car en effet, je pense tout à fait pareil pour ce truc de "voler" le choix aux gens. Moi personnellement je suis une vraie CF pure et dure (oui c'est le seul truc où je tique sur cet article, j'y reviens après) donc pas de soucis, mais si pareil, je n'étais pas sûre de moi et potentiellement avait peut être envie de concevoir plus tard, c'est juste atroce que tout le monde considère que TU dois avoir un enfant et point, t'as pas le choix. Euh si, on a le choix, c'est le propre de l'être humain le libre arbitre bande d'abrutis, c'est le seul truc qui nous diffère des animaux alors je compte bien m'en servir.

Sinon, pour le truc que j'ai tiqué : merci d'arrêter d'utiliser le terme Childfree pour des situations inadaptées. Un childfree ne change pas d'avis, et il ne faut pas le confondre avec childless. Le seul cas où c'est acceptable de l'utiliser pour une personne qui est devenue finalement parent, c'est pour le cas où la personne est devenue parent malgré elle (déni de grossesse, ce genre de trucs).
Si tu changes d'avis et fait un enfant volontairement, tu n'es pas CF, et c'est comme ça. Et ce n'est pas mal de ne pas correspondre à un terme !

Bref la personne de l'article n'était pas childfree ni childless, juste qu'elle n'avait pas d'envie d'enfant aux instants T et qu'elle a été totalement saoulée de la pression qu'elle subissait en tant que femme à "Tu vas faire un enfant plus tard tu vas voir" comme si on la considérait comme une idiote puérile qui sait pas ce qu'elle veut, et que forcément en vivant un truc pareil ça entraîne très souvent des réactions de négation. Totalement normal de réagir comme ça face à de tels abrutis !
Mais bref s'il vous plaît, veillez à l'avenir à utiliser les bons termes :) L'article n'aurait pas perdu du tout en qualité si on avait pas utilisé le terme childree, et juste dit un truc genre "Je pensais ne pas vouloir d'enfant mais j'ai changé d'avis", ou encore à la rigueur "Je pensais être childfree" par exemple ^^ !
 
M

Membre supprimé 350151

Guest
@Shinigamylle Donc la personne explique que littéralement, elle ne voulait pas d'enfant et se reconnaissait comme childfree, mais s'est sentie obligée, et tu viens lui dire que bah non, si tu en as eu un c'est que tu n'était pas childfree sous-entendu que tu voulais un enfant au fond de toi ? :lol:

Je trouve cette partie de ton message franchement très dure envers elle, et envers toute personne qui peut se retrouver dans sa situation. Childfree n'est pas une sorte de culte où tu ne changes jamais d'avis, et encore heureux. Elle parle de la pression qu'elle a ressenti, avant de céder et d'être mère, et de après lorsqu'elle a changé d'avis. Pourquoi vouloir en rajouter en lui jetant que "bah non heiiiin, t'étais pas une vraie childfree parce que sinon tu n'aurais jamais eu d'enfants" ?
 
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7 Juin 2021
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@Shinigamylle
mais dans ce cas on fait comment pour déterminer que qqn est vraiment childfree ? on attend qu'elle ne soit vraiment plus en âge d'être enceinte ou d'adopter? à ce moment là elle reçoit son badge ? :P
Même si une femme ou un homme se fait stériliser on peut imaginer un changement d'avis. Il y a des couples qui consultent pour se renseigner sur les possibilités de procréer par fiv suite à une stérilisation au niveau des trompes par exemple. C'est rare mais ça existe.
Même sur ce forum il y a statistiquement des femmes qui sont childfree mais qui changeront d'avis, elles font bien ce qu'elles veulent, n'empêche pour le moment elles sont childfree. :dunno:
 

Sylvestrum

Franklin prend son thé chaud
12 Février 2015
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j'ai trouvé ce témoignage assez beau. J'aime qu'il souligne l'ambivalence, l’impatience qu'elle a ressenti une fois la grossesse lancée, sans que ça occulte ses peurs.

Je ne me suis jamais considérée comme CF, pendant longtemps je ne voulait pas d'enfant POUR LE MOMENT. Et pour APRES?? ben j'en savais rien.

Mais le truc, c'est que même si on pense que TEL TRUC ne nous tentera jamais, ça peut arriver. Tout ne peut pas arriver à tout le monde, et je suppose que pour la majorité des gens qui se définissent ChildFree, c'est basé sur des choses qui se maintiennent dans le temps, et elles ne changent pas d'avis. Le témoignage ici est l'illustration que ce n'est pas le cas pour CHAQUE personne qui se définit comme ChildFree à un moment de sa vie. Mais ça peut être un désir d'enfant, une personne qui préfère vivre seule et qui un jour se retrouve à choisir de vivre en couple (ou l'inverse), une personne qui se définit comme aromantique, et qui un jour vit une relation qui remet ça en question.

Et quelle que soi l'étiquette que cette personne s'attribue à un moment donné, j'aime l'idée qu'on peut être surpris par soi même, et par la vie. Ca ne veut pas dire que les étiquettes n'avaient pas leur place (et qu'un CF qui change d'avis et décide de faire un enfant n'était pas un "bon CF digne de ce nom" (je vois pas mal de mépris dans ce genre de raisonnements, mais je peux me tromper)). C'est juste que quel que soit le jugement/étiquette que tu portes sur toi-même (ou sur les autres), il ne prend pas en compte l'intégralité de la complexité d'une personne tout au long de toute sa vie, futur compris. C'est basé sur certains éléments qui existent à un moment donné. Qui peut être sûr à 100% que jamais il ne changera d'avis sur rien??


Je trouve la réaction d'Elsa, qui consiste à contrer les ""prédictions"" par un grand non, assez logique quelque part. Avec les "tu changera d'avis" c'est vraiment la négation du ressenti de la personne qui est en jeu. Ca revient à dire "tu ne sais pas de quoi tu parles, moi je sais ce qu'il te faut, je sais ce qui est/sera important pour toi". C'est d'une violence! Et clairement, pas une invitation à explorer ses aspirations profondes et cachées. Puisqu'on nous dit qu'on est "condamné" à quelque chose, je trouve très logique que pour un certain nombre de gens, la réaction soit la rébellion. Comme le dit Elsa, elle n'a jamais été invitée à se poser la question. On l'a mise devant le fait accompli que ça lui arriverait. Sans jamais prendre en compte ce qui était important pour elle à ce moment de sa vie. Peut-être que si elle avait eu l'espace et l'écoute d'autrui pour se sentir safe de dire "Attends, tu rigole, j'ai 4 ans (ou 20), c'est vraiment pas un de mes projets pour l'instant, je veux me préoccuper de Ceci plutôt, et après on verra si mes aspirations évoluent à mesure que je vis ma vie", peut-être (peut-être!) qu'elle aurait réagi autrement qu'en se revendiquant ChildFree.

Mais que les autres tiennent à ce point à avoir raison sur un sujet qui ne les concernent pas, ça me sidère toujours. Et surtout qu'ils pensent faire une bonne action en écrasant ton avis sur toi-même sous le leur, pour bien te faire comprendre que tu ne sais même pas de quoi tu parles quand tu parles de toi.

De la même façon si à un moment elle se considérait comme Child Free, elle l'était. Elle ne l'est plus, ok.

C'ets comme si on disait à un végétarien que si un jour de grande détresse psychologique, de maladie, d'ivresse, de Jesaispasquoi, il mange une fois de la viande, qu'il n'a plus jamais le droit de dire qu'il est ou a été végétarien. Faut se calmer avec les étiquettes.
 
12 Décembre 2011
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Bla Bla
Le débat sur l'adoption me hérisse aussi un peu.
J'ai bossé dans le domaine pendant 3 ans et certains messages (pas tout bien sûr) ici ne font que répéter les clichés qu'on voit absolument partout et qui empêchent d'avoir une approche saine de ce qu'est la réalité de l'adoption, ce qui fait qu'à mon avis beaucoup de parents adoptants tombent de haut quand ils se lancent et se sentent démunis face aux difficultés quand on leur vend que "l'adoption c'est si beau". .

De 1, oui, il n'y a pas assez d'enfants adoptables en France. Pour l'adoption à l'étranger, la convention de la Haye exige qu'on cherche d'abord une solution dans le pays d'origine de l'enfant avant d'ouvrir aux candidats venant de l'étranger, pour que l'enfant ait accès à ses racines. Donc quand un pays se développe économiquement, sa population a de plus en plus la possibilité d'adopter les enfants "en local" : il ne devient pas un pourvoyeur d'enfants pour les autres pays. C'est essentiellement pour cette raison qu'il y a de moins en moins d'enfants adoptables à l'international.
En France, il y a très peu de bébé nés sous X (les seuls adoptables en tant que nourrisson, et encore ils ont plus de 3 mois quand ils sont placés chez leurs parents adoptifs), notamment car on permet la contraception et l'IVG et qu'il existe des solutions pour que les mères les plus précaires puissent quand même s'occuper de leurs enfants (ce qui est la moindre des choses hein, les pauvres ne sont pas là pour produire des bébés pour les riches).
Il reste les enfants plus âgés qui deviennent adoptables pour de multiples raisons, la plupart étant un grave traumatisme (mort des parents dans les cas les moins graves, abandons ou graves maltraitances dans la plupart des cas). Bref nous voilà avec un enfant âgé, traumatisé, qui n'arrive pas sur terre sans passé, qui a déjà des liens forts avec sa famille biologique (oncle, tante, grands-parents) ou avec une famille d'accueil qui l'a vu grandir. Cet enfant n'est pas forcément adoptable car une adoption peut être un processus excessivement douloureux pour lui. Dans ce cas là = pas de projet d'adoption. En effet les services sociaux ont pour objectifs de trouver la meilleure solution pour l'enfant et non pas de fournir un enfant à adopter à des candidats à l'adoption.


Par ailleurs, oui être le parent d'un enfant adopté, ce n'est pas la même chose que d'être le parent d'un enfant non adopté. Tant que ce ne sera pas admis, on aura pas de discussion réelle et poussée sur l'adoption, et les personnes vivant un échec d'adoption se sentiront gravement démunis. Parce qu'en fait un enfant adopté a vécu quelque chose que les autres enfants n'ont pas vécu : un abandon. Même les bébés gardent cet abandon en eux, certains évidemment s'en sortent très bien, cela dit les parents adoptifs doivent toujours être vigilants à ce que l'enfant a pu vivre avant, à le prendre en compte et à comprendre que tout l'amour qu'ils pourront lui apporter ne permettra peut-être pas de guérir la blessure de l'abandon.
C'est pour cela que l'on prépare tant les parents adoptifs et que le gros du travail c'est qu'ils comprennent que leur enfant aura des besoins spécifiques, et que l'accompagnement n'est pas de tout repos. Ce qui est vérifié bien souvent c'est en fait la capacité du candidat à l'adoption à aller au-delà de sa souffrance pour voir et comprendre celle de son enfant (difficile quand on est pas allé au bout de son deuil de l'enfant biologique, @Kettricken a 100% raison là-dessus) et à savoir appeler à l'aide quand il n'arrive plus à comprendre et soulager la souffrance de son enfant. Dans la réalité c'est très difficile à faire, surtout dans le contexte de notre société qui idéalise l'adoption.


J'ajoute que tous les parents qui souhaitent une grossesse/recourt à la PMA n'ont pas une "lubie" de l'enfant biologique, qui par ailleurs est aussi tout à fait entendable. Pour prendre mon exemple perso, je souhaite un enfant, avec mon conjoint on a déjà parlé du sujet et a priori le don de sperme/d'ovocyte ne nous pose aucun problème, on ne se sent pas la nécessité d'avoir un lien génétique avec l'enfant qu'on élèvera. Par contre pour toutes les raisons que j'ai évoquées au-dessus, aujourd'hui, je ne me sentirai pas capable d'être mère adoptive.
 
Dernière édition :

Sylvestrum

Franklin prend son thé chaud
12 Février 2015
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@Hey_petite! être candidat adoptant, c'est s'exposer à une évaluation de sa capacité à être parent, alors qu'on n'est pas encore parent (même si dans certains cas, les candidats sont déjà parents).

Avec ma raison et ma logique, je comprends tout à fait pourquoi. Comme tu le dis, l'enfant peut avoir vécu toutes sortes de choses, et dans l'intérêt de l'enfant, il faut s'assurer que le parent comprend ça, qu'il saura réagir au mieux, et demander de l'aide si besoin. Par ailleurs, l'Etat (je ne sais pas de quelle structure il s'agit exactement) a une responsabilité envers ces enfants, et il est tout à fait logique qu'il ne les confie pas au premier venu. Si je devais confier mes enfants (ou n'importe quel enfant que je connais) à quelqu'un, j'effectuerais un sacré tri sélectif parmi tous les gens qui sont d'accord pour le faire.

Avec mes tripes, en revanche, je trouve cette évaluation tellement injuste que ça me révolte. Parce que cette évaluation, seule les gens qui ne peuvent (ou ne souhaitent) pas avoir d'enfant biologique (ou en tous cas issus de leur grossesse, dans le cas de dons de gamètes par exemple) doivent s'y soumettre. A part quelques exceptions pour des pathologies lourdes, ou de grosses suspicion que les parents seront inaptes, on ne va pas évaluer pendant la grossesse (ni avant) si les parents sont prêts, savent comment fonctionnent un enfant, sont assez stables psychologiquement, ont assez de place chez eux...

Je crois cependant qu'il existe une forme d'évaluation psychologique pendant les parcours PMA également, mais je ne sais pas si elle va """aussi loin""" que celle pour l'adoption.

Enfin, pendant un temps, j'ai eu peur de devoir passer par la PMA moi-même, et la perspective d'être psychologiquement évaluée anticipativement sur ma capacité à être mère m'avait profondément chamboulée. Parce que seuls y passent ceux qui n'ont pas de bol. Si tu as la chance de faire ton enfant ""tout seul"" (chance, si c'est ton projet, hein!), on t'informe même pas des masses sur les moyens à ta disposition pour t'en sortir et t'aider quand l'enfant est là.


Par ailleurs, l'idéalisation de l'adoption par certains me hérisse aussi.

En tant que futur parent, j'ai l'impression qu'une grossesse me prépare d'avantage psychologiquement (pour moi qui porte la grossesse, mais aussi pour mon couple) à l'arrivée d'un enfant qu'un parcours administratif, aussi
 
17 Décembre 2021
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Sinon, pour le truc que j'ai tiqué : merci d'arrêter d'utiliser le terme Childfree pour des situations inadaptées. Un childfree ne change pas d'avis, et il ne faut pas le confondre avec childless. Le seul cas où c'est acceptable de l'utiliser pour une personne qui est devenue finalement parent, c'est pour le cas où la personne est devenue parent malgré elle (déni de grossesse, ce genre de trucs).
Si tu changes d'avis et fait un enfant volontairement, tu n'es pas CF, et c'est comme ça. Et ce n'est pas mal de ne pas correspondre à un terme !
Mais du coup, quelqu'un qui a été végétarien pendant dix ans, puis s'est mis à remanger de la viande, il n'a jamais été végétarien ? Quelqu'un qui a été croyant pendant cinquante ans puis a une grosse crise de foi et devient athée, il n'a jamais été "vraiment" religieux ?
On est vraiment "childfree" qu'à sa mort, quand on pourra écrire sur sa tombe "ET ELLE N'EUT JAMAIS D'ENFANT" ?:yawn: Une femme doit déjà constamment prouver à la société que "vraiment-vraiment-elle ne veut vraiment pas d'enfant-pour de vrai", il faudrait qu'elle le fasse aussi après d'autres childfree ? C'est quoi la preuve que c'est "une vraie" ?
J'ai l'impression que pour certaines personnes, ne pas vouloir d'enfant s'érige en principe moral plutôt qu'en droit à faire ce qu'on veut. Une femme a le droit de faire ce qu'elle veut de sa fertilité, de disposer de son corps, d'avoir des enfants ou pas, et ce n'est pas une trahison que de choisir l'un ou l'autre...
 

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