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Membre supprimé 332225
Guest
De mon temps au Moyen-Âge (lol non faut pas exagérer, on va dire à la Renaissance), le "meilleur élève" avait droit au Prix Bonbon. Toujours Suzon, comme par hasard ("Maîtresse, tu as dit que moi j'avais le droit d'écrire au stylo plume parce que j'écris mieux que les autres"). Le deuxième meilleur élève avait droit au Prix Orange. Toujours Cassandre, des notes moyennes voire bonnes mais un caractère de cochon et les parents qui mettaient la pression à la prof. Quand au "pire élève" de la classe, il avait droit au Prix Citron. Benji, en grandes difficultés. Eh ben ça l'a jamais aidé cette affaire de prix, j'vous l'dis.
D'accord pour mettre en place un système où l'élève connaît ses axes d'amélioration (ou ses "manquements"). Mais pas au vu et au su de tous. Se comparer aux autres dès tout petits, ça rend les gens mal dans leur peau. Pour leur faire aimer l'école après, bonjour.
D'accord pour mettre en place un système où l'élève connaît ses axes d'amélioration (ou ses "manquements"). Mais pas au vu et au su de tous. Se comparer aux autres dès tout petits, ça rend les gens mal dans leur peau. Pour leur faire aimer l'école après, bonjour.