@Camility Jane
Désolé pour le spoiler, j'ai rectifié.
Je n'ai pas dit que c'était une solution miraculeuse ni qu'elle était adaptée à tout le monde. Et l'anxiété peut prendre de nombreuses formes.
Et je n'ai jamais prétendu que c'était somatisé non plus.
Je souffre d'anxiété aussi. Sous une forme différente que toi.
Dans mon cas, la méditation pleine conscience a eu des résultats positifs (et plus que les anxiolytiques... Que je supportais mal). De nombreuses études montrent qu'il s'agit de plus qu'un effet placebo.
Et oui je sais bien qu'il n'y a pas de bouton on off au cerveau et que c'est pas parce qu'on ne pense pas à un souci qu'il disparaît.
Le but de la méditation est peu a peu de s'entraîner à "se concentrer sur soi, maintenant ici", ça vient petit à petit et l'esprit vagabonde. Se concentrer sur sa respiration, puis sur ses sens en essayant de "juste sentir sans interpréter ce qu'on sent"...ça peut paraître perché.
Le but n'est pas de lettre son cerveau en off (ce qui est impossible à moins d'être mort) mais d'apprendre progressivement à calmer le flux de ses pensées. Au début ça ne dure pas longtemps, mais c'est pas grave, petit a petit, j'arrive à calmer mieux les tempêtes de mon esprit et à stopper certaines ruminations.
Il y a également un travail d'apprendre à s'accepter sans se juger, d'écouter ses pensées, ses émotions, sans les juger,... Et c'est loin d'être facile.
Mais oui clairement, ça ne convient pas à tous les cas et il y a notamment certaines contraindications médicales notamment certains troubles psy comme la dépression en phase aiguë ou les crises de paniques, en cas de traumatismes non traités " et d'autres. Ce n'est pas un moyen de soigner en période de crise ou anxiété très très envahissante, mais plutôt un moyen de stabiliser une fois la situation déjà améliorée.
Clairement oui, c'est pas quelque chose d'adapté dans tous les cas.
@Fille du Feu certaines des pratiques de la mindfulness sont inspirées de pratiques de méditation bouddhistes mais sans la partie "croyances" qui sont derrière. Mais oui, on comprend pourquoi les mouvements sectaires peuvent y trouver "une affinité". C'est nickel pour eux, un cadre avec des "futurs adeptes potentiels" en situation de détresse ou de faiblesse, et qui sont donc facilement manipulables.
Je dois dire que j'ai beaucoup hésité avant de m'inscrite car justement j'avais peur de tomber sur un truc totalement perché qui cherchent à manipuler etc. C'est pour cela que j'ai choisi un cycle organisé en milieu hospitalier,... Plutôt que dans un "centre de bien être hollistique" où je ne sais quoi
Et j'ai été très positivement étonnée à quel point les "animateurs du cycle" avaient vraiment les pieds sur terre (dans mon cas).
Désolé pour le spoiler, j'ai rectifié.
Je n'ai pas dit que c'était une solution miraculeuse ni qu'elle était adaptée à tout le monde. Et l'anxiété peut prendre de nombreuses formes.
Et je n'ai jamais prétendu que c'était somatisé non plus.
Je souffre d'anxiété aussi. Sous une forme différente que toi.
Dans mon cas, la méditation pleine conscience a eu des résultats positifs (et plus que les anxiolytiques... Que je supportais mal). De nombreuses études montrent qu'il s'agit de plus qu'un effet placebo.
Et oui je sais bien qu'il n'y a pas de bouton on off au cerveau et que c'est pas parce qu'on ne pense pas à un souci qu'il disparaît.
Le but de la méditation est peu a peu de s'entraîner à "se concentrer sur soi, maintenant ici", ça vient petit à petit et l'esprit vagabonde. Se concentrer sur sa respiration, puis sur ses sens en essayant de "juste sentir sans interpréter ce qu'on sent"...ça peut paraître perché.
Le but n'est pas de lettre son cerveau en off (ce qui est impossible à moins d'être mort) mais d'apprendre progressivement à calmer le flux de ses pensées. Au début ça ne dure pas longtemps, mais c'est pas grave, petit a petit, j'arrive à calmer mieux les tempêtes de mon esprit et à stopper certaines ruminations.
Il y a également un travail d'apprendre à s'accepter sans se juger, d'écouter ses pensées, ses émotions, sans les juger,... Et c'est loin d'être facile.
Mais oui clairement, ça ne convient pas à tous les cas et il y a notamment certaines contraindications médicales notamment certains troubles psy comme la dépression en phase aiguë ou les crises de paniques, en cas de traumatismes non traités " et d'autres. Ce n'est pas un moyen de soigner en période de crise ou anxiété très très envahissante, mais plutôt un moyen de stabiliser une fois la situation déjà améliorée.
Clairement oui, c'est pas quelque chose d'adapté dans tous les cas.
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@Fille du Feu certaines des pratiques de la mindfulness sont inspirées de pratiques de méditation bouddhistes mais sans la partie "croyances" qui sont derrière. Mais oui, on comprend pourquoi les mouvements sectaires peuvent y trouver "une affinité". C'est nickel pour eux, un cadre avec des "futurs adeptes potentiels" en situation de détresse ou de faiblesse, et qui sont donc facilement manipulables.
Je dois dire que j'ai beaucoup hésité avant de m'inscrite car justement j'avais peur de tomber sur un truc totalement perché qui cherchent à manipuler etc. C'est pour cela que j'ai choisi un cycle organisé en milieu hospitalier,... Plutôt que dans un "centre de bien être hollistique" où je ne sais quoi
Et j'ai été très positivement étonnée à quel point les "animateurs du cycle" avaient vraiment les pieds sur terre (dans mon cas).
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