M
Membre supprimé 361841
Guest
@Lune0103 Alors, c'est pas tant que je suis contre, dans le principe je comprends, j'étais surtout très mal tout à l'heure parce que ça touche des traumas personnels qui ressurgissent actuellement et qui sont très durs à gérer, mais dans la réalité, les cas de personnes qui n'agiront jamais, d'une façon ou d'une autre, je suis pas sûre de ce que c'est. Parce que bon, techniquement on n'a pas vraiment les moyens de chiffrer ça, ce qu'on peut chiffrer (je demanderai dès que possible à la personne à laquelle je pense si elle peut me renvoyer ses sources) c'est le nombre de personnes qui sont passées à l'acte et combien de temps s'est écoulé entre les premières pensées et l'acte. Est-ce que si un homme a des pensées de v*ol, n'agit pas mais passe à côté de toi en te regardant dans les yeux avec un sourire bien dégueulasse qui ne laisse pas de place au doute quant à ce qu'il imagine, c'est un crime ? Non, techniquement on a le droit de regarder les gens, et pourtant, comment tu te sentirais ? En quoi c'est différent pour un enfant ? Est-ce qu'on peut décemment dire que cette personne va se faire soigner ? Pour autant, il y a des pédocriminels qui passent à l'acte mais ont sincèrement une envie de se faire soigner, j'imagine ! Là, le plus important, c'est de protéger les enfants qui sont victimes depuis bien trop longtemps d'actes pédocriminels, ou en tout cas de non-respect de leur consentement pour les cas les plus légers et courants.
Oui, le côté maladie je suis d'accord. Pour autant, ça ne doit pas être une excuse. J'ai deux maladies mentales, et je ne m'en servirai jamais comme excuse pour quoi que ce soit. Pour autant, des gens dans les mêmes conditions que moi s'en servent pour tenir des propos horribles. Et je redis la même chose : ce n'est pas une excuse. Je suis pour l'idée de garder un terme sans le mot criminalité lorsqu'il y a non-passage à l'acte et réelle volonté de se soigner, mais déjà, on voit les dérives : ici le post de base parlait d'utiliser le mot pédocriminalité pour passage à l'acte, et on en est déjà à "oui mais attention, not all pédophiles". Oui, il y a des troubles mentaux (je pense notamment aux TOCs) qui peuvent faire surgir des pensées compulsives, il y a des paraphilies, mais dès lors qu'il y a un fantasme sur l'idée de faire mal aux autres, je pense qu'il faut vraiment faire très attention à ne pas tout de suite dire "ce n'est pas sa faute", parce que même si effectivement il y en a qui vont se faire soigner, qui ont été programmé comme ça (Cf les systèmes programmés, vous pouvez voir ça sur internet, je ne parle pas des comptes mentionnés plus tôt mais vous pouvez voir la programmation mentale - avec des pincettes, parce que c'est des sujets très difficiles) etc., mais encore une fois attention à ne pas prendre la minorité pour en faire un exemple. Il y a des hommes aussi, qui regrettent d'avoir v*lé des femmes, est-ce que pour autant quand on a un article de prévention sur ce sujet, c'est une bonne idée de dire "attention, certains ne le font pas exprès, certains regrettent" etc. Ici on ne parle pas d'une paraphilie qui ne concerne que soit, ou des adultes consentants, on parle de v*ol sur des enfants, ou d'idées de ce genre, c'est grave, il n'y a aucune garantie que les gens se fassent soigner ou n'agissent pas, donc la priorité c'est quoi ? Protéger les enfants, quand il y a passage à l'acte remettre dans le mot qu'il s'agit d'un crime, et quand il n'y a pas passage à l'acte mais idées, agir avec la plus grande des prudences.
C'est un terrain très glissant (sans jeu de mots) et si j'entends bien qu'on peut faire la différence entre du fantasme et le passage à l'acte, dans le cas de danger envers autrui (fantasme de v*ol, pédo, de meurtre etc.) je pense que la priorité est d'abord de pouvoir protéger les éventuelles (futures) victimes, puis d'encourager la thérapie en cas de pulsions ou de pensées invasives, de fantasmes etc... Mais le 2ème cas pour l'instant, est bien à sa place : secondaire. D'abord on protège les victimes en parlant de ce qu'elles subissent, et ensuite on pense aux personnes qui ont ces pulsions là mais vont potentiellement ne pas agir dessus, parce qu'on va pas se mentir, c'est comme pour toutes les violences, c'est très loin d'être une majorité et protégeons d'abord les enfants.
Oui, le côté maladie je suis d'accord. Pour autant, ça ne doit pas être une excuse. J'ai deux maladies mentales, et je ne m'en servirai jamais comme excuse pour quoi que ce soit. Pour autant, des gens dans les mêmes conditions que moi s'en servent pour tenir des propos horribles. Et je redis la même chose : ce n'est pas une excuse. Je suis pour l'idée de garder un terme sans le mot criminalité lorsqu'il y a non-passage à l'acte et réelle volonté de se soigner, mais déjà, on voit les dérives : ici le post de base parlait d'utiliser le mot pédocriminalité pour passage à l'acte, et on en est déjà à "oui mais attention, not all pédophiles". Oui, il y a des troubles mentaux (je pense notamment aux TOCs) qui peuvent faire surgir des pensées compulsives, il y a des paraphilies, mais dès lors qu'il y a un fantasme sur l'idée de faire mal aux autres, je pense qu'il faut vraiment faire très attention à ne pas tout de suite dire "ce n'est pas sa faute", parce que même si effectivement il y en a qui vont se faire soigner, qui ont été programmé comme ça (Cf les systèmes programmés, vous pouvez voir ça sur internet, je ne parle pas des comptes mentionnés plus tôt mais vous pouvez voir la programmation mentale - avec des pincettes, parce que c'est des sujets très difficiles) etc., mais encore une fois attention à ne pas prendre la minorité pour en faire un exemple. Il y a des hommes aussi, qui regrettent d'avoir v*lé des femmes, est-ce que pour autant quand on a un article de prévention sur ce sujet, c'est une bonne idée de dire "attention, certains ne le font pas exprès, certains regrettent" etc. Ici on ne parle pas d'une paraphilie qui ne concerne que soit, ou des adultes consentants, on parle de v*ol sur des enfants, ou d'idées de ce genre, c'est grave, il n'y a aucune garantie que les gens se fassent soigner ou n'agissent pas, donc la priorité c'est quoi ? Protéger les enfants, quand il y a passage à l'acte remettre dans le mot qu'il s'agit d'un crime, et quand il n'y a pas passage à l'acte mais idées, agir avec la plus grande des prudences.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
C'est un terrain très glissant (sans jeu de mots) et si j'entends bien qu'on peut faire la différence entre du fantasme et le passage à l'acte, dans le cas de danger envers autrui (fantasme de v*ol, pédo, de meurtre etc.) je pense que la priorité est d'abord de pouvoir protéger les éventuelles (futures) victimes, puis d'encourager la thérapie en cas de pulsions ou de pensées invasives, de fantasmes etc... Mais le 2ème cas pour l'instant, est bien à sa place : secondaire. D'abord on protège les victimes en parlant de ce qu'elles subissent, et ensuite on pense aux personnes qui ont ces pulsions là mais vont potentiellement ne pas agir dessus, parce qu'on va pas se mentir, c'est comme pour toutes les violences, c'est très loin d'être une majorité et protégeons d'abord les enfants.