Tout d'abord Lucy, je voudrais juste te dire que je suis intimement persuadée que"tous" n'ont pas tué. Je suis peut être naïve (ou tout simplement méfiante à l'égard de la justice américaine) mais j'ai la certitude qu'il y a des gens dans le couloir de la mort qui sont innocents (ou tout de moins pas coupables d'homicide).
Après il va de soi que je ne saurai pas au moment de mon choix si le condamné avec lequel je choisi de correspondre est coupable ou non (Bien que certains résumés d'enquêtes ou de procès soient explicites). Mais en réalité peut importe...
Bob, merci ta réponse, elle m'a éclairée.Notamment pour "le choix" du condamné.Comme je l'ai dit sur "en ce moment, là.." il y une présentation qui m'a beaucoup touchée parce que dans la description que le condamné fait de lui même, je me retrouve: les centres d'interets, les engagements politiques etc...Lui écrire, même la première lettre, me semble beaucoup plus évident qu'a n'importe qui d'autre.Je crois qu'il sera mon correspondant, si je me décide à sauter le pas.
Si tu te décide à correspondre avec un condamné, j'aimerai que tu me dise comment ça se passe, si tu veux bien.
Hope, ta réponse me conforte dans mon idée: c'est tout à fait ces "minutes de répit", cette bulle de liberté, d'extérieur que je voudrais pouvoir apporter à une personne.Dis moi aussi si tu te décide.
Lavana tu as mis le doigt sur un point essentiel: l'importance que peut prendre une telle relation épistolaire pour le condamné, et j'avoue que c'est un point qui me fait un peur. J'ai peur de pas être à la hauteur, de pas être assez régulière etc...
En résumé: je crois avoir trouvé "mon" correspondant, en tout cas au travers d'une description de quelques lignes, je me suis sentie "proche" de ce qu'il est/était.
Si je me décide à écrire je vous tiendrais au courant!
J'ai une autre question: vous pensez que beaucoup de personne leur écrivent?
Après il va de soi que je ne saurai pas au moment de mon choix si le condamné avec lequel je choisi de correspondre est coupable ou non (Bien que certains résumés d'enquêtes ou de procès soient explicites). Mais en réalité peut importe...
Bob, merci ta réponse, elle m'a éclairée.Notamment pour "le choix" du condamné.Comme je l'ai dit sur "en ce moment, là.." il y une présentation qui m'a beaucoup touchée parce que dans la description que le condamné fait de lui même, je me retrouve: les centres d'interets, les engagements politiques etc...Lui écrire, même la première lettre, me semble beaucoup plus évident qu'a n'importe qui d'autre.Je crois qu'il sera mon correspondant, si je me décide à sauter le pas.
Si tu te décide à correspondre avec un condamné, j'aimerai que tu me dise comment ça se passe, si tu veux bien.
Hope, ta réponse me conforte dans mon idée: c'est tout à fait ces "minutes de répit", cette bulle de liberté, d'extérieur que je voudrais pouvoir apporter à une personne.Dis moi aussi si tu te décide.
Lavana tu as mis le doigt sur un point essentiel: l'importance que peut prendre une telle relation épistolaire pour le condamné, et j'avoue que c'est un point qui me fait un peur. J'ai peur de pas être à la hauteur, de pas être assez régulière etc...
En résumé: je crois avoir trouvé "mon" correspondant, en tout cas au travers d'une description de quelques lignes, je me suis sentie "proche" de ce qu'il est/était.
Si je me décide à écrire je vous tiendrais au courant!
J'ai une autre question: vous pensez que beaucoup de personne leur écrivent?