Je me fais troller par ma chaîne et ma clef USB.
Elles ont décidé de me jouer toutes les musiques du grand ballet de l'année dernière. Je les ai tellement entendues en boucle pendant des mois que je les connais toutes par cœur. Du coup, je les écoute en mode "vraiment elles étaient bien ces musiques" avec un fond de nostalgie et un pincement au cœur parce que ce ne sera jamais plus pareil (ce qui ne veut pas dire que ce sera moins bien, juste différent) et que je ne danserai plus jamais ces variations-là. C'est ce qui est finalement le plus dur je crois.
Porter un projet à bout de bras pendant des mois, bosser comme une tarée, jongler avec mes études, et finalement, en une journée, tout est fini.