Pansy ne le supplierait pas, elle ne s’agenouillerait pas à ses pieds pour le convaincre de la pardonner, elle ne serait pas contrite. Elle ne serait pas désolée, elle ne serait pas faible, elle ne serait pas, elle ne serait plus la jeune femme amoureuse qu’elle avait été de cet homme qui lui serait à jamais inaccessible. Elle serait un gladiateur, une guerrière, elle serait aussi belliqueuse que nécessaire, armée jusqu’aux dents de son intelligence, de sa culture, de son opiniâtreté, maligne et stratège chaque fois que cela serait nécessaire. Elle serait convaincante, elle serait la femme décidée et impitoyable qu’elle avait dû l’être, à chaque étape, à chaque jour de sa carrière.
Ca se sent, ou pas, que je regarde Scandal en écrivant ?