@Ocytocine. D'où le "jamais de la vie", parce que je trouve ça 1) très cliché et 2) un peu sale. C'est le cul ou la bouffe, pas les deux en même temps (même si bon, ça creuse).
@Phoenix Person Ca dépend, d'abord tu n'es pas obligée d'être en interne, et de faire partie de l'entreprise, tu peux intervenir en externe, en tant que consultant, via des cabinets de conseil/audit (c'est personnellement ce que je préfère). Après, en ce qui concerne ce qu'a dit la conseillère d'orientation... Bon sang c'est triste et un peu grave de transmettre de tels clichés sur ce métier. Nous sommes soumis au code de déontologie, au même titre que n'importe quel psychologue. Alors oui il y'a des connards prêts à tout accepter, mais globalement, si le cadre est bien clair, si le psy est au clair avec ce qu'il est ok ou pas de faire, et que la direction a bien compris que ce sera toujours plus à son avantage de faire confiance au psy dans sa façon d'intervenir plutôt que "d'espionner" les salariés, tout est supposé bien se passer. Sans parler du fait que bon, le secret professionnel, déjà, de base, est supposé nous prémunir de ce genre de demandes (on n'a pas à répéter ce que l'on voit, hein, juste à rendre compte de phénomènes observés et étudié au regard de nos connaissances théoriques en sociologie, en psychologie des organisations, en psychologie du travail, etc).
Ensuite, pour le côté rébarbatif... Je ne pense pas que ça le soit. Enfin tout dépend de ce que tu fais : si tu es chargée de recrutement, ouais, ça peut vite être chiant. Consultante en recrutement ? Nettement plus intéressant. Chargée de bilans de compétences ? Potentiellement rébarbatif/répétitif. Consultante en gestion de carrière ? Nettement plus passionnant. Si tu bosses dans le domaine des RPS/QVT/conseil RH/conseil en organisation, formation, accompagnement du changement, gestion de conflit, leadership, qualité, gestion de projet... C'est juste le graal (enfin, ça l'est pour moi). (hésite pas à m'envoyer des mp si tu veux en savoir plus, je suis pas sûre que ça passionne les gens d'ici - j'en parle déjà tout le temps, les pauvres)