Coucou cher ECM 
L'anxiété a fait la java toute la nuit. Je me suis réveillée à quelques centimètres du sol tellement j'ai bougé dans mon sommeil, à me demander qui allait plagier mon livre, et à réunir toutes les preuves d'antériorité pour préparer le procès. #toutvabien
Je ne sais pas ce qui m'inquiète le plus entre le fait que mon livre soit parti dans des mains inconnues malgré une protection juridique à la SGDL qui me met à l'abri (et qui m'a coûté très cher) et un ISBN qui ne saurait tarder (et qui m'a coûté très cher aussi) ; ou le fait que la toxicité ait commandé mon livre et qu'elle va en faire je-ne-sais-quoi, la connaissant elle est capable de tout, et elle m'avait déjà plagié il y a dix ans...
Je transpire moite.
J'ai prévu une date de sortie pour mon troisième livre, je pense que ça aussi, ça contribuera à le mettre à l'abri. Du moins, je le souhaite.
C'est fou comme quand on me met une idée dans la tête, on ne me la met pas ailleurs, et l'anxiété tisse sa toile autour avec une joie non dissimulée.
J'ai aussi tiré le constat suivant en regardant les photos d'hier :
Moi, oklm, tous les jours :
Moi en photo :
Je me déteste tellement sur les photos, je me compare tellement aux gens autour de moi, la dernière fois j'avais l'impression d'être le Joker sous acide ; remettons un petit coup de dysmorphophobie voulez-vous. Plus je maigris et plus je me trouve grosse
.
C'est des discours comme on m'a tenu hier en me mettant l'idée du plagiat dans la tête qui me font regretter de faire des choses, en fait.
L'anxiété a fait la java toute la nuit. Je me suis réveillée à quelques centimètres du sol tellement j'ai bougé dans mon sommeil, à me demander qui allait plagier mon livre, et à réunir toutes les preuves d'antériorité pour préparer le procès. #toutvabien
Je ne sais pas ce qui m'inquiète le plus entre le fait que mon livre soit parti dans des mains inconnues malgré une protection juridique à la SGDL qui me met à l'abri (et qui m'a coûté très cher) et un ISBN qui ne saurait tarder (et qui m'a coûté très cher aussi) ; ou le fait que la toxicité ait commandé mon livre et qu'elle va en faire je-ne-sais-quoi, la connaissant elle est capable de tout, et elle m'avait déjà plagié il y a dix ans...
Je transpire moite.
J'ai prévu une date de sortie pour mon troisième livre, je pense que ça aussi, ça contribuera à le mettre à l'abri. Du moins, je le souhaite.
C'est fou comme quand on me met une idée dans la tête, on ne me la met pas ailleurs, et l'anxiété tisse sa toile autour avec une joie non dissimulée.
J'ai aussi tiré le constat suivant en regardant les photos d'hier :
Moi, oklm, tous les jours :
Je me déteste tellement sur les photos, je me compare tellement aux gens autour de moi, la dernière fois j'avais l'impression d'être le Joker sous acide ; remettons un petit coup de dysmorphophobie voulez-vous. Plus je maigris et plus je me trouve grosse
.C'est des discours comme on m'a tenu hier en me mettant l'idée du plagiat dans la tête qui me font regretter de faire des choses, en fait.
Le temps qu'ils contactent les gens retenus en entretien, qu'ils fassent passer les entretiens, qu'ils sélectionnent la personne finale... Pas moyen qu'ils n'aient encore contacté personne. Bon, forte de cette pensée joyeuse je les appellerai demain je pense, ça ne sert à rien que j'attende encore. Mais ça me déprime, même si ce n'était pas l'idéal sur certains points c'est quand même un plan qui me tentait beaucoup, et puis ma copine va être déçue, elle était tellement contente que je vienne vivre avec elle dans sa ville 
Fait chier.
Mais surtout j'ai de grosses interrogations, parce que le gars en me donnant les clés me dit : "Si vous avez besoin c'est du gasoil qu'il faut mettre dedans, les précédents n'ont rien remis !".
Surtout que je vais déjà lâcher 1000 balles pour ma voiture, donc bon 
je galère toujours à répondre à cettequestion
