Je pensais pas que repeindre mon appart serait une telle épreuve psychologique. Peut-être que mes règles empirent le truc mais bon.
Déjà quand je verse la peinture dans le bac j'ai envie de pleurer en voyant la minuscule quantité qu'il me reste, ça me déprime.
Puis je vois rien à peindre blanc sur blanc. Puis les marques sur le plafond, puis les sur-épaisseurs, puis les sous-épaisseurs...
J'ai fait la 2e couche du grand mur. Pause psychologique pour ne pas craquer avant de faire le petit coin et les plinthes. Cette impression de faire de la merde c'est terrible. De voir tous les défauts.
Puis le bordel partout, la saleté.
J'en ai marre
Déjà quand je verse la peinture dans le bac j'ai envie de pleurer en voyant la minuscule quantité qu'il me reste, ça me déprime.
Puis je vois rien à peindre blanc sur blanc. Puis les marques sur le plafond, puis les sur-épaisseurs, puis les sous-épaisseurs...
J'ai fait la 2e couche du grand mur. Pause psychologique pour ne pas craquer avant de faire le petit coin et les plinthes. Cette impression de faire de la merde c'est terrible. De voir tous les défauts.
Puis le bordel partout, la saleté.
J'en ai marre