@Rocksteady Pour moi y a aussi la question financière, mais avoir une endroit à moi genre tiny house où je pourrais passer du temps loin du Tavernier et de mes futurs enfants. Pas forcément longtemps, pas forcément tous les jours, mais pouvoir bouquiner, faire de la méditation, chanter très fort, sans avoir peur d'être dérangée ou entendue.
Assumer ma non binarité. Le boulot a profité de la semaine de visibilité trans pour proposer de mettre ses pronoms dans notre signature professionnelle, j'ai très peur de compléter mon "she/her" d'un petit "they/them". (et je viendrai sûrement vous demander des encouragements quand je déciderai de le faire)
Me balader à poil en été. Je marche déjà beaucoup pieds nus, y compris dans la rue, mais je suis très sensible à la chaleur, et vraiment, si je pouvais, j'enlèverais mon débardeur, quand il fait 30°...
Me teindre les cheveux, même si j'ai aussi peur de les flinguer, ou me faire une frange. J'ai des restes de boucles, et j'ai peur d'avoir une tête de caniche si je coupe.
Parler encore plus de mes vécus d'agressions sexuelles. J'ai peur que l'image de victime me colle à la peau, mais j'ai besoin de normaliser ce vécu, d'inverser le sentiment de honte.
Je pense que y a plein de petites choses du quotidien, aussi. Je chanterais plus fort dans la rue, je danserais peut être plus librement, ce genre de choses...
Assumer ma non binarité. Le boulot a profité de la semaine de visibilité trans pour proposer de mettre ses pronoms dans notre signature professionnelle, j'ai très peur de compléter mon "she/her" d'un petit "they/them". (et je viendrai sûrement vous demander des encouragements quand je déciderai de le faire)
Me balader à poil en été. Je marche déjà beaucoup pieds nus, y compris dans la rue, mais je suis très sensible à la chaleur, et vraiment, si je pouvais, j'enlèverais mon débardeur, quand il fait 30°...
Me teindre les cheveux, même si j'ai aussi peur de les flinguer, ou me faire une frange. J'ai des restes de boucles, et j'ai peur d'avoir une tête de caniche si je coupe.
Parler encore plus de mes vécus d'agressions sexuelles. J'ai peur que l'image de victime me colle à la peau, mais j'ai besoin de normaliser ce vécu, d'inverser le sentiment de honte.
Je pense que y a plein de petites choses du quotidien, aussi. Je chanterais plus fort dans la rue, je danserais peut être plus librement, ce genre de choses...


les absents levez la main
(ok je sors). Peut être les changements de pseudo ?
