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Une de mes connaissances : 5 enfants, 2 surdouées c'est à dire sa fille aînée est rentrée en faculté de médecine à...16 ans. Elle a aujourd'hui 29 ans et elle est chirurgienne. Son dernier fils est entré en 3ème à...12 ans.
Les 3 autres frères et sœurs, très bons résultats scolaires, high level (une d'entre elle a fait sciences po' Paris puis a passé le concours de l'école de la santé publique fonction : directrice des hôpitaux et a enchaîné l'ENA). Mais eux n'ont pas été qualifiés ni reconnus comme HPI ou HQI. Sauf qu'ils étaient appliquées et méthodiques, ont bien compris le système de l'Educ' Nat' et le milieu social a joué à plein régime (parents dans la médecine: diabétologue, pharmacien et autre chirurgien stomatologue oui...parce que ma connaissance a eu 5 enfants et 2 divorces).
En revanche les 2 autres...on est dans une sphère autrement à part.
Une de mes connaissances : 5 enfants, 2 surdouées c'est à dire sa fille aînée est rentrée en faculté de médecine à...16 ans. Elle a aujourd'hui 29 ans et elle est chirurgienne. Son dernier fils est entré en 3ème à...12 ans.
Les 3 autres frères et sœurs, très bons résultats scolaires, high level (une d'entre elle a fait sciences po' Paris puis a passé le concours de l'école de la santé publique fonction : directrice des hôpitaux et a enchaîné l'ENA). Mais eux n'ont pas été qualifiés ni reconnus comme HPI ou HQI. Sauf qu'ils étaient appliquées et méthodiques, ont bien compris le système de l'Educ' Nat' et le milieu social a joué à plein régime (parents dans la médecine: diabétologue, pharmacien et autre chirurgien stomatologue oui...parce que ma connaissance a eu 5 enfants et 2 divorces).
En revanche les 2 autres...on est dans une sphère autrement à part.
Comment peut-on moralement demander à une personne en situation de handicap de faire en sorte de s'adapter aux valides.. alors que la société tout entière est DEJA adaptée à eux, et que les difficultés quotidiennes sont déjà énormes pour ces personnes sortant de la norme ?
Euh, c'est précisément la réflexion que je faisais dans mon précédent message en fait ?
Quand je disais "Puisque aujourd'hui, on constate que c'est aux individus de s'adapter aux normes, et non pas au système de s'adapter aux individus, système qui conséquemment ne tolère pas, ne comprend pas, n'essaye pas de s'adapter à eux alors qu'ils sont censés constituer le centre-même de son intérêt." C'est exactement ça que je dénonçais... (en plus je viens de lire ton message précédent qui répète à peu près la même chose donc sur ce point on est d'accord en fait ?)
J'ai simplement ajouté qu'à mon sens, je valorisais la réciprocité dans le sens où ça me semble pas une bonne idée de rester enfermés dans nos cases.C'est un sujet tout aussi vaste, mais si on veut poursuivre le parallèle avec le handicap, je pense pas que les personnes handicapées doivent être mises de côté comme des parias de la société et qu'il faille les considérer comme "anormaux" et fatalement différents. Et qu'au contraire, on doit tout faire pour les inclure au maximum, et qu'il faut, autant qu'on le peut, essayer (et j'avais bien écrit "essayer" car j'ai conscience de la difficulté de la chose donc on était loin de l'injonction aveugle) de se comprendre et de se connaître les uns les autres. (De la même façon, je ne suis à priori pas "pour" les classes d'enfants précoces).
Pour ce qui concerne les autres troubles, je me reporte uniquement aux études scientifiques qui disent que NON il n'y a pas de corrélation naturelle entre douance et anxiété, ou échec scolaire, etc. Du coup je ne vois pas trop l'intérêt de débattre si cet argument ne vaut rien pour vous .
Je continue de croire que des troubles peuvent être renforcés par la douance dans un contexte de combinaisons multifactoriel, comme le dit @Clematis , (environnement/milieu social/etc donc des facteurs culturels ça je suis d'accord) mais qu'il ne faut pas les confondre avec la douance et l'intelligence en elle-même.
Bref, je pense me retirer du débat car c'est très frustrant de voir ses propos déformés (même si c'est involontaire) ou de lire des réponses ne pas prenant pas en compte l'argumentation principale (des études récentes dont des liens ont été envoyés...).
@Valentina-
Dans la partie en spoiler, celle qui conclu ton message, malheureusement, tu dis l'inverse... ce que j'ai rapporté dans mon message et qui m'a fait réagir. Je ne citerai pas tel quel car tu as mis cette partie en spoiler, mais c'est dit, il suffit de relire.
J'ai l'impression, mais peut-être me trompe-je, que tu ne considères pas que certaines caractéristiques du HPI et HQI peuvent être handicapantes. Du coup, certes tu ne nies pas que les personnes ayant des difficultés (en général) ne sont pas adaptées à la société et que cette société devraient les prendre en compte... mais tu en exclues les HPI et HQI. J'ai parfois même l'impression que tu nies presque leur existence en fait, ou en tout cas leur nombre...
C'est mon impression générale de tes messages, qui m'ont blessées, pour être honnête et c'est pour ça que j'ai commencé à intervenir en tant que HPI non diagnostiquée enfant et qui a eu tant de traumatismes du fait de cette négligence.
Peut-être n'est ce pas ce que tu voulais dire, mais en tout cas c'est l'impression que j'ai eu de tes messages.
Mais pas que des tiens d'ailleurs...
Je trouve très frustrant aussi de lire, en substance, que tout le monde s'auto-proclame HPI ou HQI pour se rendre spécial, que c'est trop facile comme excuse pour ne pas avoir à changer, ou que, en tant que enfant HPI, j'aurais du "faire un effort" pour essayer de comprendre mes camarades de classe qui me jetaient des cailloux (littéralement !)... J'aurais VRAIMENT préféré ne pas être HPI. Ma vie aurait été TELLEMENT plus facile, et je n'aurais certainement pas autant galéré à me détester comme je l'ai fait pendant de si nombreuses années.
Ça a peut-être été dit et je m'excuse si j'ai raté les posts, mais c'est quoi les difficultés / traits handicapants inhérents à une haute intelligence / surdouée / HPI ?
Parce que ayant été moi-même considérée comme surdouée dès mon plus jeune âge, et adulte aujourd'hui on me considère comme "potentiel" au boulot (je travaille bien, vite, promotions et compagnie, je suis douée dans plein de trucs), j'ai du mal à voir où ça aurait pu me poser problème ? Enfin au contraire, ça ne m'a apporté que des avantages. Curieuse d'en savoir plus du coup ?
Dans mon cas, parmi les choses les plus notables et handicapantes au quotidien, perso ou pro, les plus concrêtes :
* difficultés de motricité fine (notamment d'écriture manuscrite : écriture malhabile, très lente, très appuyée sur la feuille donc fatigue des doigts et frustration/perte du fil des idées car le stylo ne va pas aussi vite que mes réflexions) : impossible de prendre des notes manuscrites en cours puis en réunion de façon efficace, ne pas pouvoir, ou très difficilement, effectuer des travaux minutieux (couture, réparation basique de petits objets du quotidien, genre mettre une clé dans un porte clé) sans casser les choses ou me blesser ;
* difficultés de prioception et de situation du corps dans l'espace (grande maladresse, se cogner partout tout le temps, casser des choses plusieurs fois par jour...) : je continue à me cogner partout régulièrement, à faire tomber des objets, et donc casser des trucs ;
* énormes difficultés avec les choses « concrètes » (les chiffres, les sciences) donc très difficile de tenir un budget par exemple, ou bien dans mon boulot car je manie des chiffres (paie, facturation)...
En grandissant, j'ai développé des stratégies pour pallier à ces choses-là, notamment via l'ordinateur, qui permet à mon écriture d’aller ENFIN presque aussi vite que mes réflexions, Excel me permet ne pas avoir à répéter à chaque fois l'effort mental que me demandent des opérations basiques puisqu’elles sont enregistrées dans la feuille de calcul, etc...
J’ai appris à faire avec ma maladresse chronique, en achetant des verres en plastiques par exemple ou en laissant mon conjoint faire la vaisselle... plutôt que de devoir remplacer sans cesse l’énorme quantité de vaisselle cassée... L'Hémoclar et l'Arnica sont mes meilleurs amis pour soigner mes bleues toujours multiples.
Effectivement, au travail, mis à part les chiffres sur lesquelles je bloque, sur le reste mes qualités sont appréciées : je percute et m’adapte vite, mes qualités rédactionnelles sont largement au-dessus de celles de mes collègues ce qui me permet de réaliser des rapports/dossiers très appréciés, j’ai une bonne mémoire, je suis organisée, travaille vite et bien, etc...
Comme les difficultés sociales s’estompent en grandissant, j’ai fini par trouver des ami.e.s et un conjoint fiables qui m’apprécient pour ce que je suis.
Pour le reste, je vais beaucoup mieux depuis mon diagnostic, posée par une psy, a posteriori, à l’âge adulte.
Parce que plus que les difficultés en elles-mêmes, c’est le regard que je portais dessus qui m’empêchait d’avancer, et le profond sentiment de culpabilité. Le sentiment de ne rien valoir et de n’être pas digne d’intérêt.
Enfant je n’ai pas été diagnostiquée, donc mon entourage pensait que toutes ces difficultés étaient de la mauvaise volonté (puisque j’avais de grandes facilités par ailleurs, si j’étais nulle en math, c’est que je le faisais exprès !). J'étais sans arrêt réprimandée et punie pour des choses auxquelles je ne pouvait rien et qui me rendait malheureuse. C'est aussi violent et injuste que d'engueuler un gamin qui pleure parce qu'il s'est fait mal.
Concernant les autres enfants et les adultes qui ne voulaient pas écouter un enfant « à part », pour eux.elles, j’étais surtout "chiante", à tout le temps "leur/me prendre la tête" : je me passionnais pour des choses qui leur échappaient, j’avais des difficultés à m’intéresser à leurs centres d’intérêt : malgré tous mes efforts, je passais toujours à côté, par mes réflexions, mon approche. J'étais souvent perdue dans mon monde et mes idées qui fusaient par centaine à la minute.
Bref, nos centres d’intérêt étant aux antipodes, j’étais rejetée et harcelée car différente.
Les seuls échanges possibles étaient avec certains adultes, notamment de ma famille, ou mon frère et ses potes plus vieux, qui supportaient de discuter/débattre avec une enfant...
Je rappelle à nouveau que je parle d'il y a au moins 20-25 ans (puisque j’ai aujourd’hui passé la trentaine), à cet époque on ne parlait pas du tout de HPI, à peine parlait-on de « surdoués » à qui on faisait passer des test de QI basiques et sauter des classes.
[EDIT : Et je parle de MON cas, pourquoi MOI cela m'a surtout posée des soucis.Chaque cas, chaque parcours, chaque histoire sont différents.
Je ne dis absolument pas que cela DOIT poser souci. Bien au contraire, cela ne devrait pas en poser et n'être que du plus dans une vie.
L'unique but de mes messages finalement est de témoigner de l'aspect destructeur de traiter un potentiel HPI/HQI chez un enfant par-dessus la jambe, en réaction à plusieurs messages qui semblaient minimiser la détection des HPI/HQI...
@Mijou
Ce que tu comprends n'est pas infailliblement ce que j'ai écrit.
Car je parlais de tout le monde, y compris les HQI (c'est le sujet principal en fait, donc j'en serais pas venue là sans raison).
Je ne nie pas l'existence des HPI, j'ai écrit mot pour pour mot que selon moi, l'intelligence existe, se mesure et les HQI existent, si tu persistes à m'attribuer une autre intention, parler est vain et je n'y peux plus rien.
J'ai l'impression que tu te victimises beaucoup et tu as surement tes raisons, elles sont probablement justes pour la majorité des choses que tu as vécu, mais je ne comprends pas pourquoi tu t'acharnes à m'attribuer de mauvaises intentions. Mes messages tendent simplement à essayer de rester rationnels.
Si aujourd'hui, si un article scientifique me dit que ce n'est pas corrélé, qu'autour de moi, j'observe une majorité de de HPI heureux et sans souci, je ne persiste pas dans ce qui m'arrangerait.
Y compris pour une difficulté motrice et une difficulté d'abstraction, si une majorité de HPI n'a pas cela, si rien ne me prouve scientifiquement que c'est lié, ça reste à mon sens des troubles à part qui auraient potentiellement pu apparaître sans un HQI (schéma qui existe d'ailleurs). Et, je le répète, ce n'est pas pour autant renier tout le concept de HPI.
@Valentina-
Autant, je pense être globalement d'accord avec toi (sur le fait qu'il peut y avoir pleins de choses dures à vivre mais que ce r'est pas à relier spécialement avec le fait d'être hqi), autant dire de quelqu'un qu'il se victimise, ça peut être très mal interprété parce que c'est un terme utilisé pour dire de quelqu'un qu'il exagère sa souffrance :/
Je sais pas si c'est ce que tu voulais dire, mais si oui, c'est pas cool :/
@Valentina- Je ne sais pas si ça te convient de te citer indirectement ainsi, n'hésite pas à dire si ça te dérange, mais quand tu dis "J'ai l'impression que tu te victimises beaucoup" à Mijou je trouve ça violent. @Mijou vient nous parler de son ressenti sur des choses apparement très dures pour elle, au point d'en arriver à de la mutilation et pour toi c'est "tu te victimises beaucoup"?
J'entends tes arguments sur le fait que ces problèmes soient -ou non- liés au fait d'être Haut Potentiel Intellectuel, ce sont des questions que tu te poses et que tu exprimes, par contre ça me dérange vraiment de balayer le vécu de Mijou comme ça.
Sa souffrance a existé (et est peut être encore actuelle), qu'elle soit liée ou non à ses spécificitées de fonctionnement intellectuel!
Ce que je voulais dire c'était "dans ce débat tu tournes les choses de façon à te positionner en victime" sur le plan rhétorique , par contre cela n'avait rien à voir avec son passé dans lequel je n'ai pas été et pour lequel je la crois à 100% et ne la juge pas (d'où le "tu as sûrement tes raisons pour la majorité des choses que tu as vécues" mais pas dans cette conversation car je n'ai rien contre elle ni contre les HPI)
Effectivement c'est très mal tourné (apparemment je n'arrive plus à communiquer)
@Valentina-
Ce n'est pas un peu paradoxal de me reprocher un discours victimisant... pour te plaindre que je m' "acharne" sur toi 2 lignes plus loin ?
Je ne me suis pas "acharnée", j'estime m'être montrée très correcte, avoir parlé de mon ressenti sans jamais en faire une vérité absolue ni te clouer au pilori ?
J'ai réagi à des messages, en précisant bien que ce n'était pas que les tiens, parce que ceux-ci m'ont blessée, de part ma situation personnelle, en exposant des faits, qui certes me concernent, mais qui auraient pu concerner quelqu'un d'autre.
Et je précise ENCORE qu'il ne s'agit pas d'un auto-diagnostic, mais qu'il m'a été posée par une psychologue à l'âge adulte. [EDIT : Psychologue qui a passé au crible chacune de mes difficultés et chacun de mes atouts, avec différents tests de personnalités, QI et tout le toultim, puisque c'était dans le cadre d'un bilan de compétences à la base.]
Et que si cela m'a fait du bien de réaliser ce que j'étais enfant, et qui a été la cause de tant de traumatismes, une fois devenue adulte, quand j'étais enfant, je m'en serais vraiment, mais vraiment bien passé.
Pourquoi je me suis mise à nu ainsi ? Pas pour attirer l'attention, ni pour faire une thérapie online, ou que sais-je. Cela dit, même si c'était le cas, je ne vois pas en quoi cela te pose problème ? Qu'est-ce qui te gêne à ce point ?
C'est bien de vouloir rester neutre à tout prix, mais sur un forum, en face de vraies personnes, avec de vraies vies, des vécus parfois douloureux, etc... il faut accepter qu'il puisse y avoir des réactions vécues et teintées d'émotionnel. Si l'on n'a pas envie de cela, il faut échanger avec des professionnels sur des "cas", et non pas discuter avec des "personnes"...
Alors oui, j'ai beaucoup parlé de moi, j'en suis consciente, mais si je l'ai fait, je le répète encore une fois c'est pour alerter sur les dangers de traiter à la légère les HPI, de les minimiser, voire de mépriser certains diagnostics... ce qui ressortaient de plusieurs messages, et pas seulement des tiens @Valentina- .
Il y a sûrement des cas où les diagnostics sont posés abusivement mais (comme je l'ai dis dans un de mes messages), avant, on ignorait complètement ces particularités.
[EDIT : je précise à nouveau que j'ai passé la trentaine, donc l'époque dont je parle, c'était il y a 25 ans... on parlait de surdoués mais jamais de HPI]
Je voulais me servir de mon expérience traumatique pour alerter sur ces dangers-là, parce que j'ai réussi à surmonter pas mal de choses, mais que si jamais mon expérience peut servir à d'autres personnes, les faire se sentir moins seules, les inciter à consulter ou à seulement en parler.... On ne sait jamais.
Voilà tout.
Merci aux Madz qui ont accueilli mes propos avec bienveillance.
Et franchement, je trouve ça presque grave de répandre des idées sur des concepts aussi flous, tandis qu'elles auraient pu être aidées sur de réels troubles tels que l'autisme, ou soigner des phases dépressives au lieu d'assimiler leur nature à leurs problèmes comme le suggère cette théorie.
Et cela n'a rien à voir avec toi.
Je trouve cela dangereux de confondre certains troubles ou une dépression avec un HQI, quand c'est faux et infondé de les associer sur le plan scientifique et médical. Et surtout lorsque ceux-ci doivent être traités à part, ou peuvent se soigner et ne sont pas fatals.
Donc j'espère en ce qui me concerne que si des personnes lisent ça, elles pourront prendre conscience qu'elles peuvent être HQI ET heureuses, qu'un enfant HQI n'est pas voué à l'adolescence que j'ai personnellement eue, que c'est surtout les facteurs socio-environnementaux qui seront importants et qu'ils peuvent jouer favorablement. C'est le message que moi je veux transmettre.
(J'ai précisé que mes messages étaient à visée rationnelle de façon à ce qu'on en comprenne la teneur, et si, on peut avoir des débats rationnels sur ce forum. Cependant si cela te blesse il vaut mieux arrêter en effet.
Je trouve cette conversation dommage car en ce qui me concerne, je ne débat pas "contre des gens" mais pour mes idées, et je trouve que l'approche rationnelle dans ce contexte apporte davantage de positif que de négatif)
Edit de ton spoiler : Je ne suis pas du tout contre la prise en charge de toute forme de différence qui porterait à une souffrance. Mais je pense que sur le sujet de l'intelligence, des HPI etc, il faut être précautionneux car l'enjeu est important (le bien-être d'une personne voire d'un enfant). C'est pour ça que les idées reçues ou idées à la con basés sur rien sur les surdoués (je ne parle pas de tes propos mais des écrivains ou psychologues de comptoir, par exemple) m'énervent et que les erreurs me paraissent à souligner. C'est ce pourquoi je m'attache à suivre l'évolution des recherches sérieuses là-dessus.