@Valentina-
Je crois effectivement que le dialogue entre nous est dans une impasse.
Ce n'est pas grave, c'est juste dommage d'en arriver là, de devoir arrêter de discuter parce que l'émotionnel est compliqué à simplement respecter. On peut ne pas être d'accord mais essayer de rester bienveillant tout de même.
Rationaliser c'est bien, c'est même nécessaire, même si on voit bien cela dit que c'est compliqué pour tout le monde, mais reprocher à une personne de se victimiser parce qu'elle indique avoir été blessée par des propos "cliniques", c'est quand même violent.
Imaginez-vous discuter froidement d'alcoolisme par exemple, tout en sachant que des personnes atteintes puissent entendre. Une personne souffrant de ce trouble arrive au milieu de votre conversations et entend vos propos neutres et factuels. Elle risque de se sentir blessée, non-considérée. Est-ce que elle n'en aurait pas le droit ? Est-ce qu'on lui dirait de ne pas en faire tout une histoire ? Je ne pense pas. On peut être maladroit, mais rendre responsable l'autre de ses propres maladresses et minimiser son ressenti, c'est violent.
Entre temps, avant ton dernier message, j'ai posté un message en spoiler, j'espère qu'il apaisera un peu les choses. Je suis navrée que ça ait viré comme ça, en tout cas, mais je peux comprendre pourquoi tu réagis comme ça, du coup.
Vraiment je suis navrée de la tournure qu'ont pris les échanges entre nous.
[Edit : et avec l’édit de ton précédent message je comprends encore mieux. On est en fait d’accord, j’ai précisé plusieurs fois aussi et dès le début que je pensais qu’on était dans une période de « trop » là ou avant ce n’était « pas assez »... pour arriver au juste équilibre, j’espère.
Je pense qu’il y a eu en fait surtout beaucoup de malentendus entre nous. ]
Je crois effectivement que le dialogue entre nous est dans une impasse.
Ce n'est pas grave, c'est juste dommage d'en arriver là, de devoir arrêter de discuter parce que l'émotionnel est compliqué à simplement respecter. On peut ne pas être d'accord mais essayer de rester bienveillant tout de même.
Rationaliser c'est bien, c'est même nécessaire, même si on voit bien cela dit que c'est compliqué pour tout le monde, mais reprocher à une personne de se victimiser parce qu'elle indique avoir été blessée par des propos "cliniques", c'est quand même violent.
Imaginez-vous discuter froidement d'alcoolisme par exemple, tout en sachant que des personnes atteintes puissent entendre. Une personne souffrant de ce trouble arrive au milieu de votre conversations et entend vos propos neutres et factuels. Elle risque de se sentir blessée, non-considérée. Est-ce que elle n'en aurait pas le droit ? Est-ce qu'on lui dirait de ne pas en faire tout une histoire ? Je ne pense pas. On peut être maladroit, mais rendre responsable l'autre de ses propres maladresses et minimiser son ressenti, c'est violent.
Entre temps, avant ton dernier message, j'ai posté un message en spoiler, j'espère qu'il apaisera un peu les choses. Je suis navrée que ça ait viré comme ça, en tout cas, mais je peux comprendre pourquoi tu réagis comme ça, du coup.
Vraiment je suis navrée de la tournure qu'ont pris les échanges entre nous.
[Edit : et avec l’édit de ton précédent message je comprends encore mieux. On est en fait d’accord, j’ai précisé plusieurs fois aussi et dès le début que je pensais qu’on était dans une période de « trop » là ou avant ce n’était « pas assez »... pour arriver au juste équilibre, j’espère.
Je pense qu’il y a eu en fait surtout beaucoup de malentendus entre nous. ]
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