@Impassioned
Je suis assez opposée à toi, vu que je suis d'extrême droite (pas MLP et conneries, juste capitaliste)
Pour moi, plus le marché est libre et ouvert à toute, possibilités, plus il va par lui même s'autoréguler. Pour les arguments environnementaux cités, si les "clients" s'intéressent à l'environnement, l'entreprise respectera l'environnement pour attirer le client. Dans le cas des talons, si les "gros calibres" refusent de porter des talons (sachant que les emplois sont plus mobiles), les entreprises changeront de critères pour elles attirer les employés et non le contraire. Le fait que les emplois soient aussi fixes empêchent d'avoir cette flexibilité.
Dans notre cas, je trouve que la France s'occupe beaucoup trop de chacun d'entre nous. Je ne parle pas d'handicapés par exemple ou de personnes dans le besoin. Si l'assurance santé n'était pas automatiquement faite par l'Etat, on pourrait se passer de cotisation si l'on décide d'assumer les conséquences ou en prendre une nouvelle dans une compagnie d'assurance (sachant que la dynamique commerciale donnera des prix concurrentiels). Je suis pour que chacun décide de faire ce qu'il veut de ses revenues. Je suis contre le fait qu'on soit tous égaux financièrement et contre l'ISF.
Si les emplois étaient plus flexibles (qu'il était plus facile de renvoyer et qu'il y ait moins de frais), il serait aussi beaucoup plus simple d'engager et donc d'observer une circulation des métiers. Si le job en talon ne te plait pas, tu peux démissionner parce qu'à côté, il y a une place vacante, sachant que ta place aussi sera à pourvoir, ce qui créera un nouvel emploi. Et la start up à côté n'aura aucun mal à créer un nouvel emploi parce qu'au cas ou le vent tournerait, elle pourrait renvoyer quelqu'un et donc s'en sortir plus rapidement et recréer un nouvel emploi par la suite. L'idée de garder le même emploi de nombreuses années me paraît une aberration plus qu'autre chose...
@Lunafey , tu peux aussi considérer que le stress subit est un "danger" psychologique dans ce cas.