Bilan de décembre/mi-janvier.
Je préfère faire ça ici, je me refuse d'ouvrir un blog, mon message sera perdu dans la masse, et je sais que le topic sera verrouillé dans peu de temps .
J. me plaisait bien. J'ai pris mon courage à deux mains, je croyais qu'il était parfait pour moi. Je l'ai ajoutée sur facebook, il n'a pas répondu à mon message. J'ai laissé tombée quand j'ai vu que F. mettait des cœurs sur son mur. J'ai laissé tombé, comme tout ce que j'entreprends.
Au début de l'année scolaire, je me sentais fatiguée, je n'avais la tête à rien faire, je pensais que ca allait passé, mais résultat, cinq mois après, c'est la même chose. Je n'ai le courage de rien faire, je laisse des piles de copies et de devoirs moisir, attendant vainement le dernier moment pour conclure. J'attends quelque chose, mais je ne sais pas quoi...
T. me plait de plus en plus, je crois que je lui plait (encore) aussi, j'ai senti plusieurs fois son regard sur moi, il parle de moi à ses amis, mais ne raconte jamais ce qu'il s'est passé entre nous. Heureusement, peut être. Mais, il m'insupporte quelque fois, et je ne peux rien entreprendre, vu le nombre de fois ou j'ai cassé du sucre sur son dos. J'ai fait une dispense en sport, peut etre aussi pour m'éviter de le voir.
J'ai failli le croiser le soir du réveillon, mais fidèle à ma réputation de limace, je n'ai rien fait ce soir là. J'ai regardé une émission merdique avec D. sur mon canapé.
J'ai commencé 2011 en mode loque, je me sens fatigué et épuisé, je ne sais pourquoi.
J'ai refait ma garde robe, pour mettre du renouveau dans ma vie. Je me fait pitié. J'ai changé de coupe, aussi. J'ai refait ma chambre, changé atmosphère. Croyant inévitablement que ça changerait quelque chose, que ça me "boosterait".
Le copain de ma sœur me gave toujours autant. Et elle aussi, par la même occasion. Ce semblant de couple heureux. Parce qu'il a de l'argent, il se prend pour une sorte de "prophète" qui sauverait notre famille. Il m'énerve. Elle parle de lui à longueur de journée, ramène tout à lui ... Elle m'énerve aussi.
Je me suis rapprochée de M., elle est sympa, et je peux tout lui dire. Je me rends compte que c'est ce qui m'a manqué lorsque j'étais amie, seulement avec N. Un garçon ne vous comprend pas toujours, et on ne peut pas tout lui raconter. Je sentais qu'il était aussi jaloux de me pseudo relation avec T.
Finalement, me disputer avec N. est une bonne chose. Je me sens plus libre, et je ne me sens plus obligée de donner le meilleur de moi-même pour pas qu'il ne me critique. M. et D. sont sympa, et je me sens moins "attachée", plus "libre".
Je me suis inscrite au code aussi, depuis le temps que j'en parlait...
Au niveau orientation, j'ai suivi les conseils de mon prof de philo, et je me suis rendu compte, que ce qui m'a manqué le plus durant toutes ces années, c'est bien le contact avec les gens, coincée dans ce semblant de timidité. Je veux vraiment, et plus que tout bosser dans la culture ou l'évènementiel, côtoyer des gens nouveaux à longueur de journée peut être, la psychologie? L'individu m'intéresse, dans toute sa splendeur.
Qu'on me souhaite un évènement qui me tourmente, me réveille.
Je préfère faire ça ici, je me refuse d'ouvrir un blog, mon message sera perdu dans la masse, et je sais que le topic sera verrouillé dans peu de temps .
J. me plaisait bien. J'ai pris mon courage à deux mains, je croyais qu'il était parfait pour moi. Je l'ai ajoutée sur facebook, il n'a pas répondu à mon message. J'ai laissé tombée quand j'ai vu que F. mettait des cœurs sur son mur. J'ai laissé tombé, comme tout ce que j'entreprends.
Au début de l'année scolaire, je me sentais fatiguée, je n'avais la tête à rien faire, je pensais que ca allait passé, mais résultat, cinq mois après, c'est la même chose. Je n'ai le courage de rien faire, je laisse des piles de copies et de devoirs moisir, attendant vainement le dernier moment pour conclure. J'attends quelque chose, mais je ne sais pas quoi...
T. me plait de plus en plus, je crois que je lui plait (encore) aussi, j'ai senti plusieurs fois son regard sur moi, il parle de moi à ses amis, mais ne raconte jamais ce qu'il s'est passé entre nous. Heureusement, peut être. Mais, il m'insupporte quelque fois, et je ne peux rien entreprendre, vu le nombre de fois ou j'ai cassé du sucre sur son dos. J'ai fait une dispense en sport, peut etre aussi pour m'éviter de le voir.
J'ai failli le croiser le soir du réveillon, mais fidèle à ma réputation de limace, je n'ai rien fait ce soir là. J'ai regardé une émission merdique avec D. sur mon canapé.
J'ai commencé 2011 en mode loque, je me sens fatigué et épuisé, je ne sais pourquoi.
J'ai refait ma garde robe, pour mettre du renouveau dans ma vie. Je me fait pitié. J'ai changé de coupe, aussi. J'ai refait ma chambre, changé atmosphère. Croyant inévitablement que ça changerait quelque chose, que ça me "boosterait".
Le copain de ma sœur me gave toujours autant. Et elle aussi, par la même occasion. Ce semblant de couple heureux. Parce qu'il a de l'argent, il se prend pour une sorte de "prophète" qui sauverait notre famille. Il m'énerve. Elle parle de lui à longueur de journée, ramène tout à lui ... Elle m'énerve aussi.
Je me suis rapprochée de M., elle est sympa, et je peux tout lui dire. Je me rends compte que c'est ce qui m'a manqué lorsque j'étais amie, seulement avec N. Un garçon ne vous comprend pas toujours, et on ne peut pas tout lui raconter. Je sentais qu'il était aussi jaloux de me pseudo relation avec T.
Finalement, me disputer avec N. est une bonne chose. Je me sens plus libre, et je ne me sens plus obligée de donner le meilleur de moi-même pour pas qu'il ne me critique. M. et D. sont sympa, et je me sens moins "attachée", plus "libre".
Je me suis inscrite au code aussi, depuis le temps que j'en parlait...
Au niveau orientation, j'ai suivi les conseils de mon prof de philo, et je me suis rendu compte, que ce qui m'a manqué le plus durant toutes ces années, c'est bien le contact avec les gens, coincée dans ce semblant de timidité. Je veux vraiment, et plus que tout bosser dans la culture ou l'évènementiel, côtoyer des gens nouveaux à longueur de journée peut être, la psychologie? L'individu m'intéresse, dans toute sa splendeur.
Qu'on me souhaite un évènement qui me tourmente, me réveille.