Gizeh : je sais que jamais je ne l'oublierais, c'est impossible. Mais je me sens coupable de continuer à vivre, essayer de rencontrer de nouvelles personnes. Je me raccroche à mon boulot, parce qu'il était fier que je sois là où j'en suis actuellement. Mais entre sa famille et ce qu'ils écrivent et le boulot où certaines personnes me charrient (genre j'ai une minerve à cause d'un accident qui est arrivé en mission, la version de mon synthèse c'est que mon copain m'a pris trop près du mur. Super, déblicat) j'arrive pas à laisser ma peine de côté. En même temps, peu de personnes sont au courant et eux, ils ont été merveilleux quand ça n'allait pas (il n'y en a bien qu'un seul sur toute ma boite qui ait eu l'air inquiet par ma minerve d'ailleurs).
Je suis assez solitaire, je l'ai toujours été mais là j'ai juste hâte partir lundi avec toute la bande même pour du boulot. Mais le retour va être dur, encore. Bon je suis désolée de vous avoir imposé tout ce discours je vais aller dormir ça me calmera.
Je suis assez solitaire, je l'ai toujours été mais là j'ai juste hâte partir lundi avec toute la bande même pour du boulot. Mais le retour va être dur, encore. Bon je suis désolée de vous avoir imposé tout ce discours je vais aller dormir ça me calmera.