Bon ben voilà pourquoi je n'osais pas dire au pote dégueu (d'ailleurs je vais arrêter de l'appeler comme ça, c'est horrible pauvre bête
) que je ne voulais plus le voir : tout simplement parce que je l'aime bien quand même.
Je psychotais sur lui depuis un mois parce que je le trouvais insistant et que je restais bloquée sur ce que mes potes m'avaient dit (que je lui plaisais bien), mais en fait maintenant que je l'ai revu, je me suis souvenue qu'il était inoffensif et qu'on discutait de plein de choses intéressantes. Et puis on rigole bien. C'est horrible tout ce que j'ai dit sur lui, alors qu'au fond il m'apprécie juste, il m'estime comme une amie même si moi je ne le considère pas en tant que tel. Et puis peu importe s'il m'apprécie un peu plus que ça en cachette, je pense qu'il a très bien compris que ce n'était pas du tout réciproque et qu'il ne tentera jamais rien ni ne fera d'allusion.
Vous voyez comme je suis horrible et comme je peux me monter la tête quand je suis loin des gens
Les gens qui sont loin ont une propension impressionnante à me rendre médisante pour rien.
Il suffit bien souvent que je les revoie pour les dé-diaboliser.... Je vais me calmer maintenant, et il va falloir que je travaille sur ce sentiment d’oppression que je ressens dès que quelqu'un exprime un désir trop fort de me voir alors que j'ai la flemme.
Je vais éditer tous les posts horribles que j'avais faits à son sujet