J'ai fait un truc pas très très sympa.
Comme l'administration de mon UFR m'a mise dans la mouise et qu'elle n'arrive pas à rattraper le truc, et que non je ne peux pas camper devant 666 bureaux différents par semaine pour tout arranger toute seule j'ai écrit des mails. Plein.
J'ai tout raconté au médiateur de la fac, à la Présidente de l'université, sur un forum étudiant, j'ai envoyé un mail à tous ceux qui ont eu mon dossier en main parmi l'administration de la fac pour leur dire dans quelle merde je suis à cause d'eux, parce qu'ils commettent des erreurs qu'ils ne prennent pas le temps de corriger ensuite, parce ue les difficultés que peut rencontrer un étudiant est secondaire pour eux, comme s'il n'y avait que la masse de travail, le stress et les ambigüités de l'administration et des procédures d'inscriptions.
Bah non bande de glands. Y a des étudiants malades, dépressifs, qui ont faim, précaires, pour qui un diplôme est le saint graal, dont les familles sont sources de problème. Jamais un enseignant ni un membre de l'administration n'a fait preuve de compréhension quand j'ai expliqué que ma mère était à l'hôpital, quand il y a eu un décès, quand les médecins faisaient des certificats pour me ménager ou me mettre en arrêt parce que je n'en pouvais plus, quand j'avais pas assez de thunes pour payer une impression correcte de mes dossiers, quand je pouvais plus prendre le métro pour aller à la BU réviser en période de dèche.
Je ne veux pas être maternée ni avoir un traitement de faveur. J'aimerais seulement qu'on ne savonne pas un chemin déjà trop glissant.
Je suis tellement en colère, je sais que je suis pas seule, je sais. Mais mince, faire les choses entièrement c'est si dur ? C'est si dur de ne pas lâcher un étudiant en difficulté tant que son inscription n'est pas close ?
Comme l'administration de mon UFR m'a mise dans la mouise et qu'elle n'arrive pas à rattraper le truc, et que non je ne peux pas camper devant 666 bureaux différents par semaine pour tout arranger toute seule j'ai écrit des mails. Plein.
J'ai tout raconté au médiateur de la fac, à la Présidente de l'université, sur un forum étudiant, j'ai envoyé un mail à tous ceux qui ont eu mon dossier en main parmi l'administration de la fac pour leur dire dans quelle merde je suis à cause d'eux, parce qu'ils commettent des erreurs qu'ils ne prennent pas le temps de corriger ensuite, parce ue les difficultés que peut rencontrer un étudiant est secondaire pour eux, comme s'il n'y avait que la masse de travail, le stress et les ambigüités de l'administration et des procédures d'inscriptions.
Bah non bande de glands. Y a des étudiants malades, dépressifs, qui ont faim, précaires, pour qui un diplôme est le saint graal, dont les familles sont sources de problème. Jamais un enseignant ni un membre de l'administration n'a fait preuve de compréhension quand j'ai expliqué que ma mère était à l'hôpital, quand il y a eu un décès, quand les médecins faisaient des certificats pour me ménager ou me mettre en arrêt parce que je n'en pouvais plus, quand j'avais pas assez de thunes pour payer une impression correcte de mes dossiers, quand je pouvais plus prendre le métro pour aller à la BU réviser en période de dèche.
Je ne veux pas être maternée ni avoir un traitement de faveur. J'aimerais seulement qu'on ne savonne pas un chemin déjà trop glissant.
Je suis tellement en colère, je sais que je suis pas seule, je sais. Mais mince, faire les choses entièrement c'est si dur ? C'est si dur de ne pas lâcher un étudiant en difficulté tant que son inscription n'est pas close ?