L'heure est grave. Je viens de me rendre compte que j'ai des mini-crushes sur plein de collègues
. J'ai pas envie que ça aille plus loin, mais souvent quand je les vois ou leur parle, je frétille de la
comme une jeune fille en
chaleur fleur
. Le pire étant qu'il suffit de presque rien, en une demie-seconde un individu peut passer de "banal" à "crushesque"
, et ce pour un simple mot, geste, voire une expression du visage qui me fait craquer. Voilà, je fais mon coming-out d'hypersensible de la cyprine
. J'ai trop pitié de moi-même