J'irais dormir seule à la belle étoile, juste pour le kiff...
#notallmen.our autant, je ne souhaite pas qu'une telle mesure soit appliquée. Elle pénaliserait les hommes cis respectueux et conscients des enjeux sociétaux actuels. Elle pénaliserait nos potes, nos collègues, nos pères, etc. Même si tous ne sont pas "conscients" des privilèges de genre, tous ne sont pas des agresseurs potentiels.
Parce que personne se balade avec écrit sur le front "j'aime emmerder les femmes" ?Et dans l'idée, pourquoi sanctionner le groupe entier quand une partie seulement fait une connerie?
Nous sommes dans Paris, un jeudi vers 23h, et je me demande si mon père aurait eu la même inquiétude pour son fils…
En réalité, je ne me le demande pas : je sais bien que non.
« Si mon père [...] pour son fils ».C'est une blague @QueenCamille ? J'en ai recraché mon café sur mon écran de PC là. Comment peux-tu traiter d'un sujet aussi sérieux dans ton article tout en balançant ce genre de clichés dès les premières lignes ? Des parents qui flippent car leur fils sort dans la rue, notamment le soir, je peux t'en citer des caisses à commencer par ceux de mon chéri dont le profil n'a rien de celui d'une "victime" (1.86m / 85 kg / karatéka). A mon sens, même si le sexe/genre de l'enfant joue un rôle dans l'inquiétude des parents, c'est surtout la zone géographique de la sortie qui doit être prise en compte (entre autres critères).