K
Kurmad
Guest
J'ai l'impression que tu essayes de me convaincre que j'ai fait mes études dans un environnement sexiste, alors que non ! (Enfin pas plus que le monde ordinaire.)
Et je ne vois pas pourquoi ma comparaison entre les soirées sexistes et les soirées LoL n'est pas pertinente. C'est pas de la résilience du tout, la résilience c'est la capacité à se remettre d'une perturbation. Mais j'ai pas eu d'événement traumatique à absorber. C'est juste que je ne fréquentais pas les cercles sexistes, car il y en avait plein d'autres qui m'intéressaient plus. Les filles qui fréquentaient ces soirées le faisaient de leur plein gré, et il y avait tellement d'autres possibilités que je pense qu'elles n'y allaient pas la trouille au ventre.
Il y a peut-être des écoles où TOUS les événements sont ultra-sexistes mais ce n'était pas du tout le cas de la mienne.
L'administration de l'école n'organisait pas ces soirées donc je ne vois pas ce qu'ils ont à voir là-dedans.
Les soirées sexistes c'étaient des soirées privées hein, genre une très grande coloc qui faisait la fête et ça fini bourré en baisodrome.
Les événements qui rassemblaient toute l'école étaient organisées par une ou plusieurs assos. C'était gage d'une très bonne qualité d'organisation, et la sécurité des étudiants primait sur le reste. Je ne me suis jamais sentie en danger ni même trouvé qu'il y avait une ambiance sexiste à ces soirées, mais j'y allais peu pour d'autres raisons. En tout cas, si sexisme il y avait lors ce ces soirées, c'était des attitudes individuelles isolées et non pas un effet de groupe poussé par l'organisateur.
Par contre, une année il y a eu une dérive pendant l'intégration (qui n'était pas un bizutage, et non, je ne suis pas en train d'occulter mes souvenirs), là, la direction de l'école a réagit fermement. De la même manière que l'école était très impliquée dans la sécurité des étudiants dans la rue le soir (ville avec beaucoup d'agressions nocturnes).
En tout cas si une asso déconnait (ou des étudiants), l'administration ne laissait pas passer. Et là-dessus, je suis sincèrement persuadée que c'était beaucoup mieux contrôlé dans mon école d'ingé que dans la plupart des facs.
Je dirais plutôt que c'est pire en fac qu'en école : en fac, les promos sont très peuplées et il n'y a pas beaucoup de travail en petits groupes (au moins en L1). Ce qui veut dire que les événements de promo sont l'endroit le plus facile pour sociabiliser, donc la pression pour y aller est plus forte.
Et je ne vois pas pourquoi ma comparaison entre les soirées sexistes et les soirées LoL n'est pas pertinente. C'est pas de la résilience du tout, la résilience c'est la capacité à se remettre d'une perturbation. Mais j'ai pas eu d'événement traumatique à absorber. C'est juste que je ne fréquentais pas les cercles sexistes, car il y en avait plein d'autres qui m'intéressaient plus. Les filles qui fréquentaient ces soirées le faisaient de leur plein gré, et il y avait tellement d'autres possibilités que je pense qu'elles n'y allaient pas la trouille au ventre.
Il y a peut-être des écoles où TOUS les événements sont ultra-sexistes mais ce n'était pas du tout le cas de la mienne.
l me semble qu'à partir du moment où des soirées sont organisées dans le giron de certaines écoles, avec des thématiques sexistes... il y a quelque chose qui ressemble à un renoncement.
L'administration de l'école n'organisait pas ces soirées donc je ne vois pas ce qu'ils ont à voir là-dedans.
Les soirées sexistes c'étaient des soirées privées hein, genre une très grande coloc qui faisait la fête et ça fini bourré en baisodrome.
Les événements qui rassemblaient toute l'école étaient organisées par une ou plusieurs assos. C'était gage d'une très bonne qualité d'organisation, et la sécurité des étudiants primait sur le reste. Je ne me suis jamais sentie en danger ni même trouvé qu'il y avait une ambiance sexiste à ces soirées, mais j'y allais peu pour d'autres raisons. En tout cas, si sexisme il y avait lors ce ces soirées, c'était des attitudes individuelles isolées et non pas un effet de groupe poussé par l'organisateur.
Par contre, une année il y a eu une dérive pendant l'intégration (qui n'était pas un bizutage, et non, je ne suis pas en train d'occulter mes souvenirs), là, la direction de l'école a réagit fermement. De la même manière que l'école était très impliquée dans la sécurité des étudiants dans la rue le soir (ville avec beaucoup d'agressions nocturnes).
En tout cas si une asso déconnait (ou des étudiants), l'administration ne laissait pas passer. Et là-dessus, je suis sincèrement persuadée que c'était beaucoup mieux contrôlé dans mon école d'ingé que dans la plupart des facs.
D'ailleurs, ce genre de soirées existe aussi en univ, mais le fait qu'il y ait beaucoup de monde donne le sentiment (peut-être faux) que ces soirées ne sont pas directement cautionnées par la structure elle-même.
Je dirais plutôt que c'est pire en fac qu'en école : en fac, les promos sont très peuplées et il n'y a pas beaucoup de travail en petits groupes (au moins en L1). Ce qui veut dire que les événements de promo sont l'endroit le plus facile pour sociabiliser, donc la pression pour y aller est plus forte.