Mouais.
On peut se raconter ce qu'on veut.
"Faut s'accepter comme on est", "la chirurgie c'est dangereux", "on est victimes de la société"... je suis d'accord avec tout ça dans le fond. Après il y a la vraie vie, dans le vrai monde, et il faut se lever le matin, tous les jours, avec ce corps qui ne nous plaît pas, qu'on soit victime de la pression sociale ou pas.
Je me suis fait opérer il y a trois ans, le 7 novembre 2011 très exactement, et depuis à peu près deux ans je n'y pense plus. Je ne pense JAMAIS à mes seins, c'est fou. Je me trouve jolie, pas spécialement à cause d'eux vu que j'y pense plus et en même temps grâce à eux puisque je ne les vois plus comme le gros défaut au milieu, mais je me trouve enfin jolie grâce à tout le reste, qui est mis en valeur, que je peux enfin voir librement.
Bref, je vis.
On peut se raconter ce qu'on veut.
"Faut s'accepter comme on est", "la chirurgie c'est dangereux", "on est victimes de la société"... je suis d'accord avec tout ça dans le fond. Après il y a la vraie vie, dans le vrai monde, et il faut se lever le matin, tous les jours, avec ce corps qui ne nous plaît pas, qu'on soit victime de la pression sociale ou pas.
Je me suis fait opérer il y a trois ans, le 7 novembre 2011 très exactement, et depuis à peu près deux ans je n'y pense plus. Je ne pense JAMAIS à mes seins, c'est fou. Je me trouve jolie, pas spécialement à cause d'eux vu que j'y pense plus et en même temps grâce à eux puisque je ne les vois plus comme le gros défaut au milieu, mais je me trouve enfin jolie grâce à tout le reste, qui est mis en valeur, que je peux enfin voir librement.
Bref, je vis.