@Horion
Je pense que de demander de la transparence à son partenaire sur la manière de vivre la relation n'est pas déconnant. Si on n'est pas monogame, autant être clair sur le sujet depuis le début pour que l'autre personne puisse faire les choix qui lui semblent adéquats. Évidemment, on peut développer une attraction pour une personne avec le temps, mais de nouveau faire preuve de transparence pour moi c'est une marque de respect envers l'autre. Très souvent les personnes qui trompent leur partenaire exigent malgré tout que l'autre soit fidèle. Elles veulent certaines libertés qu'elles ne sont pas prête à concéder à l'autre. Et parfois c'est aussi par peur de se faire quitter si elle exprimait leurs envies à leur partenaire. Mais dans tout les cas, le mensonge sert surtout à empêcher l'autre de pouvoir choisir ce qui lui convient. Je suis d'accord que fouiller dans le téléphone de son partenaire c'est la marque d'un malaise dans la relation. Mais je pense que pour la personne qui suspecte quelque chose et se heurte à l'absence de volonté de communication de leur partenaire, parfois fouiller dans les affaires de leurs partenaires est le dernier ressort qui leur reste pour crever l'abcès. La jalousie maladie à cause d'un manque de confiance en soi est très souvent utilisé comme moyen d'accuser celui ou celle qui se pose des questions légitimes et de le/la manipuler et le/la culpabiliser.
D'ailleurs, je pense ce qui porte confusion dans la discussion autour de cet article, c'est que certains imaginent la situation où l'un des partenaires fouille le téléphone juste "comme ça" alors que les personnes qui sont venues décrire leur expérience explique bien qu'elles l'ont fait parce qu'elles se retrouvaient au pied du mur. On peut être autant conciliant que possible, tenter de dialoguer avec l'autre, être ouvert sur le sujet mais quand on fait face à un mur et qu'en plus (dans mon cas par exemple) on se fait traiter de parano alors que l'on voit bien que quelque chose ne va pas, il ne reste souvent que de confronter l'autre devant des faits irréfutables.
Je pense que de demander de la transparence à son partenaire sur la manière de vivre la relation n'est pas déconnant. Si on n'est pas monogame, autant être clair sur le sujet depuis le début pour que l'autre personne puisse faire les choix qui lui semblent adéquats. Évidemment, on peut développer une attraction pour une personne avec le temps, mais de nouveau faire preuve de transparence pour moi c'est une marque de respect envers l'autre. Très souvent les personnes qui trompent leur partenaire exigent malgré tout que l'autre soit fidèle. Elles veulent certaines libertés qu'elles ne sont pas prête à concéder à l'autre. Et parfois c'est aussi par peur de se faire quitter si elle exprimait leurs envies à leur partenaire. Mais dans tout les cas, le mensonge sert surtout à empêcher l'autre de pouvoir choisir ce qui lui convient. Je suis d'accord que fouiller dans le téléphone de son partenaire c'est la marque d'un malaise dans la relation. Mais je pense que pour la personne qui suspecte quelque chose et se heurte à l'absence de volonté de communication de leur partenaire, parfois fouiller dans les affaires de leurs partenaires est le dernier ressort qui leur reste pour crever l'abcès. La jalousie maladie à cause d'un manque de confiance en soi est très souvent utilisé comme moyen d'accuser celui ou celle qui se pose des questions légitimes et de le/la manipuler et le/la culpabiliser.
D'ailleurs, je pense ce qui porte confusion dans la discussion autour de cet article, c'est que certains imaginent la situation où l'un des partenaires fouille le téléphone juste "comme ça" alors que les personnes qui sont venues décrire leur expérience explique bien qu'elles l'ont fait parce qu'elles se retrouvaient au pied du mur. On peut être autant conciliant que possible, tenter de dialoguer avec l'autre, être ouvert sur le sujet mais quand on fait face à un mur et qu'en plus (dans mon cas par exemple) on se fait traiter de parano alors que l'on voit bien que quelque chose ne va pas, il ne reste souvent que de confronter l'autre devant des faits irréfutables.