C'est un article qui me rappelle étrangement des discussions que j'ai pu avoir avec mon copain. Notamment avec les fameuses phases "déménagement". Mon copain me disait "Pourquoi tu vas à leur déménagement ? Est-ce que, eux, viendraient au tien ?" Un mini-doute s'installe. De ma nature enjouée, je réponds que j'ai juste envie passer moment sympa et de rendre service à des gens que j'aime bien.
Ces gens que j'aime bien, j'ai passé des années dingues avec eux, définitivement les meilleurs ! J'aime prendre des nouvelles, mais parfois, on ne sent pas de réciprocité, alors forcément, ce genre de relation s'amenuise et on s'éloigne car on pense qu'on ne compte pas... Et on reste "bon pote". Quand on se revoit, on passe toujours d'aussi bons moments mais eux ont aussi leur vie, d'autres gens avec qui ils passent plus de temps.
Life goes on. Ça ne me rend pas triste non plus.
Du coup, je crois que je vois comme "ami" une personne extrêmement proche, qu'on voit souvent, ou à qui on parle souvent, à qui l'on confie tout sans pudeur, quelqu'un sur qui l'on peut compter en cas de coup dur, qui se déplacerait à n'importe quelle heure de la nuit du jour, qui ferait des trucs fous pour nous (ma vision est-elle en fait une sorte de cliché cinématographie ?). Pas vraiment, car il y a des gens qui ont su me surprendre et qui me donnent envie de faire pareil avec eux
Il y a donc autour de moi des potes, et des SUPERS POTES
, 3 ou 4 au total je crois, tous des garçons avec qui j'aime être, parler, dire des bêtises, sortir, se confier (mais pas trop). Et qui si je lance une invitation, feront tout leur possible pour répondre OUI !
SUPERS POTES
par qu'on a des affinités aussi, une même longueur d'ondes, des délires et atmosphère chaleureuse. Et ça ce n'est clairement pas pareil avec "les potes" (rien que le fait d'hésiter sur 3 ou 4 ça m'énerve ! ^^").
Quand Amélie dit "
J’ai rencontré mon copain, qui est mon seul et unique ami." Je me retrouve beaucoup dans cette phrase au final. Et lui c'est le meilleur