J'ai testé pour vous... être dépressive

17 Août 2016
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besançon
je viens de tomber sur cette article. et je suis dans ce cas je suis depressive chronique. je me suis en + fais larguer (enfin abandonner serai le bon terme) le jours de mon anniversaire alors que mon sois diant mec me jurais qu'il m'aimait etc. j'ai une amie a qui j'en parle mais j'ai l'impression que je la soule et qu'elle préfère sa vie avec ces amies qu'elle ne me présente pas (jamais invité a une soirée rien).
j'ai meme contacté sos amitié qui me dise d'aller marcher pour me vider la tete (lol je marche déjà assez quand je sort mon chien pdt des heures)
j'ai bientot rdv avec mon psychiatre pour reprendre une térapie mais je sais pas comment tenir jusque là...... j'ai l'impression que ca va jamais finir et que je vais finir seule bouffé par mes chats mon chien et mon lapin quand j'essaye d'en parler autour de moi on prend ça comme quelques chose de pas grave paske bah en société je fais en sorte de paraitre aller bien du coup on me crois pas forcément quand je dit que je vais mal et on comprend pas surtout....
enfin bon tout ça pour dire que l'article ma bcp parlé et que je comprend le point de vue l'auteur et que je me pose les meme genre de question.
et je voulais savoir ou en étais l'auteur a l'heure d'aujourdhui psychologiquement?

cordialement une licorne qui en réalité est un cheval avec un postiche ....
 
6 Octobre 2016
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La dépression avec des hauts et des bas ça me connait. Je suis comme ça depuis mes 12 ans ; suite à de violents chocs émotionnels traumatiques qui m'ont fait refouler tout ce qui précédait. Jusqu'à mes 19 ans, on m'a dit que j'étais "une marmotte", que j'étais "d'un naturel anxieux", que je devrais apprendre à relativiser. Bah tiens, va dire ça à une personne dépressive.
En clair, je dormais beaucoup la journée, et j'étais incapable de dormir après 3 heures du matin. Je n'avais pas d'appétit, ma croissance était en ralenti, je pleurais sans arrêt pour pas grand chose. Je ne supportais pas la présence des autres.
Je n'ai pas vécu une adolescence normale, je ne suis pas sortie, je ne me suis pas faite pleins d'amis ; je suis restée sous ma couette avec des livres pour m'évader. J'ai continué comme ça jusqu'en terminale, à parfois penser au pire, à parfois me faire mal pour ne plus ressentir la douleur morale.
Et puis en terminale, avec le bac, c'est devenu l'horreur, j'avais un mal fou à sortir, je ne voulais plus lire, je restais en boule contre mon radiateur et je pleurais. Qu'est-ce que je pouvais pleurer !
J'ai eu mon bac quand même, et je suis entrée à la fac. Là, les trajets (longs et de nuit le plus souvent) ont fait remonter mon enfance, et j'ai commencé à être malade, très malade. Je vomissais toutes les nuits, j'avais de violentes diarrhées, je m'évanouissais très souvent à l'évocation de certains sujets, j'étais incapable d'aller à la fac. C'était hors de portée. J'ai tenté de mettre fin à mon calvaire avec des médicaments, ma mère m'a fait vomir et j'ai passé la nuit à l'hôpital à pleurer. A force de me voir comme ça, malade chaque nuit et pleurant la journée, mes proches et mon médecin ont fini par penser que je devrais voir une psychologue. Et c'est devenu mon phare. Deux fois par semaine, je sortais de bon coeur pour aller voir ma psy, et je me vidais ; j'avais vraiment cette impression de me vider de quelque chose qui avait besoin de sortir, de déborder, et qui m'épuisait à rester bloqué depuis tant d'années. C'était bon, je me sentais bien.
Je suis retournée à la fac l'année suivante, dans une chambre étudiante sur place pour m'éviter les trajets. Mais la solitude, le silence, l'éloignement, tout ça était tellement oppressant que je suis passée à l'acte : j'ai avalé une boite de somnifères. Et puis j'ai appelé ma mère. Elle est arrivée au bout de 45min (je me rend compte à quel point c'était dangereux maintenant) et m'a conduite à l'hôpital de nouveau. Ils m'ont menacé d'internement. Je suis rentrée chez moi, avec mes affaires et mes projets d'université remis à nouveau.
Cette fois, je suis allée voir un psychiatre, d'abord une qui m'a aidé quelques mois avant de me sevrer brutalement (et paf, hôpital), et puis l'an dernier, j'ai emménagé avec mon compagnon et j'ai trouvé un nouveau psychiatre. J'ai commencé un traitement lourd, j'ai revécu mon enfance, je n'ai pas dormi pendant des mois, puis j'ai été accro aux somnifères (un calvaire pour s'en défaire).
Aujourd'hui je suis en deuxième année de licence, et si parfois j'ai le moral un peu maussade, je vais tellement mieux que c'est un miracle. Je n'ai plus d'émotions ou presque, je suis neutre, ni heureuse ni malheureuse. Mais je ne suis plus malade, je fais des études, et j'ai même une amie.
Je ne dors toujours pas entre 3h et 4h du matin, et j'ai toujours peur d'être dehors de nuit, mais au moins je m'en sors !
Je ne ressens pas grand chose, mais eh, c'est beaucoup mieux comme ça.
 
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Réactions : Denverland
2 Août 2015
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J'arrive un peu tard après l'écriture de cet article mais il me parle puisque je suis sous antidépresseurs depuis un peu plus de six mois. J'ai a priori un trouble anxieux généralisé (ce qui est beaucoup moins grave qu'il n'y parait :happy:) et je suis en train d'arrêter les médicaments progressivement. Personnellement ils m'ont beaucoup aidé et ne m'ont pas fait d'effets secondaires. Du coup je n'en ai plus peur comme avant, je me dis qu'ils permettent de nous aider quand ça va pas et qu'on ne peut pas faire sans, mais ça doit être encadré par un psychiatre et provisoire.

Je pense qu'il ne faut pas raisonner en termes de fatalité, mai plutôt envisager toutes les solutions qui existent :
- discuter avec un psychologue (comme le dit yayi, il faut surement trouver le bon psy),
L'important est de trouver le bon psy. Je ne peux te conseiller qu'une chose : trouve le thérapeute avec lequel tu te sentira à l'aise : tu le saura tout de suite car quand on trouve le bon une simple séance avec permet de tenir toute la semaine (et sans médicament).
- prendre des médicaments (qui servent surtout de béquille pour régler le problème de fond),
- utiliser des méthodes de relaxation comme la sophrologie ou la TRE, qui est mondialement reconnue.
Personnellement j'ai l'impression que ce qui m'aide en ce moment c'est de trouver des petits plaisirs que je cultive : faire de la pâtisserie, prendre soin de soi, lire un bon livre, voir ses proches... Être entouré est important.

Ne vous sentez pas coupables et ne vous dites pas qu' "après tout, vous n'avez pas de raison d'être triste", soyez indulgentes avec vous-mêmes (j'ai tendance à m'autoflageller de me sentir mal alors que tout va bien dans ma vie). Et quelque chose qui m'a beaucoup aidée est de comprendre que ce qu'on traverse existe réellement : c'est comme quelqu'un qui a des douleurs aux articulations par exemple, sauf que pour nous c'est notre esprit qui a mal. On a la même légitimité que quelqu'un qui a mal physiquement.

Bon courage à toutes les madmoiZelles qui traverse cette période difficile, ne restez pas seules dans cette situation, allez voir un médecin, un psychologue, et parlez-en à des proches de confiance! :)
 
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Réactions : Nastja
2 Octobre 2014
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lecinemasurlesofa.wordpress.com
Dépression, problème d'hormones, lunatisme... comment mettre les bons mots sur un état ?

Il y a des journées où tout va pour le mieux. Ou je souris, je me sens tout simplement bien. Et puis le lendemain, sans raison, je me lève pleine d'angoisses, de stress, je n'arrive pas à sourire, je me sens fatiguée, mélancolique, morose, sans motivation. Je culpabilise car mes proches encaissent ces changements d'humeur. Ça me donne l'impression d'être un boulet.
Je n'arrive pas à comprendre. Est-ce que c'est chimique ? Est-ce que c'est moi qui suis hyper sensible ? Quelqu'un connaît ça ? #help
 
16 Août 2011
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metz
Ayant fait une grosse dépression, je n aime pas le titre qui fait l amalgame dépression/dépressif 2 choses complètement différentes mais que les gens ne comprennent pas en général ou très mal.
L un est une maladie, l autre un état.
Sinon on en guérit. J en suis guéri!!! Et même si j'ai qq fois des coups de déprime, je sais que je ne tomberais plus malade :)
Mon témoignage: https://lamarie84.wordpress.com/2011/08/12/une-maladie-qui-ne-se-voit-pas/
 
25 Novembre 2013
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Coucou les Madz, :)
Je viens de regarder un documentaire intéressant concernant les dernières découvertes sur la dépression, une piste très intéressante qui commence à être creusée sérieusement est l'inflammation. Il y aurait un lien avec le système immunitaire (et l'intestin). Le replay d'Arte est ici, disponible jusqu'en juillet apparemment ! https://www.arte.tv/guide/fr/063624-000-A/depression-de-nouveaux-espoirs/amp

Ça donne de l'espoir, et on se sent moins seul je trouve...

Pour ma part, je souffre de dépression masquée, j'ai longtemps été dans le déni et je cherchais une cause autre à mes maux (trouble du sommeil ? Carences ? Maladie de Lyme ? etc...) Paradoxalement, beaucoup de médecins ont voulu me prescrire des antidépresseurs, que je n'ai pas pris, mais aujourd'hui que je me sens vraiment mal, et bien la psychiatre qui me suit refuse de me prescrire quoi que ce soit
En tout cas, sachez qu'on peut avoir un bon suivi (gratuit !!) au Centre Médico Psychologique de notre ville. J'ai d'abord eu rdv avec une infirmière, et je vois un psychologue chaque semaine, ainsi qu'une psychiatre une fois par mois ou plus si besoin. C'est top, car je n'ai absolument pas les moyens de me payer des consultations avec un psy dans un cabinet privé.
Ne lâchez rien les filles, et ne jugez pas trop vite votre psy, c'est souvent inconfortable surtout au début, et on a tendance à rejeter cette personne qui nous pousse dans nos retranchements en nous faisant parler des choses qui fâchent, mais il faut s'accrocher. (celui que je vois au CMP est très bien, mais au début il ne me plaisait pas :P il m'a d'ailleurs fait remarquer que si j'avais vu plusieurs psy avant lui, ce n'était pas parce que ça n'avait "pas accroché", mais peut-être parce que je n'arrivais pas à m'engager dans ce travail thérapeutique)
 
19 Juin 2015
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Paris !
La dépression n'est pas "que dans la tête" dans le sens où c'est une baise des hormones très importantes dans le cerveau qui nous rend comme ça. C'est le corps qui ne fonctionne pas correctement, c'est un "défaut". Le fait de prendre ces médicaments permettent de relever ces niveaux d'hormones et de pouvoir vivre de façon plus agréable. C'est comme quelqu'un qui prend des médicaments contre l'hypertension par exemple, 'fin le but est le même. Après il y a les dépressions causées suite à des traumatismes, qui ont tendance à se corriger après du temps, et les dépressions liées à notre génétique.

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3 Novembre 2012
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Hello à tous !

Ce petit commentaire juste pour dire que je comprends très bien ce que tu ressens. Je ne prétends pas détenir la solution miracle, mais ce que je vais dire a vraiment fonctionné à merveille sur moi du coup je me suis dit que ça pourrait être cool de partager mon expérience. Ma solution c'est .... le sport. oui je sais fuck. (Mais j'ai fait des recherches ensuite et constaté que je n'étais pas la seule pour qui ça avait fonctionné: Googlez "sport" et "depression" ;) ) Vraiment faire une demi heure d'exercice au moins 3 fois par semaine et s'y tenir. Vous verrez au bout de 3 semaines / 1 mois, c'est magique au niveau de l'humeur ! On se sent revivre. Moi j'ai commencé tout doux 3 à 4 fois par semaine avec un appli de Yoga qui s'appelle Asana Rebel. J'en parle parce qu'elle est vraiment bien fichue et adaptée pour les gens pas très sportifs comme moi héhé. (par contre c'est 40euros l'année pour avoir accès aux programmes) Mais il doit certainement avoir des programmes disponible en ligne gratuitement. De temps en temps j'allais courir 10-15minutes, je n'aurai jamais pensé que ça puisse avoir, à terme, un si grand bienfait sur mon humeur.

Si cela ne suffit pas, c'est tout bête mais il faut aussi regarder si rien ne cloche du côté de l'alimentation. Comme vous le savez, nos intestins sont notre 2ème cerveau, s'ils sont malmenés, ils ne transmettent plus les bons neuromédiateurs. A la clé : fatigue chronique, déprime saisonnière, variations d’humeur, fragilité émotionnelle... :/

Je précise que j'étais déjà sortie d'une phase pas cool grâce au sport et que j'avais replongé en arrêtant (comme je me sentais bien, je me disais cool pas besoin que je continue le sport ahah) si bien que maintenant j'ai vraiment intégré la règle des 30min de sport 3 fois par semaine dans ma routine. Je préfère ça aux AD.

Ce sont vraiment des conseils bateau que je donne mais pour moi c'est la clé pour s'en sortir. Et inutile de se donner de gros challenges qui ne pourront être tenus (trop d'exercices, trop de restrictions alimentaires) et qui vous remettront le moral à zéro. Privilégiez l'eau et les aliments non transformés, évitez la junk food... ne voyez pas tout blanc ou tout noir, si vous ratez le sport une semaine ou mangez très mal sur un ou deux jours, ne vous dites pas comme j'ai pu le faire auparavant "tant pis, je n'y arrive pas j'arrête", reprenez le jour ou la semaine suivante :d Tout ça finira par devenir une routine et non seulement vous vous sentirez bien dans votre tête mais aussi dans votre corps et les 2 sont liés !

Allez bon courage à tous, et ne vous inquiétez pas, la dépression ce n'est pas une fatalité, c'est juste votre corps qui vous signale que quelque chose cloche sur un instant T. Le futur vous appartient. Si cette solution ne fonctionne pas sur vous, peut-être que votre dépression est causée par un ou des évènements externes. Dans tous les cas je trouve ça vraiment bien de se rebooster par le sport, on se sent plus fort et confiant pour fixer ensuite ce qui ne va pas autour de nous. ;)
 
Dernière édition :
14 Mai 2016
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Dépression, problème d'hormones, lunatisme... comment mettre les bons mots sur un état ?

Il y a des journées où tout va pour le mieux. Ou je souris, je me sens tout simplement bien. Et puis le lendemain, sans raison, je me lève pleine d'angoisses, de stress, je n'arrive pas à sourire, je me sens fatiguée, mélancolique, morose, sans motivation. Je culpabilise car mes proches encaissent ces changements d'humeur. Ça me donne l'impression d'être un boulet.
Je n'arrive pas à comprendre. Est-ce que c'est chimique ? Est-ce que c'est moi qui suis hyper sensible ? Quelqu'un connaît ça ? #help

Hello, je ne sais pas si quelqu'un t'as répondu!
Cela m'évoque de la cyclothymie (pour toi ça serait sur un cycle plutôt hebdomadaire, des fois c'est sur une meme journée) ou de la bipolarité (=maniaco-dépressive)
En espérant que tu ais trouvé réponse bien avant moi! :)
 
9 Février 2017
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Moi je ne suis pas dépressive (enfin je ne pense pas) mais j'ai des crises d'angoisse/attaques de panique chroniques et qui durent depuis 14 ans maintenant... Je n'arrive pas à m'en sortir, des fois je vais mieux mais après elles reviennent et plus le temps passe, plus elles s'aggravent... Je suis allée dans un CMP en novembre dernier, et depuis je suis suivie. Mais ce qui m'agace, c'est qu'à chaque visite chez le médecin il essaie de me faire prendre des anti-depresseurs alors que je ne le souhaite pas (et que j'ai déjà des anxiolytiques). Et comme j'essaie au maximum de m'en sortir sans médicaments, il considère que je ne vais pas si mal que ça... C'est vraiment énervant, parce que certes les médicaments aident, il ne faut pas le nier, mais je préfère guérir par une psychothérapie par exemple. Moi aussi j'ai peur des médicaments, je trouve qu'on en devient vite dépendant.
En tout cas, courage à toutes les personnes qui traversent des moments difficiles, vous avez une grande force en vous que vous ne soupçonnez probablement pas pour le moment, mais elle va vous permettre de vous en sortir!
 
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Réactions : UndoMiel333
2 Octobre 2014
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lecinemasurlesofa.wordpress.com
@Sulfura Je viens de voir la définition de la cyclothymique sur internet. Et oui, je me sens plutôt concernée. Pas assez "dépressive" ou "euphorique" pour être bipolaire, mais assez instable pour rentrer dans cette définition. Ceci dit, je me vois pas mal aller chez le médecin pour lui parler de ça :rolleyes:

De plus, je ne sais pas si c'est lié, mais je suis incapable de faire des choix dans la vie. Ce qui me mine, empire ma morosité et mon stress.

Et en ce qui te concerne ? :calin:
 
14 Mai 2016
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@Patrickbateman Les médecins généraliste sont en général tres pommé quand tu viens leur parler de chose comme ça. Pour ma part, j'ai fait une dépression "modéré" il y a 2-3 ans, j'ai suivi une thérapie durant 1ans 1/2. Durant cette dépression ma psy et moi avons remarqué que j'avais des cycles de 3-4jours où j'étais mal, à bout et d'autres où j'arrivais à survivre et au moins suivre le cours d'une journée normal. Maintenant tout va bien :) mais j'ai toujours un cycle d'humeur qui change environ tous les deux semaines. Je passe d'un état normal à une dépression légère, tout se ralentit et s'englue dans mon cerveau, je suis génralement plus triste, angoissée et/ou irritable. Mes prises de décisions sont moindres, j'ai qq pensées suicidaire qui passent. Je mange plus, je dors moins bien. MAIS je sais que ce n'est que passager, j'ai plein de petites techniques pour ne pas que ça me bouffe trop le quotidien, que ça n'empire ou dure trop longtemps.

Pour la prise de décesion c'est tout à fait lié! Par exemple, lors de mon épisode grosse déprime, j'étais incapable de savoir si je voulais prendre le train de 17h ou 18h, si je voulais un morceau de gateau à la poire ou à la mirtille. Des trucs tellement insignifiants mettaient mon cerveau en état de dilemme du siècle.

Niveau soins, outre le medecin gé, tu peux aller voir un psychiatre, mais ça veut dire qu'il est probable qu'il te propose un traitement médicamenteux avec la thérapie. (Pas toujours mais il y en a qui ont la main lourde). Sinon psychologue, que tu trouves en cabinet privée (payant) ou dans un centre médico psychologique de ton canton. (Je crois bien que c'est gratuit.)

Voilààà un gros pavé! :d Prends soin de toi surtout, et c'est déjà super que tu ais remarqué des changements et que tu puisses mettre un mot dessus, je t'encourage à approfondir.
Perso j'en étais incapable, j'ai du bcp y travailler.
 

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