J'ai testé pour vous... être intellectuellement précoce

V

versus

Guest
Ce qui est décrit ressemble plus aux inconvénients de l'hypersensibilité que de l'intelligence élevée. Un haut QI va souvent de pair avec une forte sensibilité, et c'est surtout ça qui est pénible.

J'ai un QI moyen et j'ai découvert récemment que la plupart de mes amis les plus proches étaient surdoués. On se comprend, on a eu à peu près la même enfance, beaucoup de choses décrites ici, par le fait de cette sensibilité, malgré notre différence d'intelligence, qui apparemment, ne les gène pas du tout (ou alors il font bien semblant :XD: )

C 'est ma meilleure amie, qui a un QI élevé, qui m'a sociabilisée... Elle était nettement mieux intégrée que moi. Elle m'a pratiquement prise sous son aile. Elle est la première amie intime que j'ai eue - à 22 ans...

Ce qui est amusant, c'est le terme "extra-terrestre" utilisé dans cet article. Entre nous on parle des "antennes" : on aimerait qu'une certaine "catégorie de personne" (dur à décrire) aient des antennes sur la tête, pour se reconnaître entre nous et bénéficier des joies du partage entre personnes ayant des façons de voir le monde très différentes, mais cette sorte de connivence dans la perception du monde et la manie de l'introspection qui facilitent tant les échanges, paradoxalement.

Qu'on le veuille ou non, le terme "surdoué" est toujours mélioratif, même quand on rejette cette connotation. Tandis qu'"hypersensible" fait plutôt penser à une chochotte qui pleurniche tout le temps... Ce doit être plus facile de dire - et de se dire - qu'on est différent parce qu'on est surdoué, plutôt qu'hypersensible.
 
P

pollie-petit-pois

Guest
Franchement, ça me fait un bien fou de lire ce genre d'articles. J'aurai pu écrire mot pour mot ce que tu racontes. Pour moi, le plus difficile à vivre ne fut pas à cause de mes camarades (je dirai même que c'est tout le contraire bizarrement) mais la réaction des adultes. Comment peut-on ne pas aimer l'école alors qu'on a tout le temps 20 de moyenne ? Une instit' avait même dit à ma mère que je ruinais la scolarité de mon petit frère car s'il n'y arrivait pas, c'est qu'il ne se donnait pas la peine de faire quelque chose que j'avais déjà fait de toute façon mieux et plus rapidement que lui ... Ouais ouais ... Et si tout simplement, il n'était pas bon à l'école et que son type d'intelligence se trouvait ailleurs ? Enfin bref , heureusement pour lui, il a trouvé sa voie ... La scolarité du CE1 (en CP c'est plutôt pas mal car il n'y a que des découvertes) jusqu'en terminale, c'est d'un ennui mortel.

Et encore aujourd'hui, c'est difficile à vivre. Comprendre tout et tout de suite, faire moult choses à la fois ... Que d'avantages ! Oui mais non. Quand je dois répéter 4 ou 5 fois quelque chose à mon copain/ma mère/le facteur, pour qu'ils commencent à comprendre, c'est juste fatiguant ! Et je m'énerve. Je trouve les gens lents et mous. Et je prends sur moi autant que faire se peut mais il faut toujours s'adapter aux autres. Le mal-être est quotidien. Je sais que ça peut prêter à sourire comme les filles qui disent souffrir car elles sont trop belles mais la vérité est là, être précoce, c'est être différent et il faut savoir s'adapter à la moyenne des gens.

Ce que je regrette aussi, c'est de voir qu'encore de nos jours, on fait énormément pour les élèves en échec scolaire, on ne parle que d'eux et le niveau des classes (en primaire du moins à mon époque pourtant pas si lointaine) est nivelé vers le bas car on doit attendre ceux qui réussissent le moins. Mais on ne parle jamais de la souffrance qui est réelle d'aller à l'école pour y rester assis et attendre que le temps passe. Souvent l'enfant précoce et celui qui sera en échec scolaire auront les mêmes comportements insolents et ne faisant plus rien à l'école à cause d'un ennui profond. C'est pour cela qu'on se rend compte parfois qu'un enfant qu'on classait chez les cancres se révèle être un enfant précoce. Je ne connais pas assez le système scolaire de 2012 pour savoir si cela a changé ou pas. J'espère juste que les professeurs des écoles ont plus de moyens pour aider un enfant précoce à aller de l'avant et à s'épanouir.
 
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Réactions : Gwenmari
19 Novembre 2011
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Bourg la Reine
Merci pour cet article.
Je n'ai jamais eu de soucis en primaire et au collège car j'étais en classe horaires aménagés musique. J'allais à l'école le matin et au conservatoire l'après-midi. Cela m'a permis de ne pas trop m'ennuyer en cours, vu que c'était du condensé.
Pour ce qui est du rapport aux autres, je me suis retrouvée isolée des autres élèves uniquement parce que j'étais en CHAM, nous étions tous les "intellos", donc nous faisions front :)
Au lycée, j'ai adopté l'attitude de caméléon dont parle l'article. Cela m'a permis de m'intégrer. Limite, c'est plus maintenant que les gens ont du mal à comprendre. j'ai 31 ans et je saute d'une idée à l'autre en permanence et surtout je "passe en un éclair du « moi-très mature », qui a un argumentaire solide et pertinent, au « moi-bébé » qui rit de calembours stupides et a un comportement enfantin", comme le dit si bien l'article.
Mon homme a du mal à comprendre, je pense qu'il s'imagine que j'en fais exprès, ou que c'est un jeu, mais ça fait partie de moi.
 

Xad

19 Avril 2006
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68
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Bruxelles
Pollie Petit Pois;3540703 a dit :
Et encore aujourd'hui, c'est difficile à vivre. Comprendre tout et tout de suite, faire moult choses à la fois ... Que d'avantages ! Oui mais non. Quand je dois répéter 4 ou 5 fois quelque chose à mon copain/ma mère/le facteur, pour qu'ils commencent à comprendre, c'est juste fatiguant ! Et je m'énerve. Je trouve les gens lents et mous. Et je prends sur moi autant que faire se peut mais il faut toujours s'adapter aux autres.
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Exactement...

Et aussi : je ne comprends pas ... par exemple au boulot, mes collègues ont TOUJOURS les mêmes sujets de conversation. Ca revient tous les 3-6 mois... Les mêmes blagues, les mêmes remarques débiles, les mêmes oeillères. J'ai l'impression d'être la seule à me souvenir que tout ça a déjà été dit (pire encore quand une personne soutient une idée un jour et le contraire 2 jours, 2 semaines ou 2 mois après, le tout avec autant de fougue dans un cas comme dans l'autre). Ou que le raisonnement est stupide...
J'ai fini par ne plus rien dire et ne plus chercher à m'intégrer. Mais ça fait mal quand même.
 
Je me retrouve beaucoup dans cet article mais je n'ai jamais passé de test de QI parce que j'ai peur d'avoir une intelligence "normale" et ainsi ne pas avoir de "prétexte" pour me sentir comme la Madz de cet article. J'ai eu des décrochages dans certaines matières au lycée ( les maths et les sciences) car le programme ne m'intéressait pas et/ou qu'on allait trop lentement alors qu'en langues ou lettres , j'étais toujours en tête de liste car on devait en permanence réfléchir. Pour le coup de répéter des choses qu'on pense "faciles" , je connais ça tous les jours. Heureusement , j'ai réussi à me faire quelques ami(e)s et pas mal ont très intelligents ... et aussi Pinkie Piesques que moi parfois !

Mais où fait-on un test de QI et est-ce que c'est payant? (Juste pour savoir)
 
25 Janvier 2009
157
43
1 609
Linselle
Merci. Merci beaucoup, parce que je suis AIP. Détectée tôt et pourtant la plupart des gens ne comprennent pas qu'être intellectuellement précoce c'est pas "réussir tout". J'ai plus de soucis que la plupart de mes potes qui ne comprennent pas leurs cours mais l’apprennent par coeur. Parce que j'ai besoin de le comprendre. J'ai été décalé par rapport à eux, j'aimais pas sortir.

Finalement, et c'est assez horrible, être en phase caméléon c'est top. Au moins, on me regarde plus de travers. Merci <3
 
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Réactions : Gwenmari
27 Décembre 2010
712
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3 874
Paris
gelle.co
Je me reconnais beaucoup dans cet article. Merci d'avoir partagé ton témoignage ! <3
En ce qui me concerne, ma mère a toujours refusé les demandes de tests de QI que les profs proposaient en primaire. Et je n'ai donc vu ni psy ni test de QI sous le nez. Je devais sauter 2 classes (lecture à 5ans, compter à 4 etc etc ...). Par contre j'ai toujours été sociable, mais à courte durée (j'étais très excessive et exclusive dans les sentiments portés aux autres et ça les faisait peur). Du coup, mon nombre de "réels" amis sont très limités (et à mon avis ils sont tous aussi bizarres que moi, et ils ont su m'apprivoiser !). L'hypersensibilité c'est tellement rude à vivre ! Compassion ultime !
Par contre, j'ai beaucoup compté sur mes capacités : du coup je ne foutais rien. Et aujourd'hui c'est la grande catastrophe mentale et j'essuie échec après échec.
Mais bon, après 3 ans (voir 4 ans cette année) de foirage de vie, je pense me reprendre en mains le plus vite possible.
Merci encore d'avoir mit en mots exactement ce qu'on peut ressentir !
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Extra-terrestres reprezentz !
 
15 Novembre 2008
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Paris
myschka.wordpress.com
Je me reconnais un peu dans l'article : ennui profond durant toute ma scolarité (j'ai pas révisé du tout pour mon bac et je l'ai eu avec mention, j'ai lâché la fac au bout d'un semestre parce que j'avais l'impression de ne rien apprendre, j'ai séché mes deux ans de BTS parce que là encore je n'ai rien appris...), impression au collège que beaucoup de gens autour de moi étaient des abrutis complets, raisonnements trop rapides et donc erreurs d'inattention (j'en fais encore au boulot, tant que j'apprends un nouveau truc c'est cool et je me débrouille bien, le souci c'est que j'apprends tellement vite qu'après je fais plus gaffe et j'ai envie de faire autre chose)...En fait j'ai été tellement dégoûtée des études que je me suis sûrement gâché pas mal d'opportunités.

Par contre j'ai appris super vite à faire le caméléon. Je m'en souviens très bien, c'était pendant mon premier cours de français en sixième, la prof voulait évaluer notre vitesse de lecture. On était censés lire un texte et lever la main dès qu'on l'avait fini. Je l'ai lu une première fois et j'ai vu que personne ne levait la main. Je me suis sentie un peu con alors j'ai relu une deuxième fois en me disant que j'avais peut-être pas fait attention à la consigne (vu que ça m'arrivait souvent en primaire). Toujours rien. Alors je l'ai lu encore une troisième fois, jusqu'à ce qu'un autre élève lève la main et que la prof le félicite pour sa rapidité. Là j'ai compris que ça allait être une trèèèèès longue année. Je m'étais pas trompée.

Du coup j'ai fait tout ce que j'ai pu pour avoir l'air normale, même si ça n'a pas trop bien marché, vu qu'au bout d'un trimestre tout le monde me considérait comme l'intello de l'école, ahah.

Au lycée ma technique s'est un peu améliorée, heureusement pour mon intégration, malheureusement pour les espoirs de mes parents de me voir faire de hautes études...

Ceci dit la plus grande peur de ma mère était d'avoir des filles surdouées, au point de nier peut-être le fait que bah ouais, y avait peut-être pas que la crise d'adolescence en jeu quand ma sœur et moi on se faisait virer de cours par des profs qui avaient du mal à nous gérer quand on avait terminé trois quarts d'heure avant tout le monde.

On va dire que sa chance (et la nôtre), c'est que j'étais plutôt sociable malgré ma timidité et que ma sœur a eu très vite une vraie vocation qui l'empêchée de se disperser, ce qui fait qu'on ne l'a pas trop mal vécu.

Mais oui, c'est quand même plus un handicap qu'autre chose. Il y a encore des jours où je me dis que tout ce qui m'arrive de bien, je ne le mérite pas, parce que j'ai rien fait pour l'avoir (ou alors que c'était trop facile, qu'il y a forcément une couille quelque part et que les gens vont finir par se rendre compte que je suis une usurpatrice - le complexe de l'imposteur, tout ça). D'ailleurs les seules fois où je suis vraiment fière de moi, c'est quand j'en ai bavé pour m'en sortir.

(non mais sinon ça va, je le vis bien)

Par contre je suis surprise, j'ai toujours cru qu'on était surdoué quand on dépassait les 150 de QI, du coup avec mes 140 je ne m'étais jamais rangée dans cette catégorie...
 
22 Mai 2012
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Caricature d'un surdoué.

Au collège et lycée :

Il s'isole parce qu'il se fait chier avec le commun des mortels, exactement comme la moitié du commun des mortels de son âge, mais tout sera toujours de la faute de sa "particularité". On remercie les profs, voir les parents, de leur avoir rentré dans la tête dès petits qu'ils étaient spéééciauuuux *0*.

Le surdoué en crise d'ado :

"Pour faire genre je suis normale, je vais agir stupidement, comme tous ces autres ploucs !"
Voilà notre merveille de la nature qui devient un ange déchu : Il se fond dans la masse (qu'il sous-estime) en se permettant de faire des conneries qu'un enfant moyen ne se permettrait pas et mate ses pauvres profs en les jugeant, ces connards n'ont qu'à lâcher la classe pour adopter SON rythme, après tout elle le mérite, c'est elle la meilleure. Ce que le jeune cake zappe à cause des "tu es plus mature que les autres" dont on l&#8217;honore, c'est qu'un comportement consciemment immonde de sa part est 10 fois moins pardonnable que de la part d'un gamin réellement débile et/ou plein de problèmes. Mais comme il est "plus intelligent", le surdoué craque son slip...

Le surdoué devenu adulte :

... et se souvient adulte : "Ohoho, c'est parce que j'étais super intelligente vous comprenez ? Je souffrais tellement ! Je n'avais pas encore rencontré de personnes brillantes de manière égale à moi, le reste c'était de la merde, alors j'étais siii malheureuse ! Le monde s'est toujours abattu sur moi ! En plus d'être trop maligne, j'ai vécu "into the wild" au milieu des débiles !"

Habitué de leur statut de "personne spéciale", ils se repèrent entre eux et entretiennent verbalement les fantasmes qui leur ont fait tenir le coup dans l'enfance : Ce sont des martiens, des caméléons (comme tout adulte fini qui a appris à s'adapter en société quoi), qui se distinguent entre eux, mais que les gens normaux ne peuvent détecter, car ils sont Normaux. Les surdoués seront toujours des êtres différents, mystérieux. ça les a fait morfler, mais ils entretiendront ça quand même. C'est leur parcours du combattant à eux, ils ne puisent leurs forces et leurs faiblesses que de leur points de QI en plus. Ils en sont convaincus.


Enfin, je me doute qu'il y a des exceptions, et je suis moins violente dans mes sentiments que je n'en ai l'air parce que je pense que ces gosses-là sont 10 fois plus formatés que les autres par leurs parents fiers et le système scolaire. Je ne trouve pas comme Pollie qu'il faudrait délaisser les ânes pour mieux s'occuper d'une minorité pareille, par contre quand je vois ce qu'on fait pour les surdoués (esprit de compétition aigu transmis dès le plus jeune âge "pour RENTABILISER les capacité"...), je vois bien qu'il y a encore du boulot. Et tout ce que je peste plus haut vient de là selon moi.

Mais alors du coup les surdoués que j'ai connus personnellement, c'était des vrais petites frappes capricieuses et égocentriques ! Ces gosses ne faisaient que réagir de manière à attirer l'attention. (... Mais ça les rendait insupportaaaableuaaaaaaaahhhhhh !!!!!)
 

yuu

25 Mars 2012
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vannes
Badidon. Je me reconnais dans l'article dans le sens où pareil, je me suis toujours sentie différente des autres, j'ai toujours eu cette hypersensibilité, et cette facilité dans les cours. Mais alors passer un test de QI j'ai toujours refusé parce que je trouvais ça débile et inutile. Je suis assez d'accord avec Touliette, c'est cette impression que j'ai en lisant certains commentaires. Personellement en maternelles j'apprenais tout plus vite et je passais pour quelqu'un d'un peu bizarre avec les questions que je posais mais j'avais de bonnes amies et je m'ennuyais pas. Puis j'ai sauté le CP et jusqu'au lycée je ne me suis plus jamais vraiment intégrée dans ma classe (j'étais dans une très petite école puis un très petit collège et un très petit lycée, avec toujours les mêmes gens dans ma classe que ceux qui m'avaient vu débarquer en ce1). Mais jamais je ne me suis sentie supérieure aux autres, jamais je les ai trouvé bêtes ou quoi. Je ne me suis pas non plus révoltée au collège, j'ai suivi une scolarité dans des école/collège/lycée un peu particuliers qui prônaient l'entraide au maximum et l'échange de connaissances. Du coup quand j'avais terminé mon travail j'aidais les autres et j'ai pas eu l'occasion de m'ennuyer plus que ça. En dehors des cours je n'avais pas besoin de réviser, donc une fois les trucs écrits faits, ca me laissait pas mal de temps pour lire, révasser, jouer, ... C'est à la fac que j'ai été confrontée pour la première fois au besoin de réviser (études de médecine) et c'est là que je me suis rendue compte que je déteste étudier. Mais pour l'instant ça continue à passer sans que je travaille de trop, je ne m'ennuie pas parce que l'étendue de ce qu'on a à apprendre est infinie, je rentre en sixième année, on verra bien comment ça se passe. Mais c'est vrai que j'ai toujours ce sentiment d'usurpation, qu'un jour ca se verra qu'au fond je connais pas tant que ca bien les chose et que je me rétamerai violemment. Et je compatis, l'hypersensibilité c'est vraiment très très très chiant et chronophage (et amiophage)
 
17 Juillet 2011
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Montreuil
Unravel;3540974 a dit :
Wahou, a vrai dire je suis un peu effrayée de lire que visiblement, tout ceux qui ne sont pas "précoces" ou "surdoués" apprennent leurs cours par coeur sans comprendre. Je veux dire, tout le monde à besoin de comprendre ce qu'il apprend, non? :/

(Je m'interroge parce que perso j'ai jamais été détectée surdouée ni rien, je ne pense pas l'être, j'ai appris à lire assez vite mais il faut dire que ma mère est prof de lettres, ça aide, et puis, j'ai toujours eu des facilités, oui j'ai eu 20 en maths jusqu'au lycée, et puis j'ai décroché quand je trouvais les cours trop lents pour moi mais... Je pense que c'est aussi du au niveau des cours, non? Les cours de collège et lycée sont là pour s'adapter au niveau des "plus faibles", il n'est donc pas étonnant qu'on soit très nombreux à les avoir trouvés lents...)

Difficile de te dire si tu es précoce ou pas, je dirais que si les élèves sérieux et travailleurs peuvent s'ennuyer en classe, vu qu'il y a des répétitions ;) Et oui il ne faut pas tomber dans la caricature, nombreux n'apprennent pas leurs cours par coeur sans comprendre.
Il faut faire attention à ne pas appliquer des préjugés idiots, surtout quand on a en a subit une tripoté ;)
 

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