J'ai testé pour vous... le syndrome de l'imposteur

22 Novembre 2013
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agapanthe7;4711612 a dit :
Symdrome vecu par 70% de la population ce n est pas une maladie non plus.

Non, mais ça peut prendre des proportions suffisamment importantes pour devenir pathologique et ça, on en parle moins !
 
20 Janvier 2013
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Ce que je trouve dommage avec ce genre d'articles (psycho, patho, troubles...) c'est qu'on peut penser que vous faites d'un cas une généralité. Dans l'article il est écrit que 70% des personnes seront touchées par ce syndrome. Je suis pas psychologue mais selon moi il y a syndrome de l'imposteur et syndrome de l'imposteur. Et quand on se renseigne sur le sujet, c'est plus 60 à 70 % des personnes douteraient, à un moment ou à un autre de leur carrière, de la réalité ou de la légitimité de leurs succès, rien à voir avec souffrir de ce syndrome de manière violente et permanente quoi.
Ouais je pense qu'on a tous eu un moment de notre vie (voir plusieurs) où on a perdu confiance en soi et où on se disait qu'on était naze et que le monde allait bien s'en rendre compte un jour et que de toute façon si on a réussi cet entretien c'est aussi grâce à une part de chance.
Mais j'ai connu une nana qui avait un syndrome de l'imposteur et ça n'avait rien avoir avec une perte de confiance. Elle n'avait même pas conscience du problème et elle était carrément persuadée que ses collègues de boulot (elle était en thèse) allait un jour la démasquer et se rendre compte qu'elle n'avait pas sa place ici et qu'elle n'avait "aucun talent". C'était assez dingue et elle le vivait très mal, elle m'avait vraiment marqué cette nana parce qu'elle donnait l'impression d'être au fond du trou. Pourtant elle aimait vraiment ce qu'elle faisait (ses études), mais elle avait carrément l'impression de rouler tout le monde et d'avoir réussi sur un coup de chance. Le plus dingue c'est qu'elle se rendait vraiment pas compte que quelque chose clochait.
Fin bref, cette situation l'a conduite à suivre une thérapie de groupe et une thérapie personnelle.

Alors du coup, je trouve ça hyper moyen de généraliser une pathologie ou un trouble et en plus de ne pas "encourager" à aller en parler un psychologue, cette personne qui s'y connait bien sur le sujet et qui a même fait des études pour pouvoir aider et comprendre les gens qui se posent des questions ou qui sont en galère à un moment donné.

Et puis, venons en aux commentaires... Comme dit plus haut, je trouve ça agaçant cette tendance à l'auto-diagnostique et du coup on ne sait plus démêler le faux du vrai.
Moi aussi je pourrais me retrouver dans ce syndrome. Et dans un tas d'autres trucs tiens. T'as déjà eu des sauts d'humeurs, t'as déjà été en dépression, t'as déjà été grave motivé par un projet, t'as déjà eu des instants de folie ? Ahhhh tout s'explique ma chériiiie, tu es bipolaire ! :vieux:

Je reconnais que c'est très facile et hyper tentant de "s'auto-diagnostiquer" et de trouver "ce qui cloche chez nous" par nos moyens mais c'est pas une solution, sinon tu peux vite te retrouver dans un tas de pathologies (et les psy n'existeraient pas). Je l'ai déjà vécu, et heureusement qu'avant de partir trop loin dans mes idées et de m'attribuer une étiquette, je me suis "réveillée" et je me suis dit que le moyen de me sortir la tête de l'eau et/ou de savoir ce qui tourne pas rond chez moi, c'est encore d'aller consulter un psychologue et de lui parler sincèrement. Et je trouve ça dommage que dans vos articles sur les troubles (pas uniquement celui là) vous ne mettez pas assez en avant le fait que l'auto-diagnostique c'est easy mais que la vraie solution c'est un psy.

Et enfin, je ne dis pas du tout que les sujets de ces articles ne sont pas intéressants, je dis simplement que la manière dont vous tourner la chose peut porter à confusion et laisser penser que la moitié de la populasse pourrait être atteinte. Et comme tout le monde a vite fait de se retrouver dans la description et que le fait de consulter et/ou de trouver des solutions n'est pas beaucoup mis en avant, je trouve ça un peu dangereux.
 
Dernière édition :
27 Juillet 2013
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J'ai aussi fais une bonne école de journalisme. Reconnue, 1500 candidatures pour 25 places... Et au début de ma première année j'étais allée voir l'un des profs pour lui dire que je n'avais pas ma place, que j'avais volé celle de quelqu'un de plus méritant. A la fin des études, ma place de major de promo ne m'a pas enlevé le sentiment que c'était un malentendu.

Puis embauchée à la sortie des études dans un journal, je suis encore persuadée d'être arrivée au bon endroit au bon moment et d'avoir été prise sur un malentendu (malentendu depuis plus d'un an hein.)

Idem pour mon amoureux, avec qui je suis depuis 3 ans. J'essaie de profiter un maximum, parce que je ne peux m'empêcher de me dire qu'un jour il va bien se rendre compte que je suis une grosse nullarde à côté de lui qui est tellement bien.

Pourquoi on est si complexée ? C'est quoi le problème avec cette société ? On a tellement de pression depuis l'enfance pour être belles-intelligentes-gentilles-drôles-travailleuses-mères de familles-working girls qu'on n'arrive pas à se contenter juste de nous.
 
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Réactions : Lord Griffith
M

Membre supprimé 116050

Guest
Tu viens de mettre un nom sur un malaise que je ressens depuis très longtemps! Pour moi, cela a commencé quand j'avais sept ans, âge auquel j'ai moi aussi été diagnostiquée "intellectuellement précoces"; on m'a alors fait sauter le CE2, alors que j'avais déjà un an d'avance, et le moins que l'on puisse dire, c'est que les cinq ans qui ont suivi n'ont pas été faciles. J'ai comme toi érigé la pratique de l"underdoing" en art, allant même jusqu'à glisser volontairement des fautes dans mes copies pour avoir de moins bonnes notes et ne surtout pas me faire remarquer.
Mes parents me pensaient faite pour Sciences Po, ou "au moins" hypokhâgne/khâgne, j'ai - là encore volontairement - foiré ma première année de bi-license en droits français et anglo-saxons pour ensuite faire une licence Humanités (considérée par certains comme une "HK pour les nuls). Il m'arrive d'avoir d'excellentes notes, surtout en philo, et à chaque fois je dis "mon père était prof, c'est normal", ou "ça fait deux ans que l'on étudie Aristote, à la longue, ça devient facile".
Je suis en fin de deuxième année, je vais bientôt devoir indiquer mon choix d'option pour la L3, or je veux (de toutes mes forces, c'est même ce qui m'a fait entrer dans cette licence) faire du journalisme, qui fait partie des enseignements sélectifs. Et là, c'est le drame: "Mais pourquoi moi plutôt qu'une autre? Quel droit aurais-je à entrer dans cette option, moi qui n'ai jamais fait de stage, qui n'écris pour aucun journal, magazine ou webzine? Qui serait assez fou pour choisir une m**** dans mon genre, qui n'est arrivée jusque-là que parce qu'elle a la chance d'être née avec des facilités, et dans un environnement propice à l'apprentissage?"
Voilà, ça fait à peu près six mois que je me torture avec ça, au point que je n'ai même pas osé chercher un stage dans le milieu journalistique. Au moins, maintenant, je peux mettre un nom sur un de mes problèmes!
 
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Réactions : Lord Griffith
9 Mars 2013
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aalia;4711841 a dit :
les quotas de discrimination positive donnent :
[ul]
[li]au mieux le même niveau de compétence que s'ils n'exitaient pas (s'ils coïncident avec la réalité ou avec moins que la réalité)[/li]
[li]sinon ils diminuent le niveau de compétence[/li]
[/ul]
Et ce, quelle que soit la chose discriminée : sexe, couleur de peau, religion mais tu peux aussi dire forme de l'oreille ou première lettre du nom.
C'est mathématique.

(Mais on est d'accord rien à voir avec le débat sur "faut-il passer par là pour changer les mentalités ?")
et @Impromptue   : je l'avoue, ma description de la discrimination positive était partielle (et sans doute partiale) .

En revanche, et c'est là que je réponds aussi à @Aalia  , je trouve que le problème, c'est que la notion de "compétence" n'existe pas en dehors de tout système de pensée raciste, sexiste, etc. Je veux dire par là que la compétence d'une personne est aussi évaluée par rapport à son sexe, sa couleur de peau, etc. Et aujourd'hui, la compétence est masculine et blanche.
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Et donc ce n'est pas parce qu'on appliquerait la discrimination positive qu'on commencerait à courir le danger de choisir des personnes pour autre chose que leurs seules "compétences". Les critères que l'on utilise aujourd'hui pour déterminer la compétences de quelqu'un, parce qu'ils sont racistes, sexistes, etc. ne nous permettent pas non plus de choisir "les meilleurs candidats toutes catégories confondues", ce que l'on reproche à la politique des quotas.
On peut s'inquiéter des effets que pourrait avoir la discrimination positive sur le niveau de compétence de nos élu.es, etc. mais on ne s'inquiète guère du fait que les discriminations dont sont victimes une partie de la population nous prive aussi en partie de leur talent en tant que maire (si plus de 85% des maires sont des hommes, je ne pense pas que ce soit dû uniquement au fait que l'on ait choisi "les meilleurs candidats toutes catégories confondues"), député.e, etc.

Et là on ne parle pas des personnes qui ont été écartées avant d'être en mesure de prétendre à un poste/une formation.
 
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Réactions : Songi songi
11 Février 2009
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Toulouse
amelie.eklablog.com
@Chasc

Ce que tu évoques là est de l'apriori négatif - ou positif.
"c'est un homme donc il sera plus virulent". les apriori sont vicieux car ils se nourrissent eux même. Je suis d'accord. D'où la nécessité de rejeter, par exemple, l'éducation genrée, car actuellement elle dessert surtout les femmes.

Maintenant, quand je parle de compétence, c'est peut être à définir aussi. Tu prends l'exemple de la politique mais, au boulot je suis moins d'accord avec le lien physique que tu fais.
Je ne trouve par exemple pas admissible qu'aux concours des grandes écoles, certains veulent intégrer un quota de boursiers alors que :
[ul]
[li]la correction est anonyme.[/li]
[li]la compétence, c'est la note obtenue au concours. point.[/li]
[/ul]
Si tu passes devant quelqu'un de meilleur que toi parce que tu viens d'un certain milieu et pas lui, c'est normal d'avoir un sentiment d'imposture. Pour moi c'en est une !
 
24 Février 2010
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Bordeaux
kafeine;4712145 a dit :
Ce que je trouve dommage avec ce genre d'articles (psycho, patho, troubles...) c'est qu'on peut penser que vous faites d'un cas une généralité. [...] Et comme tout le monde a vite fait de se retrouver dans la description et que le fait de consulter et/ou de trouver des solutions n'est pas beaucoup mis en avant, je trouve ça un peu dangereux.

Je suis d'accord avec kafeine. Je pense que cet article est un peu dangereux et fait d'un état d'âme, d'une impression, plus ou moins ponctuelle une maladie et un "syndrome" (terme de pathologie). Comme le témoignage donné reste assez général dans la description, beaucoup peuvent d'y reconnaître et penser être "malade" (comme le montrent les commentaires).

Je pense aussi qu'il faut être prudent avec les étiquettes de symptômes, car selon moi la psyché humaine est extrêmement complexe et souvent les étiquettes ou les diagnostics donnent lieu à des réponses prédéfinies et immédiates qui masquent l'écoute et l'individualité de chacun.

Quelqu'un qui manque de confiance en lui peut se sentir imposteur dans sa vie ou dans une partie de celle-ci, à un moment donné ou à plusieurs moments, sans pour autant souffrir d'une pathologie. Le manque de confiance peut être lié à de nombreux facteurs aussi divers que l'histoire et le passé de chacun.

Les mots comme "syndrome de" ou "underdoing" me semblent des façons de rassurer les gens en qualifiant un phénomène, ce qui permet de voir cela comme une "maladie" que l'on peut "avoir" comme d'autres, plutôt que de se poser des questions sur soi, sur l'origine de ces manifestations de manque de confiance, ou sur la part de souffrance qu'elles comportent. Si cela est une souffrance trop forte, mon avis (et il n'engage que moi) est effectivement qu'il vaut mieux essayer de trouver une solution, peut-être aller voir quelqu'un ou travailler sur soi.

Mais je reste persuadée qu'il faut faire attention aux amalgames, aux statistiques brandies à tout va et aux diagnostics psychologiques trop rapides.
 
1 Juillet 2007
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Paris
www.mx-tellington.fr
@Euki (et Acathe mais j'arrive pas à te citer le truc doit bugger), j'ai mis ces images parce que je ne connais pas de film ou de série mettant en scène clairement un syndrome de l'imposteur. Oui ce sont de vrais imposteurs, j'ai essayé de dire dans la légende que autant eux sont des imposteurs et n'ont pas de problème avec autant moi j'ai un problème à avoir l'impression de l'être ^^

Je précise dans le premier encadré que ce n'est pas vraiment une pathologie, d'autant que ça touche énormément de monde ("à un moment où à un autre de leur vie"). J'aurais pu plus insister sur le fait qu'on puisse être touchée à divers degrés et que ça puisse être vraiment handicapant, mais j'étais plus sur un témoignage avec seulement le minimum d'éléments théoriques/généralisants.
 
11 Octobre 2012
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Paris
Comme beaucoup de gens on dirait, je me suis sentie "imposteur" à de nombreuses reprises...
Notamment parce que j'ai de bonnes notes au lycée sans beaucoup travailler, j'ai souvent l'impression que c'est injuste par rapport aux personnes qui travaillent plus. En fait je suis limite à me sentir coupable, mais est-ce que c'est de ma faute si des choses qui sont difficiles pour d'autres me paraissent évidentes? Bref, en gros souvent j'ai l'impression que moi je ne l'ai pas mérité, j'ai juste des facilités, ect.
Ça se passe aussi comme ça pour le fait d'écrire, on m'a souvent dit que j'écrivais bien, que j'avais du talent, ect... mais là pareil, j'ai l'impression que je ne l'ai pas mérité, que je ne devrais pas en avoir parce que je ne le travaille pas assez, que je n'écris pas assez...
Du coup j'ai aussi pas mal pratiqué l'underdoing, et je continue malheureusement :sweatdrop:

Après j'ai conscience aussi que dans mon cas c'est loin d'être pathologique, et je suis très reconnaissante à cet article de me permettre de mettre un nom sur cette petite voix qui vient parfois me dire "tu ne l'as pas mérité".
J'espère que grâce à cette article, la prochaine fois qu'elle se pointera, je pourrait la pointer du doigt en mode "je t'ai démasquée espèce de troll :troll:, t'es juste ma salope de petite voix-imposteur et t'as pas raison, nan mais oh! :drama:"
 
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Réactions : Lord Griffith
24 Avril 2014
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Le syndrome de l’imposteur… C’était donc ça !!! Pour ma part, il est apparu quand j’étais en CM1, je venais de sauter le CE2 et je ne comprenais pas pourquoi c’était arrivé à moi plutôt qu’un autre. J’avais de bonnes notes, et alors, je n’étais pas la seule ! Cela s’est aggravé en première S, où un jour je me suis dit, comme une révélation « Mais je suis naze !! Et si un jour, quelqu’un s’en rendait compte ? Je vais pas être dans la m*rde, tiens ! ».  Même le jour des résultats du bac, pour lequel je n’avais pas du tout travaillé (pourquoi faire ? je n’en étais pas capable…), je n’ai pas cru à ce que je voyais, il avait dû y avoir une erreur ! Moi avoir mon bac, c’était la plus grosse blague de l’année !
S’en est suivi une longue et difficile période, j’étais tombée dans une spirale de l’échec à force de me dévaloriser, ma confiance en moi était inexistante ; parfois, j’en venais même à me détester, détester ce sentiment d’imposture et d’inutilité.
Néanmoins, cela va bien mieux aujourd’hui, maintenant que j’ai réussi à intégrer des études pour lesquelles je me sens vraiment faite, que j’aime du fond de mes tripes. Le fait que je sois beaucoup plus âgée que mes camarades de promo y est sans doute, paradoxalement, pour quelque chose. Mais ça ne s’est pas fait sans mal, il m’a fallu beaucoup de temps pour me trouver et comprendre qui j’étais, ce dont j’étais capable.
Je ne dis pas que j’ai LA solution à ce problème mais je peux vous dire que tout ceci n’est pas figé, tout peut toujours s’arranger. Persévérez, faites des projets et prenez conscience, toutes, que vous avez toute une montagne de qualités ; quand on se sent enfin à sa place, les choses ne peuvent de toute façon que s’améliorer !!
Bon courage à toutes ;)
 
Dernière édition :
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Réactions : Lord Griffith
7 Septembre 2011
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Paris
Ce genre d'articles du style "je souffre d'un truc super particulier qui me rend à part" ont tendance à m'agacer fortement.

C'est un peu comme si je faisais un article "je suis une dingo qu'a trop de problemes j'aime la couleur bleue."

Ce problème est symptomatique d'une génération, dont nous souffrons presque toutes, il aurait été beaucoup plus intéressant de laisser les demoiselles s'exprimer, toutes, a l'aide de témoignages que de faire un témoignage.

Personnellement je ne connais pas une seule fille qui n'en souffre pas et ça aurait eu de l'intérêt si on avait essayé de parler de ça, de notre société et de ses impactes, la je trouve que ça fait presque "attention whore". Je ne dis pas que ça part pas d'un bon sentiment ou quoi.
 
Dernière édition :
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Réactions : Nomade_ et Venom

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