@Azurhibis @Plumn : Globalement je suis d'accord avec vous sur le fait que qu'il faut faire preuve de prudence pour la/les première fois. Un peu moins sur le fait que ce soit la seule et entière responsabilité de celui des deux qui est actif.
Je vais un peu m'écarter de l'article, vu que ce n'est pas la même situation. Mais dans la mesure ou deux personnes sont d'accord pour faire du sexe, je trouve que l'on rejette trop facilement la pierre sur la personne active quand cela se passe mal. Rester passif alors que l'on a envie de sexe et laisser tout le boulot à l'autre, c'est selon moi un peu se dégager de toutes responsabilité. C'est lui mettre sur les épaules le poids du plaisir commun et lui coller d'office le rôle de coupable si cela me fonctionne pas. Par contre, et selon moi, le passif à aussi sa part de responsabilité: guider l'autre. Verbalement ou non, cela peut être un geste, une démonstration de plaisir, etc. Et aussi de savoir tirer la sonnette d'alarme en cas de soucis. Le sexe cela reste un acte qui se fait généralement à deux. Donc c'est un peu à tout les participants de s'assurer que cela se passe bien.
Apres je ne remets en cause l'impact de la société et des rôles genrés sur le sexe. de la pression qui peut en découler, etc. Mais ... a partir du moment ou on est adulte, et en pleine possession de se moyens (exclusion donc de la sidération, drogue, etc), on garde notre libre arbitre. On a minima la responsabilité de dire "non" si cela ne va pas. Et encore une fois, verbalement ou non.
Dans le cas du témoignage en question, j'en conviens c'est un peu plus délicat, vu qu'il prend volontairement une place de dominant. En ne voulant pas être touché, prenant le dessus (la position) et entravant un peu sa partenaires. Il impose effectivement la passivité de l'autre. Prenant du coup plus la responsabilité de l'acte.
Bien d'accord avec toi, mais rajouterai: "ou chacun sait ce qu'il aime et exprime librement de ses attentes sexuelles avec son partenaire".
PS: Apres je ne jette pas non plus des buches sur ceux qui sont passifs au lits, chacun a le droit d'aimer ce qu'il veut ou, par exemple, de manquer d'assurance pour décider de prendre les rênes en main. T
PS2: je fais un gros résumé un parlant d'actif et de passif. Je sais bien que le sexe ne se résume pas à papa qui fait des vas et viens dans maman, mais cette binarité est plus simple pour expliquer mon point de vue.
Je vais un peu m'écarter de l'article, vu que ce n'est pas la même situation. Mais dans la mesure ou deux personnes sont d'accord pour faire du sexe, je trouve que l'on rejette trop facilement la pierre sur la personne active quand cela se passe mal. Rester passif alors que l'on a envie de sexe et laisser tout le boulot à l'autre, c'est selon moi un peu se dégager de toutes responsabilité. C'est lui mettre sur les épaules le poids du plaisir commun et lui coller d'office le rôle de coupable si cela me fonctionne pas. Par contre, et selon moi, le passif à aussi sa part de responsabilité: guider l'autre. Verbalement ou non, cela peut être un geste, une démonstration de plaisir, etc. Et aussi de savoir tirer la sonnette d'alarme en cas de soucis. Le sexe cela reste un acte qui se fait généralement à deux. Donc c'est un peu à tout les participants de s'assurer que cela se passe bien.
Apres je ne remets en cause l'impact de la société et des rôles genrés sur le sexe. de la pression qui peut en découler, etc. Mais ... a partir du moment ou on est adulte, et en pleine possession de se moyens (exclusion donc de la sidération, drogue, etc), on garde notre libre arbitre. On a minima la responsabilité de dire "non" si cela ne va pas. Et encore une fois, verbalement ou non.
Dans le cas du témoignage en question, j'en conviens c'est un peu plus délicat, vu qu'il prend volontairement une place de dominant. En ne voulant pas être touché, prenant le dessus (la position) et entravant un peu sa partenaires. Il impose effectivement la passivité de l'autre. Prenant du coup plus la responsabilité de l'acte.
Je rêve d'un monde où tout un chacun se rendra compte que toucher une bite, une chatte, un bout de fesse ou un lobe d'oreille, ou encore autre chose, chacune son truc après tout, n'est pas anodin, même avec l'accord de la personne concernée.. Et où tout le monde sera au courant qu'un organe sexuel, ça ne se maltraite pas, sauf à la demande expresse dula propriétaire.
Bien d'accord avec toi, mais rajouterai: "ou chacun sait ce qu'il aime et exprime librement de ses attentes sexuelles avec son partenaire".
PS: Apres je ne jette pas non plus des buches sur ceux qui sont passifs au lits, chacun a le droit d'aimer ce qu'il veut ou, par exemple, de manquer d'assurance pour décider de prendre les rênes en main. T
PS2: je fais un gros résumé un parlant d'actif et de passif. Je sais bien que le sexe ne se résume pas à papa qui fait des vas et viens dans maman, mais cette binarité est plus simple pour expliquer mon point de vue.