@zeretina C'est vrai que pendant mon enfance, et même au début de mon adolescence, on pouvait fumer partout ! Je me souviens très bien des zones fumeur dans les restaurants (l'horreur, sérieux, comment on a pu accepter ça...)
Dans les bar tabac, l'odeur de tabac froid à mis des années à partir.
J'ai beau fumer, aujourd'hui ne serait qu'aller en soirée est une épreuve pour moi, je ne comprend pas qu'on puisse fumer à l'intérieur, d'autant plus quand plusieurs personnes fument en même temps, qu'on ouvre pas les fenêtres etc...
L'interdiction de la clope dans les lieux public c'était vraiment une bonne chose. Je pense aussi qu'on gagnerait à interdire aussi dans les parcs, sur les terrasses etc. pour une raison simple : ce n'est pas parce que c'est interdit qu'on ne le fait pas (ça m'arrive de fumer tout au bout du quai (extérieur) du RER le matin, pourtant c'est interdit), mais ça pousse quand même à avoir un autre regard sur la cigarette, à la considérer comme quelque chose de nuisible aussi pour les autres et à limiter au maximum les moments où on peut cloper sans se poser de questions sur si ça va déranger ou pas. Typiquement, dans les parcs, à la plage etc, ça pourrait pousser les gens à ne fumer que quand il n'y a vraiment personne à proximité.
C'est mieux pour tout le monde je crois.
Pendant le deuxième confinement, mon lieu de travail était ouvert en drive, habituellement on se permet de fumer dans les bureaux le matin avec le café avant l'ouverture aux clients. Or, avec cette période ''drive'' et aucun client à l'intérieur, au début on a continuer à faire nos poses clopes dans les bureaux, voir en travaillant... Jusqu'à ce que notre patronne nous dise qu'elle avait mal à la tête et que désormais faudrait sortir. Ben c'est con, on a tous été con, mais fallait que ce soit acté pour qu'on arrête, alors qu'en fait ça saoulait tout le monde (les fumeurs parce qu'on fumait d'avantage, les non fumeurs parce que ça sentait la clope en permanence...)