@Petite Cracotte Je te comprends tellement !
Bon après, le coup du doigt d'honneur, je n'ose plus après cette fois où je l'ai fait à un mec qui m'avait fait un queue de poisson, en le redépassant, et que le gars m'a suivi un long moment après ma sortie de l'autoroute.
Dans exactement le même genre de situation, j'ai aussi un collègue qui a été re-dépassé à nouveau par la voiture à qui il avait fait un doigt. Là, la voiture commence à rouler à son niveau. Mon collègue se tourne, voit le mec baisser sa vitre passager et... sortir un flingue
Bref, faites gaffe, on sait jamais, les gens sont tarés au volant.
Et pour le coup de la police.... euh c'est plus plus que limite là. Y aurait de quoi porter plainte pour intimidation. C'est tellement puant cette attitude.
Tu donnes un peu de pouvoir à certaines personnes et elles se permettent n'importe quoi, ça me révolte.
Ces altercations au volant, ca me rappelle cette fois où j'étais dans une file de voitures qui se trainaient devant un feu rouge qui nous laissait passer au compte-goutte. J'avançais pépérement, un peu distraite. A un moment donné, alors que je suis à l'arrêt, on frappe à ma vitre. Un mec d'une cinquantaine d'année, plutôt élégant, souriant. Je baisse la vitre, et le voilà qui me lâche d'un ton doucereux : "Mademoiselle, je voulais juste vous dire que vous êtes très grossière". Moi
"Pardon ?!". Lui : "Non mais voilà, je voulais juste vous le signaler". Et il se barre !!
Sur le cul, je le vois rentrer dans la voiture derrière moi. Ni une ni deux, je sors de ma voiture et je vais à mon tour le trouver : "Monsieur, j'aimerais comprendre pourquoi vous me dites ça ?". Et là, tout de suite, en n'étant plus debout face à moi, le gars faisait le moins fier. Il essaye de couper court à la conversation et de fermer la portière mais je ne me laisse pas démonter; Très calme (même si je tremblais) : "Monsieur, vous m'avez dit que j'étais grossière, la moindre de mes choses est de m'expliquer pourquoi". Et là, il me claque la portière au nez. Je l'ai regardé en secouant la tête d'un air répprobateur alors qu'il me fuyait du regard et je suis retournée dans ma voiture.
Avec le recul, je me dis qu'il devais sortir d'un des garages et essayer de s'insérer dans la file et que je ne l'avais pas laissé passer. Sauf que quand on avance au pas comme ça, moi je suis distraite (je check parfois mon gsm
) et donc j'ai pas fait exprès de lui refuser le passage.
Et puis même, c'est pas parce qu'il avait une grosse Audi que le passage lui était dû. La suffisance de ce mec... Pouah
Bon après, le coup du doigt d'honneur, je n'ose plus après cette fois où je l'ai fait à un mec qui m'avait fait un queue de poisson, en le redépassant, et que le gars m'a suivi un long moment après ma sortie de l'autoroute.
Dans exactement le même genre de situation, j'ai aussi un collègue qui a été re-dépassé à nouveau par la voiture à qui il avait fait un doigt. Là, la voiture commence à rouler à son niveau. Mon collègue se tourne, voit le mec baisser sa vitre passager et... sortir un flingue

Bref, faites gaffe, on sait jamais, les gens sont tarés au volant.
Et pour le coup de la police.... euh c'est plus plus que limite là. Y aurait de quoi porter plainte pour intimidation. C'est tellement puant cette attitude.
Tu donnes un peu de pouvoir à certaines personnes et elles se permettent n'importe quoi, ça me révolte.
Ces altercations au volant, ca me rappelle cette fois où j'étais dans une file de voitures qui se trainaient devant un feu rouge qui nous laissait passer au compte-goutte. J'avançais pépérement, un peu distraite. A un moment donné, alors que je suis à l'arrêt, on frappe à ma vitre. Un mec d'une cinquantaine d'année, plutôt élégant, souriant. Je baisse la vitre, et le voilà qui me lâche d'un ton doucereux : "Mademoiselle, je voulais juste vous dire que vous êtes très grossière". Moi


Sur le cul, je le vois rentrer dans la voiture derrière moi. Ni une ni deux, je sors de ma voiture et je vais à mon tour le trouver : "Monsieur, j'aimerais comprendre pourquoi vous me dites ça ?". Et là, tout de suite, en n'étant plus debout face à moi, le gars faisait le moins fier. Il essaye de couper court à la conversation et de fermer la portière mais je ne me laisse pas démonter; Très calme (même si je tremblais) : "Monsieur, vous m'avez dit que j'étais grossière, la moindre de mes choses est de m'expliquer pourquoi". Et là, il me claque la portière au nez. Je l'ai regardé en secouant la tête d'un air répprobateur alors qu'il me fuyait du regard et je suis retournée dans ma voiture.
Avec le recul, je me dis qu'il devais sortir d'un des garages et essayer de s'insérer dans la file et que je ne l'avais pas laissé passer. Sauf que quand on avance au pas comme ça, moi je suis distraite (je check parfois mon gsm

Et puis même, c'est pas parce qu'il avait une grosse Audi que le passage lui était dû. La suffisance de ce mec... Pouah
Dernière édition :