@Yoonishan comme toute langue, le français regorge d’imperfections et d’expressions oppressives par « habitude » et par « historique ». Leur existence n’est pas un argument pour continuer à les utiliser.
Je ne comprends pas vraiment ce raisonnement. Pourtant ça parle tout de suite quand on parle de sexisme ou d’homophobie : se moquer de soi ou d’autrui (même chose, en réalité) en parlant de psychopathe ou de tapette ou « je/il/elle court comme une gonzesse » ou que sais-je, c’est toujours rabaisser les personnes atteintes de psychopathie, ou les homosexuels, ou les femmes.
Les expressions te plaisent, ça te plaît d’être offensante ?
Si quelqu’un te dit que tes mots sont blessants pour une certaine catégorie de population, tu maintiens ton positionnement ? Effectivement, on ne pourra pas être d’accord, cf la métaphore de la personne qui marche sur le pied de l’autre mais refuse de le retirer.
Je ne souhaite plus être mentionnée, je suis un peu sidérée et je vais sortir du topic pour aujourd’hui