Les jugements épidermiques et à l'emporte-pièce qui sont émis à l'encontre des propriétaires d'animaux.
On dit beaucoup qu'il ne faut pas juger l'éducation des enfants des autres, que c'est une chose d'avoir des principes et une autre d'être parent, etc. mais alors s'agissant des animaux c'est la fête du du slip sur plein de sujets (alimentation, lieu de vie, sécurisation du logement, type d'éducation, etc.) avec des positions hyper tranchées et des discours ultra drama en mode "les gens qui font tel ou tel truc ne devraient pas avoir d'animal !!!" ou bien "Si vous faites telle chose à votre animal il mourra dans d'atroces souffrances après avoir convulsé pendant des heures et vous irez griller en enfer !!!". Sachant que quand on cherche des infos sur un sujet X ou Y, on trouve absolument TOUT et son contraire et que c'est difficile d'arriver à faire le tri.
Je me rappelle que poussée par ce genre de discours, j'avais changé les croquettes de mon ancien chat et j'avais remplacé ses Ultima par une marque vendue sur internet et enrichie en viande ("parce que les marques de super marché avec moins de XX% d'éléments carnés c'est du quasi empoisonnement et vous aurez du sang sur les mains !!!"). Résultat : il a juste arrêté de manger et il s'est mis à vider la poubelle pour se nourrir. À l'époque je l'avais confié en garde pendant deux semaines le temps d'un voyage et je l'avais récupéré avec la peau sur les os.
Bref. On est revenu aux Ultima de supermarché
Tout ça pour dire que jpp des discours super tranchés et culpabilisants sur les animaux. Ça part sûrement d'une bonne intention, mais au bout d'un moment on dirait surtout une compet' de qui en fait le plus pour son animal et finalement c'est plus tellement le bien-être animalier qui est au centre, mais plutôt l'ego de certaines personnes. Ce que j'aime pas non plus, c'est qu'en additionnant toutes les injonctions, ça devient vraiment un truc de riche d'avoir un animal, alors qu'en dehors de certains soins vétérinaires et la satisfaction des besoins primaires, j'ai l'impression que dans l'absolu, rien n'est réellement indispensable et que tout dépend de l'animal qu'on a en face de soi, selon ses besoins, ses goûts et sa personnalité.
On dit beaucoup qu'il ne faut pas juger l'éducation des enfants des autres, que c'est une chose d'avoir des principes et une autre d'être parent, etc. mais alors s'agissant des animaux c'est la fête du du slip sur plein de sujets (alimentation, lieu de vie, sécurisation du logement, type d'éducation, etc.) avec des positions hyper tranchées et des discours ultra drama en mode "les gens qui font tel ou tel truc ne devraient pas avoir d'animal !!!" ou bien "Si vous faites telle chose à votre animal il mourra dans d'atroces souffrances après avoir convulsé pendant des heures et vous irez griller en enfer !!!". Sachant que quand on cherche des infos sur un sujet X ou Y, on trouve absolument TOUT et son contraire et que c'est difficile d'arriver à faire le tri.
Je me rappelle que poussée par ce genre de discours, j'avais changé les croquettes de mon ancien chat et j'avais remplacé ses Ultima par une marque vendue sur internet et enrichie en viande ("parce que les marques de super marché avec moins de XX% d'éléments carnés c'est du quasi empoisonnement et vous aurez du sang sur les mains !!!"). Résultat : il a juste arrêté de manger et il s'est mis à vider la poubelle pour se nourrir. À l'époque je l'avais confié en garde pendant deux semaines le temps d'un voyage et je l'avais récupéré avec la peau sur les os.
Bref. On est revenu aux Ultima de supermarché

Tout ça pour dire que jpp des discours super tranchés et culpabilisants sur les animaux. Ça part sûrement d'une bonne intention, mais au bout d'un moment on dirait surtout une compet' de qui en fait le plus pour son animal et finalement c'est plus tellement le bien-être animalier qui est au centre, mais plutôt l'ego de certaines personnes. Ce que j'aime pas non plus, c'est qu'en additionnant toutes les injonctions, ça devient vraiment un truc de riche d'avoir un animal, alors qu'en dehors de certains soins vétérinaires et la satisfaction des besoins primaires, j'ai l'impression que dans l'absolu, rien n'est réellement indispensable et que tout dépend de l'animal qu'on a en face de soi, selon ses besoins, ses goûts et sa personnalité.