@Gargouillette Je sais pas, j'ai l'impression qu'à chaque fois c'est pour m'annoncer quelque chose de mauvais, et qui plus est, appuyer dessus.
Je ne supporte pas...
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Perso j'aime pas du tout qu'on m'appelle par mon prénom. Ça fait trop bizarre ! 
Mais passé 20 ans, il y a vraiment des gens qui valorisent le fait de boire beaucoup d'alcool en soirée, enchaîner les plans culs, se faire des tatouages / piercing etc.?
Ok quand j'étais ado c'était vu comme "stylé", mais aujourd'hui dans mon entourage composé d'adultes c'est pas vraiment valorisé
. Il n'y a que mes potes en mode "défonce" qui trouvent encore ça cool. Sinon tous les autres (famille, amis dans la ""norme"", connaissances, voisins etc...) valorisent le mode de vie pépère, où tu te concentre sur tes études, tu t'installe en couple monogame avec quelqu'un, tu fais des enfants et t'évite les projets farfelus (ou de changer de boulot tous les 4 matins). La vie propre quoi, mature, responsable, de quelqu'un qui sait-ce-qu'il-veut et où-il-va.
Enfin perso si je dis que je roule des pelles à des mecs en soirée en étant démontée comme un terrain de manœuvre ou que je montre mes tattoo /piercing on me prend juste pour la salope toxicomane du coin (ou au mieux, la fille paumée qui n'a pas fini sa crise d'ado), donc j'évite. Pourtant je ne suis pas totalement à la campagne
. Et mon entourage n'est pas "bourge".
(Ne pas citer svp
)
Ok quand j'étais ado c'était vu comme "stylé", mais aujourd'hui dans mon entourage composé d'adultes c'est pas vraiment valorisé
. Il n'y a que mes potes en mode "défonce" qui trouvent encore ça cool. Sinon tous les autres (famille, amis dans la ""norme"", connaissances, voisins etc...) valorisent le mode de vie pépère, où tu te concentre sur tes études, tu t'installe en couple monogame avec quelqu'un, tu fais des enfants et t'évite les projets farfelus (ou de changer de boulot tous les 4 matins). La vie propre quoi, mature, responsable, de quelqu'un qui sait-ce-qu'il-veut et où-il-va.Enfin perso si je dis que je roule des pelles à des mecs en soirée en étant démontée comme un terrain de manœuvre ou que je montre mes tattoo /piercing on me prend juste pour la salope toxicomane du coin (ou au mieux, la fille paumée qui n'a pas fini sa crise d'ado), donc j'évite. Pourtant je ne suis pas totalement à la campagne
. Et mon entourage n'est pas "bourge".(Ne pas citer svp
)
@Flotsam : désolée 
mais cette expression est tellement imagée, j'ai du mal à ne pas l'utiliser...
(Ok, en fait je vis au fin fond de la cambrousse, je viens de me trahir
)
mais cette expression est tellement imagée, j'ai du mal à ne pas l'utiliser...(Ok, en fait je vis au fin fond de la cambrousse, je viens de me trahir
)
@Re-Run : oui en plus on a quasiment le même âge, c'est ça que je ne comprends pas, les gens de ton entourage ont l'air sacrément immatures (passé l'adolescence je ne tolère plus ce discours "han tu bois pas t'es pas fun 
"). Je n'arrive vraiment pas à comprendre, dans un sens comme dans l'autre, ce qui pousse les gens à juger le mode de vie des autres. Après je sais qu'on vit dans une société empreinte de slut shaming, mais concrètement il n'y a rien de dégradant NI de valorisant à enchaîner les conquêtes par exemple. C'est personnel, on a pas à porter de jugement de valeur dessus, qu'il soit positif ou négatif. Certains te mes amis picolent et sont chiants comme la mort, d'autres détestent faire la fête et sont super cool, et l'inverse et vrai, enfin ça me semble tellement logique que je ne comprends pas pourquoi on juge encore là dessus le potentiel sympathie d'une personne .
Idem pour l'indépendance, je suis totalement d'accord, surtout quand ce genre de remarques viennent de personnes qui reçoivent du fric de leurs parents (le petit chèque du dimanche, le panier de bouffe, le loyer, le petit billet pour l'essence/le cinéma...) alors que toi, à part squatter une chambre chez eux, tu ne leur taxe rien... Et puis là encore, chacun sa vie !
"). Je n'arrive vraiment pas à comprendre, dans un sens comme dans l'autre, ce qui pousse les gens à juger le mode de vie des autres. Après je sais qu'on vit dans une société empreinte de slut shaming, mais concrètement il n'y a rien de dégradant NI de valorisant à enchaîner les conquêtes par exemple. C'est personnel, on a pas à porter de jugement de valeur dessus, qu'il soit positif ou négatif. Certains te mes amis picolent et sont chiants comme la mort, d'autres détestent faire la fête et sont super cool, et l'inverse et vrai, enfin ça me semble tellement logique que je ne comprends pas pourquoi on juge encore là dessus le potentiel sympathie d'une personne .Idem pour l'indépendance, je suis totalement d'accord, surtout quand ce genre de remarques viennent de personnes qui reçoivent du fric de leurs parents (le petit chèque du dimanche, le panier de bouffe, le loyer, le petit billet pour l'essence/le cinéma...)
alors que toi, à part squatter une chambre chez eux, tu ne leur taxe rien... Et puis là encore, chacun sa vie !
@Tardigrade Pour ma part (je ne peux pas dire pour les autres 
), quand je dis "je pourrais pas" en parlant d'un boulot c'est pas pour démotiver, c'est juste que vraiment, j'aurais été imbuvable en faisant ça, ou carrément incapable. Par exemple, ce n'est peut-être pas ton cas si tu parles d'un job alimentaire car pour eux c'est leur vocation, des amis à moi sont éducateurs spécialisés. Je les admire vraiment, ils font un boulot utile et difficile, et le contact avec des groupes sociaux compliqués, je ne peux pas m'imaginer faire ça. Même simplement le contact avec de la clientèle, comme vendeuse, je ne pourrais pas... pas contre je ne dénigrerais pas ce boulot, mais je pourrais dire "wow, je pourrais pas faire ça, comment tu gères les clients relou/impolis alors que tu es crevée ? 
" Donc compliment, oui, choix débile, certainement pas 
), quand je dis "je pourrais pas" en parlant d'un boulot c'est pas pour démotiver, c'est juste que vraiment, j'aurais été imbuvable en faisant ça, ou carrément incapable. Par exemple, ce n'est peut-être pas ton cas si tu parles d'un job alimentaire car pour eux c'est leur vocation, des amis à moi sont éducateurs spécialisés. Je les admire vraiment, ils font un boulot utile et difficile, et le contact avec des groupes sociaux compliqués, je ne peux pas m'imaginer faire ça. Même simplement le contact avec de la clientèle, comme vendeuse, je ne pourrais pas... pas contre je ne dénigrerais pas ce boulot, mais je pourrais dire "wow, je pourrais pas faire ça, comment tu gères les clients relou/impolis alors que tu es crevée ? " Donc compliment, oui, choix débile, certainement pas
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1337
Guest
@Tardigrade pour moi c'est plus une certaine forme d'admiration, genre j'ai un ami qui bosse souvent de nuit, et je lui ai déjà dit qu'il avait du courage, parce que moi je ne pourrais pas, vivre en décalé et chopper un autre rythme de sommeil, je pense que ça serait vraiment très très très difficile pour moi. C'est pas une question de juger un choix, surtout qu'on ne l'a pas forcément, pour moi c'est juste dire t'es courageux/doué/merci de prendre ma place et de servir la société j'en serais bien incapable ça m'enlève une épine du pied 
@Tardigrade : avant je le disais souvent, dans le même sens que @1337 en fait, je louais le courage de la personne "tu es trop fort, perso je n'y arriverai pas, je t'admire!".
Depuis que j'ai bossé en caisse / restauration rapide je ne le dis plus, car je me suis rendue compte que je n'aimais pas trop quand les clients me disaient "bon courage!". Ça me faisait plaisir dans le sens où ça partait d'un bon sentiment, mais ça me rappelait aussi que j'avais un boulot pas très agréable, alors que j'essayais de faire abstraction de ça et d'y trouver un intérêt (de l'art de voir le verre à moitié plein)! Donc ça me déprimait autant que ça me faisait plaisir finalement .
(Mais c'est pas pire que les clients qui te souhaitent "bon après-midi!" alors que tu restes là jusqu'à la fermeture et que tu ne risques pas de profiter du soleil ou de ton aprem c'est gentil mais tellement frustrant 
!)
Depuis que j'ai bossé en caisse / restauration rapide je ne le dis plus, car je me suis rendue compte que je n'aimais pas trop quand les clients me disaient "bon courage!". Ça me faisait plaisir dans le sens où ça partait d'un bon sentiment, mais ça me rappelait aussi que j'avais un boulot pas très agréable, alors que j'essayais de faire abstraction de ça et d'y trouver un intérêt (de l'art de voir le verre à moitié plein
)! Donc ça me déprimait autant que ça me faisait plaisir finalement . (Mais c'est pas pire que les clients qui te souhaitent "bon après-midi!" alors que tu restes là jusqu'à la fermeture et que tu ne risques pas de profiter du soleil ou de ton aprem
c'est gentil mais tellement frustrant !)
S
Shield
Guest
Je ne supporte pas relire mes posts et constater que j'ai des gros tics de langage
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Je ne supporte pas qu'une personne que j'estime beaucoup fasse un truc complètement pourri qui me déçoit à mort
@Tardigrade Ça m'arrive souvent de dire « Moi, je ne pourrais pas » aux gens :/ Pour le coup, il ne s'agit jamais de jugement ou autre, pas nécessairement non plus d'une admiration (ça dépend du contexte) mais une simple constatation : ce que tu fais de ta vie, ça ne me correspond pas. Voilà.
C'est sûr que quand il s'agit d'un boulot extrêmement pénible, par exemple, le « Moi je ne pourrais pas » est teinté d'admiration, du genre, wow, punaise, ça me semble impossible ce que tu fais, bravo.
Quand c'est un choix de vie (polyamoureux, échangisme, etc.) c'est juste une constatation : j'aime bien ma vie, ma façon de la vivre, mais j'ai conscience qu'il y a des gens qui vivent autrement : je ne les envie pas, je ne trouve pas non plus que c'est ridicule, ou autre, juste, cette vie n'est pas pour moi, c'est pour ça que je vais dire « Moi, je ne pourrais pas ».
Maintenant, à force de voir que finalement, cette phrase là, semble gêner, j'y fais attention. Je n'avais pas conscience que ça pouvait fatiguer, ou heurter.
Comme @Endless et le « bon courage » : j'ai pris cette habitude quand je passe en caisse parce que je sais que c'est un boulot qui peut être ingrat et épuisant. J'ai souvent cru voir que ça étonnait quand je disais ça, dans le bon sens. Je n'avais pas idée que ça pouvait être usant aussi :/
C'est sûr que quand il s'agit d'un boulot extrêmement pénible, par exemple, le « Moi je ne pourrais pas » est teinté d'admiration, du genre, wow, punaise, ça me semble impossible ce que tu fais, bravo.
Quand c'est un choix de vie (polyamoureux, échangisme, etc.) c'est juste une constatation : j'aime bien ma vie, ma façon de la vivre, mais j'ai conscience qu'il y a des gens qui vivent autrement : je ne les envie pas, je ne trouve pas non plus que c'est ridicule, ou autre, juste, cette vie n'est pas pour moi, c'est pour ça que je vais dire « Moi, je ne pourrais pas ».
Maintenant, à force de voir que finalement, cette phrase là, semble gêner, j'y fais attention. Je n'avais pas conscience que ça pouvait fatiguer, ou heurter.
Comme @Endless et le « bon courage » : j'ai pris cette habitude quand je passe en caisse parce que je sais que c'est un boulot qui peut être ingrat et épuisant. J'ai souvent cru voir que ça étonnait quand je disais ça, dans le bon sens. Je n'avais pas idée que ça pouvait être usant aussi :/
Euki, pourquoi tu dis ça j'essaye de comprendre?
Beaucoup ont essayé de chercher ce qui a inspiré Rouget de Lisle pour écrire cette chanson, mais ça m'étonnerait beaucoup qu'il se soit inspiré de fasciste, on fait un petit saut dans le temps sinon...
Ce qu'il faut retenir de la Marseillaise, c'est surtout qu'il a été symbole de liberté, pendant la Révolution, et même symbole pour les révolutionnaires russes avant l'Internationale, et pour d'autres encore...
Si on ne peut plus aimer les paroles aujourd'hui, on ne peut qu'aimer son histoire, qui elle, est si forte.
Beaucoup ont essayé de chercher ce qui a inspiré Rouget de Lisle pour écrire cette chanson, mais ça m'étonnerait beaucoup qu'il se soit inspiré de fasciste, on fait un petit saut dans le temps sinon...
Ce qu'il faut retenir de la Marseillaise, c'est surtout qu'il a été symbole de liberté, pendant la Révolution, et même symbole pour les révolutionnaires russes avant l'Internationale, et pour d'autres encore...
Si on ne peut plus aimer les paroles aujourd'hui, on ne peut qu'aimer son histoire, qui elle, est si forte.
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