Et puis en plus parfois on reste dans un boulot qui ne nous plaît pas pour tout un tas de raisons chouettes, pas forcément pour des raisons déprimantes liées à "le monde c'est de la merde" :
- Parce que chéri(e)/mes potes vivent dans le coin et que donc moi aussi je veux rester là (où il n'y a pas forcément mille choix de job),
- Parce que ce job me libère le corps et l'esprit à 17h, ce qui me laisse tout le reste de la journée pour dédier mon âme à la basse et au black métal,
- Parce qu'il me permet de gagner de l'argent et donc de m'émanciper, ce qui est cool en soi,
- Parce que mes collègues sont chouettes et que je préfère me faire chier avec eux que de kiffer avec des nazes,
- ...
Du coup quand on est dans cette situation, je trouve ça un peu dur d'entendre que "il faut kiffer son job". Non, kiffer sa vie c'est important, mais il y a mille manières d'y arriver, dont 999 qui sont peut-être plus faciles à mettre en œuvre que "tout plaquer pour dédier son temps, son énergie et son moral à la recherche d'un hypothétique dreamjob"... Et ces solutions ne sont pas moins respectables pour autant.
- Parce que chéri(e)/mes potes vivent dans le coin et que donc moi aussi je veux rester là (où il n'y a pas forcément mille choix de job),
- Parce que ce job me libère le corps et l'esprit à 17h, ce qui me laisse tout le reste de la journée pour dédier mon âme à la basse et au black métal,
- Parce qu'il me permet de gagner de l'argent et donc de m'émanciper, ce qui est cool en soi,
- Parce que mes collègues sont chouettes et que je préfère me faire chier avec eux que de kiffer avec des nazes,
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Du coup quand on est dans cette situation, je trouve ça un peu dur d'entendre que "il faut kiffer son job". Non, kiffer sa vie c'est important, mais il y a mille manières d'y arriver, dont 999 qui sont peut-être plus faciles à mettre en œuvre que "tout plaquer pour dédier son temps, son énergie et son moral à la recherche d'un hypothétique dreamjob"... Et ces solutions ne sont pas moins respectables pour autant.